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Posté le 09/07/2012 à 10h14 par lafleur

pourquoi Brégaillon et pas St Mandrier sur la base marine, après tout ce sont des rafios militaires, et l'armée a un budget, il pourrait l'utiliser (intelligemment....)

lafleur

Posté le 09/07/2012 à 10h52 par GAMBISTORTI

Pourquoi pas Six Fours, Sanary, Bandol ou Hyères. En plus ils appellent ça "déconstruction de navires" pour faire moins peur mais en réalité c'est "démolition de navires" avec les nuisances que ça apporte. Bruit, et surtout POLLUTION par les huiles et hydrocarbures.

Qu'ils aillent le faire ailleurs, au Pakistan ou en Inde.

Je suis seynois et j'en suis fier

Posté le 09/07/2012 à 17h07 par Nicky

La CGT soutient le projet de démantèlement des navires hors d'usage à Brégaillon


La CGT a annoncé supporter le projet de désamiantage et de démantèlement des navires hors d'usages, porté par la Marine nationale sur le site de Brégaillon

Ce soutien arrive alors que le plan suscite la méfiance des associations locales et de certains élus seynois. La CGT va même plus loin, en réclamant la mise en place d'une filière de démantèlement des navires pérenne à l'échelon régional.

Sylvain Brossaud, secrétaire de l'union départementale, estime qu'un tel projet industriel est de nature à créer des emplois et qu'il peut être tout à fait compatible avec les normes environnementales et de sécurité en vigueur.
source: M.V. - var matin

... cordialement ... Nicky ...

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Posté le 09/07/2012 à 17h37 par GAMBISTORTI

Non à au nouveau chantier de démolition. Souvenez vous du Clémenceau. Plusieurs pays européens avaient refusé d'y toucher à cause du grave danger de DESAMIANTAGE. et après un très longue périple sur toutes les mers du monde il a terminé sa course dans un port des Indes.

On a assez de merdes comme ça.

Je suis seynois et j'en suis fier

Posté le 08/12/2012 à 12h04 par Nicky

Trois vieilles coques seront bien démolies dans la rade de Toulon


Le démantèlement dans la rade de Toulon des trois premières vieilles coques parmi lesquelles La Saône (ci-dessus), depuis le porte-avions Arromanches à la fin des années 1970, devrait permettre la création de 10 à 20 emplois (photo: Dominique Leriche)
L'idée n'était pas du goût de tous les élus seynois. Au mois de juin dernier, le projet de démantèlement des vieilles coques de la Marine nationale avait même donné lieu à un conseil municipal plutôt agité

Mais n'en déplaise à ses plus farouches opposants, le ferraillage des navires de guerre aura bien lieu à Brégaillon, dans le « far west » de la rade de Toulon. Du moins pour la Saône, l'Argens et la Dive, trois bâtiments désarmés depuis déjà de longues années et qui, de l'aveu même de la Marine nationale, ne supporteraient pas d'être remorqués.

Même si l'affaire semblait entendue, la société Foselev Marine, basée à La Seyne/Mer, a reçu confirmation de l'attribution du marché de démantèlement des trois vieilles coques en milieu de semaine.

Un an de chantier

Mis à part l'indispensable dock flottant de 160 mètres de long, attendu dans la rade dans le courant du 1er trimestre 2013, tout est fin prêt pour accueillir les trois vieux navires. «Les arrêtés préfectoraux nécessaires aux installations classées pour la protection de l'environnement ont été pris», assure Philippe Larue, le directeur de Foselev Marine.

Si le calendrier est respecté, le démantèlement successif des trois vieilles coques devrait commencer début 2013 et durer une douzaine de mois. Pour Foselev, «ce chantier représente quelque 50 000 heures de travail. Auxquelles il faut ajouter l'opération de désamiantage que nous sous-traitons à la société spécialisée Prestosid», déclare Philippe Larue.

Une activité éphémère ?

Est-ce une activité rentable ? «Le montant du contrat est de plusieurs millions d'euros», glisse la Marine nationale, volontairement discrète sur le sujet. «Dans la mesure où il y a beaucoup de bateaux à démanteler, ça peut être rentable. Vue la situation économique actuelle, c'est surtout un bon complément à notre activité principale qui reste la réparation navale», explique le directeur de Foselev Marine.

Croyant dur comme fer à cette activité, le chantier seynois s'est d'ailleurs d'ores et déjà positionné sur d'autres appels d'offres à Toulon et à Brest.

Reste à savoir si cette activité a de l'avenir dans la rade à moyens ou longs termes. Rien n'est moins sûr. En effet, outre une partie des élus seynois, l'autorité portuaire Ports Toulon Provence, qui s'est prise de passion pour les paquebots, ne semble pas très favorable à l'installation pérenne d'un chantier de démolition des vieux bateaux de guerre.
source: P.-l. Pagès - var matin

... cordialement ... Nicky ...

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Posté le 08/12/2012 à 17h29 par GAMBISTORTI

Je n'étais pas favorable dans un premier temps à l'installation de ces chantiers de démolition mais puisque on nous les impose, il faut les accepter mais ATTENTION.

Attention à la pollution que cela peut amener, déversement de produits toxiques dans la rade, huiles, mazout et produits lourds.

Organisons un système de contrôle permanent avec relevé journalier comme il es fait l'été sur les plages.

Je ne sais pas si des habitations sont proches car ces chantiers sont quelquefois très bruyants et ils peuvent engendrer des gènes surtout s'ils sont effectués de nuit.

Je suis seynois et j'en suis fier

Posté le 08/12/2012 à 17h51 par Ghjuvan

Du temps des CNIM puis de la Normed y avait il pollution de la rade, du bruit la nuit, des prélèvements journaliers d'eau

"je suis pour tout ce qui est contre et contre tout ce qui est pour" (Pierre Dac)

Posté le 10/12/2012 à 01h57 par chris83

Ce sera un beau spectacle, ces épaves rouillées en cours de démentellement, pour les croisiéristes qui n'avaient rien à voir à la Seyne. C'est bon pour l'emploi mais pas bon pour le tourisme de luxe.

" Vous n'aurez pas, ma liberté de penser" Florent Pagny

Posté le 10/12/2012 à 15h17 par amiante CGT CANAL HISTORIQUE

Main d'oeuvre polonaise ,portugaise,roumaine il ne manque plus que pizzorno au milieu d'un beau panier à crabe vive l'europe ..qui ? contrôle la formation des salariés .
L'enlêvement des déchets d'amiante ou seront t'ils stockés sur le site ? Y aura t'il des intérimaires ....

amiante CGT CANAL HISTORIQUE

Posté le 10/12/2012 à 17h42 par GAMBISTORTI

amiante CGT CANAL HISTORIQUE a écrit : Main d'oeuvre polonaise ,portugaise,roumaine il ne manque plus que pizzorno au milieu d'un beau panier à crabe vive l'europe ..qui ? contrôle la formation des salariés .
L'enlêvement des déchets d'amiante ou seront t'ils stockés sur le site ? Y aura t'il des intérimaires ....

Il faut que CGT CANAL HISTORIQUE rentre dans la commission de contrôle des embauches, de la protection et du suivi et de la protection du personnel, du contrôle sanitaire des ouvriers, du contrôle sonore du chantier, du stockage et de l'élimination des produits dangereux et amiantés.

Je suis seynois et j'en suis fier