La minute écologique.

C'est vrai, il ne nous reste plus de campagnes, de jardins et nos collines sont devenues des zones urbanisées alors je me souviens de ma jeunesse et de la nature qui existait encore.

Le bois du chinois, le bois de Pignet, la colline des quatre Moulins, les bois du col d'Arthaud.....fini tout ça parti, bonjour les villas, bonjour les piscines, nous, nous allions nous baigner dans les bassins d'arrosage de la campagne Hugues dans une eau verdatre.

Bon, revenons à notre nature et à nos gentils oiseaux qui pouvaient se gaver de grains de raisins et nicher dans les arbres et les excavations.

Je ne peux pas vous donner le nom exact de ces oiseaux mais je crois me souvenir qu'on y trouvait des mésanges, des pinsons, des roitelets (ninis) des mésanges à queue longue et bien d'autres.

J'ai dit que la disparition de nos collines avait été une des raisons mais à celà il faut y ajouter l'arrivée de deux prédateurs qui sont les tourterelles et surtout les pies.

Il n'y avait pas de tourterelles il y a 50 ans, elles ont été introduites par le gardien du musée du fort de Balaguier. A SUIVRE

GAMBISTORTI a écrit : C'est vrai, il ne nous reste plus de campagnes, de jardins et nos collines sont devenues des zones urbanisées alors je me souviens de ma jeunesse et de la nature qui existait encore.

Le bois du chinois, le bois de Pignet, la colline des quatre Moulins, les bois du col d'Arthaud.....fini tout ça parti, bonjour les villas, bonjour les piscines, nous, nous allions nous baigner dans les bassins d'arrosage de la campagne Hugues dans une eau verdatre.

Bon, revenons à notre nature et à nos gentils oiseaux qui pouvaient se gaver de grains de raisins et nicher dans les arbres et les excavations.

Je ne peux pas vous donner le nom exact de ces oiseaux mais je crois me souvenir qu'on y trouvait des mésanges, des pinsons, des roitelets (ninis) des mésanges à queue longue et bien d'autres.

J'ai dit que la disparition de nos collines avait été une des raisons mais à celà il faut y ajouter l'arrivée de deux prédateurs qui sont les tourterelles et surtout les pies.

Il n'y avait pas de tourterelles il y a 50 ans, elles ont été introduites par le gardien du musée du fort de Balaguier. A SUIVRE

Les tourterelles ont donc envahi nos espaces, nos jardins et de plus, avec leurs piaillements bruyants elles nous emmerde, elle ont commencé par bouffer tout les oeufs du nid des gentils oisillons mais sont arrivées les pies.

Ces noires bestioles ne sont présentes chez nous que depuis peu et elles se nourissent entre autres, des oeufs de tourterelles. Bien fait

GAMBISTORTI a écrit : GAMBISTORTI a écrit : C'est vrai, il ne nous reste plus de campagnes, de jardins et nos collines sont devenues des zones urbanisées alors je me souviens de ma jeunesse et de la nature qui existait encore.

Le bois du chinois, le bois de Pignet, la colline des quatre Moulins, les bois du col d'Arthaud.....fini tout ça parti, bonjour les villas, bonjour les piscines, nous, nous allions nous baigner dans les bassins d'arrosage de la campagne Hugues dans une eau verdatre.

Bon, revenons à notre nature et à nos gentils oiseaux qui pouvaient se gaver de grains de raisins et nicher dans les arbres et les excavations.

Je ne peux pas vous donner le nom exact de ces oiseaux mais je crois me souvenir qu'on y trouvait des mésanges, des pinsons, des roitelets (ninis) des mésanges à queue longue et bien d'autres.

J'ai dit que la disparition de nos collines avait été une des raisons mais à celà il faut y ajouter l'arrivée de deux prédateurs qui sont les tourterelles et surtout les pies.

