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Posté le 08/03/2016 à 19h05 par cl

Merci Gerard

je commence a localiser ta présence ...Ainsi tu vis au Tampon ...

Quelle chance ! j'y avais un ami (David Lorion)

claude

Posté le 08/03/2016 à 19h25 par g

salut Claude
il ne travaille pas avec Didier Robert ?

Posté le 08/03/2016 à 19h49 par cl

Salut G

En effet, D? Robert est le Pt de Région Réunion avec l'aide des socialistes qui voulaient éradiquer les communistes de l'Ile... David Lorion doit être vice Président de la Région changé de l'économie

claude

Posté le 08/03/2016 à 19h51 par cl

G la photo représente le Port , photo prise en survolant le cirque de Mafate .. on voit le cone de déjection sur lequel est venu se construire la ville du Port
J'ai passé mon brevet de pilote a la réunion ..

claude

Posté le 09/03/2016 à 04h54 par gerarddelareunion

effectivement c'est bien lui,il a su faire sa place au soleil

gerard

http://www.mi-aime-a-ou.com/

Posté le 21/04/2016 à 19h55 par Nicky

Dossiers Amiante: Centaure appelle à l'Union solidaire


Julie Andreu, avocate, a rappelé aux victimes de l'amiante de "rester solidaires". L'association affiche une nette volonté d'agir contre l'État (Photo: R.A.) - Agrandir - cliquez ici
L'Avocate Julie Andreu propose une Procédure judiciaire à l'encontre de l'État ... Une salle comble et de nombreuses interrogations. Après un bref topo et l'énoncé du rapport d'activités, Jacques Middione, trésorier, a évoqué la situation financière de l'association santé travail retraite des anciens de la Navale (Centaure) qui affiche un déficit de 15 298 €

... Et ce malgré l'organisation de manifestations telles que le loto, les cotisations des adhérents, et les dons. Seule recette de la structure qui ne perçoit aucune aide des collectivités. "Nous sommes contraints d'augmenter les cotisations, elles passeront de 15 euros à 20", poursuit le trésorier.Les comptes ont été approuvés à l'unanimité.

Mais les adhérents, venus en nombre, ont prêté une attention particulière à l'intervention de Julie Andreu, avocate. Certains ont, ces derniers jours, reçus un courrier leur demandant s'ils étaient titulaires d'une protection juridique. Une requête qui a pu surprendre les destinataires. Mais, l'avocate, dans un exposé clair et quelque peu pédagogique, a éclairci la situation.

Une reconnaissance ...

Le préjudice d'anxiété a été reconnu en octobre 2012 par la cour d'Appel d'Aix-en-Provence. "C'est une grande bataille, une reconnaissance", lâche-t-elle. Sauf que la Normed ayant été liquidée, aujourd'hui, il a été demandé aux personnes ayant reçu des indemnités "de ne pas les dépenser". Car, si le cas est "peu probable", l'AGS est "en droit de demander le remboursement". Dans ce cas, "nous nous mobiliserons pour marquer notre refus, poursuit-elle, aujourd'hui je ne peux pas dire que c'est acquis". L'avocate, qui se veut fédératrice, a effectué une proposition à l'ensemble des adhérents présents. Celle "d'une autre procédure dirigée contre l'État, en tant que régulateur, et non plus contre l'employeur". Selon Julie Andreu, "l'état aurait dû légiférer plus tôt, l'interdiction de l'amiante est arrivée bien trop tardivement".

Toutefois, elle émettra quelques réserves. "Il n'y a pas de jurisprudence, qui me permet de dire que vous allez gagner. Mais si on ne le fait pas, nous n'avons plus rien à proposer". Il faut dire que, pour la première fois, la Cour d'Appel d'Aix - et ce n'est pas la seule - statue sur des indemnités à zéro euro. Contre 45 000 pour le TAS et jusqu'à 8000 euros pour une Cour d'Appel. Mais, cette juridiction s'appuie sur un arrêt de la cour de Cassation, de 2014, qui précise que ne seront excusés que les préjudices couverts par la rente. "On a l'impression de repartir en arrière, et d'être face à la mise à mal des victimes". Le discours se veut toutefois positif. "Les victimes doivent se rassembler, être solidaires... On ne doit pas baisser les bras trop vite".

