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Nicky
webmaster

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Date du message : lundi 23 mai 2011 à 13h51


La Seyne: vers une charte de bonne conduite des promoteurs


Certains promoteurs immobiliers ont pu être effrayés lorsque l’actuelle municipalité a été élue avec pour projet de réduire la constructibilité. Aujourd’hui, la ville veut jouer la carte du consensus.

Imposer des limites pour lutter contre les nuisances, sans se mettre à dos de puissants groupes immobiliers, acteurs de la vie économique. L’exercice paraissait délicat. Le message semble être bien passé, à l’occasion de la venue en mairie, la semaine dernière, d’une quinzaine de promoteurs immobiliers.

Limiter les nuisances

« Depuis plus de trois ans, nous avons entre quinze et vingt chantiers de construction d’immeubles ouverts en permanence sur la commune. Nous savons que tous ces chantiers ont des répercussions sur la vie quotidienne de nos administrés », expose l’adjoint à l’urbanisme, Claude Astore. Il cite les problèmes de circulation, de stationnement, mais aussi des difficultés liées à la livraison des matériaux près des écoles ou encore la sécurité des piétons aux abords des travaux, les nuisances sonores, les rejets d’eaux souillées, les déchets, etc.

Rachid Maziane, adjoint à la politique de la ville, rapporte ses observations sur certains chantiers à Berthe, dans le cadre du programme de rénovation urbaine. Il parle d’un échafaudage sur roulettes abandonné le week-end près d’un bâtiment et avec lequel les enfants s’amusent. Il évoque un engin stationné sur la route sans aucune signalisation. Malgré la révision du Plan local d’urbanisme, les chantiers vont encore bon train : 1500 logements sont en cours ou à venir.

« Passer le message aux sous-traitants »

La ville a déjà pris des mesures très restrictives vis-à-vis des promoteurs. Claude Astore veut « dédramatiser la situation ». « Notre objectif n’est pas de les empêcher de travailler. Je sais que certains font déjà de gros efforts. C’est plutôt du côté des sous-traitants que le message doit passer... Nous devons faire en sorte que nos concitoyens se sentent un peu moins agressés », plaide-t-il.

« Les rapports sont parfois houleux avec les riverains. Les services de la ville sont à la disposition des promoteurs pour les aider à solutionner ces problèmes », renchérit Roger Tirion, chef du service gestion de proximité.

Un référent par chantier

La municipalité demande que les promoteurs désignent un référent par chantier pour faciliter le contact avec les services municipaux. Surtout, Claude Astore veut leur faire signer une « charte chantiers verts » dans laquelle les promoteurs s’engagent sur certains principes, notamment le tri et le traitement des déchets. Globalement, les représentants des grands groupes présents (Bouygues, Eiffage, Cogerim, Akerys...) se montrent peu diserts.

Ils semblent accepter le principe.

Certains évoquent les difficultés à mettre en place des bennes de tri : « L’assiette foncière correspond souvent tout juste au projet immobilier. » Quant à déborder sur la voie publique, les tarifs imposés par la ville sont jugés trop onéreux par certains. D’autres réclament plus de communication sur leurs projets, des réunions systématiques auprès des riverains. Sur ce coup, la ville est prête à les aider. Et même à les inviter aux conseils de quartier.
source: Marielle Valmalette - var matin

... cordialement ... Nicky ...

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azertuyop
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Date du message : lundi 23 mai 2011 à 23h20


Dommage, pour nous il est troooooooooooooop tard !!!!!

l'aiguillon