Il n'y avait pas de tourterelles il y a 50 ans, elles ont été introduites par le gardien du musée du fort de Balaguier. A SUIVRE

Les tourterelles ont donc envahi nos espaces, nos jardins et de plus, avec leurs roiucoulements bruyants elles nous emmerde, elle ont commencé par bouffer tout les oeufs du nid des gentils oisillons mais sont arrivées les pies.

Ces noires bestioles ne sont présentes chez nous que depuis peu et elles se nourissent entre autres, des oeufs de tourterelles. Bien fait

Les PRAIRES de TAMARIS

Nous nous mettions à l'eau à hauteur de la Biologie, sur la corniche et après la traversée du canal à la nage (15 m environ) l'eau n'est profonde que de 50 cm environ. Là est une grande zone où il suffit de farfouiller le fond (chasper disait on) pour se mettre à la recherche de ces goûteux coquillages.

Y en a t'il encore, moi je le pense et le mieux encore c'est d'aller voir. Pour ça, je compte organiser une petite concentration de volontaires pour faire un petit tour où les plus courageux s'élanceront en maillot de bain pour faire les recherches.

L'an dernier ce RDV avat en parti foiré mais cette fois j'espère que tut ira bien.

Bonjour Gambi, je veux corriger une petite erreur que tu as commise, les tourterelles n'ont pas été introduite par le gardien du musée mais par un éleveur de Bandol qui les a relâchées après une cessation d'activité, et il n'y en a pas que dans le var elles m’ont suivi jusqu'en Ardèche, et les pies ont été introduites pour limiter leur invasion;
dans ton énumération tu as oublié les "favouilles" et les gobies que l'on pêchait avec des briques à la petite mer là ou il y a le Bali actuellement, cette "verrue".

Bonjour,
Tu as oublié les corbeaux, il y a très peu de temps qu'ils sont là.
Habitant en lisière de forêt, j'ai eu la chance d'entendre une chouette et également un coucou.
Je n'en avais plus entendu depuis que j'étais petite, dans les bois de la Coudoulière. Le coucou annonçait invariablement l'arrivée du printemps.
Mais maintenant, même les saisons ont changé !

Quant aux hirondelles on dirait qu'il y en a moins

Très peu d'hirondelles en effet, ce sont surtout des martinets.
Et pour qui aime prendre l'air juste après le coucher du soleil, il y a des chauves-souris.
Leur donnant des graines l'hiver, j'ai pu voir :
des mésanges, huppées, charbonnières et bleues,
des verdiers,
des chardonnerets élégants,
des pinsons et des rouges-gorge.
Les merles et tarins des aulnes des années pécédentes ne sont pas revenus.

Nous avons également un héron cendré qui se balade dans nos jardins.

Et très bon insecticide naturel pour éliminer les frelons, les guêpiers.

Je ne connaissais pas l'histoire des tourterelles, ce monsieur aurait mieux fait de s'abstenir !

Quant aux favouilles, ne compte pas sur moi pour "plonger"

Dans ma jeunesse, au quartier Barban presque tout less hommes pratiquaient la chasse et il n'était pas râre de voir un de ces cassaïres se balader fusil à l'épaule.
Parmi eux je me souviens toujours de Léon Caprino. Ce brave homme avait été champion cycliste et avait fait le tour de France des indépendants, ce qui était déjà une bonne référence.
Gazé à la guerre de 14, il ne pouvait plus travailler et se passionnait pour la chasse et les champignons.
Il nous racontait ses exploits de coureur (jamais de la guerre) et nous invitait à le voir fabriquer lui même ses cartouches.

"Avec de la poudre T qui est bien meilleure que la poudre Noire"

Histoire de hérisson.

Il y a plusieurs années, en été je m'installais sur mon transat le soir sur la terrasse et à la même heure je voyais arriver mon hérisson sortant de sa cachette. Il longeait le mur de la maison, gravissait une petite hauteur de 5 cm environ et il allait manger les restes de croquettes que notre chien laissait.