Daniel Guerrero, vice-président, démissionnaire, n'adhère toutefois pas à cette démarche. "L'État ce sont mes impots, pas le patron qui nous a laissés respirer de la poussière mortelle. Je comprends cette démarche mais il y a d'autres moyens. Je propose que l'on aille parler au juge, précise-t-il, ou que l'on descende à la Préfecture, avec les représentants de Centaure, et que l'on exige un fonds spécial qui alimentera les victimes de La Seyne, La Ciotat et Dunkerque". Deux écoles, donc. Pour un même combat.
source: Rislène Achour - la provence

... cordialement ... Nicky ...

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Posté le 22/04/2016 à 09h44 par gerarddelareunion

bonjour

Mais les adhérents, venus en nombre, ont prêté une attention particulière à l'intervention de Julie Andreu, avocate. Certains ont, ces derniers jours, reçus un courrier leur demandant s'ils étaient titulaires d'une protection juridique. Une requête qui a pu surprendre les destinataires. Mais, l'avocate, dans un exposé clair et quelque peu pédagogique, a éclairci la situation.

s'il vous plait quels sont les eclaircissements ?

gerard

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Posté le 22/06/2017 à 21h52 par Nicky

Victimes de l'amiante : la « carence fautives » de l’Etat enfin condamnée à la Ciotat
Victimes de l'amiante : la « carence fautives » de l’Etat enfin condamnée à la Ciotat
Les bénévoles de Centaure, anciens salariés de la Normed, et leur avocate, saluent « cette victoire ». Mais la bataille juridique continue. (Photo S.F. Journal La Marseillaise)

Le tribunal administratif de Marseille a condamné pour « carence fautive » l’Etat, attaqué par 7 anciens salariés de la Normed. « C’est une grande victoire et une première en France » réagit l’association Centaure. Même si l’Etat a fait appel.

« Cela fait sept ans que les anciens salariés se battent pour faire reconnaître et indemniser leur préjudice anxiété » résume maître Julie Andreu, dont le cabinet d’avocats travaille depuis des années avec l’association ciotadenne Centaure, d’aide aux victimes de l’amiante. Une première victoire avait permis la reconnaissance de ce préjudice, mais au final, la Normed, dont la « faute inexcusable comme employeur a été reconnue » précise Jacques Middione, le président de la structure, a été officiellement radiée l’année dernière... Aussi, les anciens salariés se sont retournés contre l’Etat.

« Un crime industriel »

La décision du tribunal administratif est sans ambiguïté. Il reconnaît la responsabilité de l’Etat, avant 1977, date des premières mesures de limitation à l’exposition, elles sont « très insuffisantes » au regard des dangers mis en évidence de la fin du XIXe siècle aux années 50... Il pointe ensuite, pour la période postérieure à 1977, que « l’inspection du travail n’a effectué aucun suivi, ni aucune enquête auprès de cet employeur pour s’assurer du respect de la réglementation existante et l’opportunité d’imposer des mesures complémentaires ». Cette reconnaissance, « c’est un enjeu de santé publique » poursuit Julie Andreu, tant le cas est symptomatique. Et « cela souligne l’irresponsabilité de nos gouvernants pendant plus d’un siècle » estime Daniel Blancart, de Centaure.

« Aujourd’hui, sur les 4000 salariés que comptait la Normed, c’est 490 décès directement imputables à l’exposition aux poussières d’amiante et 1500 malades » stipule l’avocate. « Il y a quelques années, nous recevions une personne malade par mois pour la constitution des dossiers, aujourd’hui c’est en moyenne une par semaine » ajoute Henri Tite-Gres, de la Seyne-sur-Mer. L’explication est hélas simple, « nous sommes en pleine période de déclaration des pathologies, 35 à 40 ans après l’exposition... » reprend l’avocate. Aussi, tous attendent impatiemment aujourd’hui « la confirmation de la décision du tribunal administratif par le conseil d’Etat, pour que justice soit rendue aux victimes » conclut Jacques Middione.
source: S.F. - lamarseillaise.fr

... cordialement ... Nicky ...

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Posté le 23/06/2017 à 05h26 par Gerard Delage

Bonjour Nicky
merci bien ,heureusement que tu es la

cordialement Gerard