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Nicky
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Date du message : mercredi 1 juillet 2020 à 15h21


L'Ordre du Jour du Conseil municipal de La Seyne du 05/07/2020
L'Ordre du Jour du Conseil municipal de La Seyne du 05/07/2020

L'Ordre du Jour du Conseil municipal de La Seyne du 05/07/2020 - Le prochain conseil municipal se réunira dimanche 05 juillet 2020 à 10 heures. Rendez-vous est fixé en salle du conseil au premier étage de l'hôtel de ville. L'ordre du jour portera sur l'élection du maire, la détermination du nombre des adjoints et des adjoints de quartier, l'élection des adjoints et des adjoints de quartier, la lecture de la charte de l'élu local et une communication sur la désignation du Vice-Président à la Métropole.

A noter qu'en raison de la pandémie, la séance se déroulera sans public et sera retransmise en direct sur www.facebook.com/LeSeynoisOfficiel; www.facebook.com/LaSeynesurMer et Youtube leseynois TV, afin d'assurer
son caractère public.

L'Ordre du Jour du Conseil municipal de La Seyne du 05/07/2020

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Nicky
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Date du message : jeudi 2 juillet 2020 à 19h19


Voir la Retransmission en direct - Dimanche 05/07/2020 à partir de 10h00

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Nicky
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Date du message : dimanche 5 juillet 2020 à 15h38


Qui est Nathalie Bicais ? Récit.
Qui est Nathalie Bicais ? Récit.

Qui est Nathalie Bicais ? Récit. - Et soudain, indocile et opiniâtre, elle apparut dans nos colonnes. On est en 1993 et Nathalie Bicais, 27 ans, fait irruption dans l’espace public seynois. A la tête de l’association Héritage et Paysages, cette étudiante en architecture remue alors ciel et terre pour éviter la démolition du Golf- hôtel, un établissement décrépi, vestige de l’époque Pacha qui deviendra plus tard le prestigieux Grand hôtel des Sablettes. Ralliant à sa cause des milliers de Seynois, celle-ci se fait rapidement un nom en même temps qu’une réputation de battante. « À l’époque déjà, ce qui frappait, c’était sa grande détermination, se souvient un observateur de la vie locale. Comme aujourd’hui, elle souriait souvent, mais on devinait aussi qu’elle pouvait mordre à tout moment. » Son ami Cheikh Mansour participe à l’aventure à ses côtés : « La question de savoir qui devait présider l’association ne se posait pas. C’était Nathalie, on la suivait… » Leader, naturellement.

L’ENTRÉE EN POLITIQUE - Mais si l’opinion se range également derrière elle, la partie ne se joue pas assez vite aux yeux de cette adroite volleyeuse. Elle entre alors en politique. « Grâce à ma belle-mère, je rencontre Patrick Martinenq qui monte une liste pour les municipales, raconte-t-elle. Je n’y connais pas grand-chose, mais je suis séduite intellectuellement. Et je sens que pour défendre l’identité seynoise et la mémoire collective, il faut y aller… » Patrick Martinenq recueille 21 % des voix et, en 1995, Nathalie Bicais fait son entrée au conseil municipal. Prenant goût au débat d’idées dans l’assemblée, elle récupère même le leadership du groupe dès 1996. « Pour moi, à ce moment-là, elle rêvait déjà d’être maire, analyse Florence Cyrulnik, alors présidente du CIL de Balaguier et proche de celle qui lutte, comme elle, pour la protection du patrimoine et de l’environnement. Ça a toujours été quelqu’un d’honnête dans ses convictions mais aussi de terriblement ambitieux … ». Plus que la volonté de briller, l’intéressée livre une clé plus intime de la genèse de son combat. « Ma mère, veuve très jeune, sans gros moyens, nous emmenait toujours à la plage, confie-t-elle sobrement. Le Golf-hôtel, c’était mon paysage, mon horizon, mon histoire. Je ne pouvais pas concevoir qu’il disparaisse. » Convaincu par la ténacité de son opposante, le maire Maurice Paul s’engagera pour éviter la destruction de l’établissement.

LA DÉSILLUSION - Le deuxième acte fondateur de la carrière politique de Nathalie Bicais s’ancre en 2000, quand Arthur Paecht (UDF), qui brigue le fauteuil de maire, l’intègre dans son équipe. Alors que les deux fortes personnalités s’accordent lors d’une campagne où Nathalie Bicais se démène, une fois pris l’hôtel de ville, les premières fêlures apparaissent. Un an à peine après son élection, Arthur Paecht retire ainsi ses délégations à sa troisième adjointe, au motif que Nathalie Bicais se présente comme suppléante de Ferdinand Bernhard aux législatives, tandis que l’édile part derrière Jean-Sébastien Vialatte. « Un prétexte, s’agace Nathalie Bicais. La vérité, c’est que je n’étais pas d’accord avec sa politique et notamment toutes les nouvelles constructions que laissait présager le Plan local d’urbanisme. » Sauf qu’en 2004, pour le vote du PLU, Nathalie Bicais est déjà au ban de la majorité. En plus du « coup » des législatives, Arthur Paecht, lui, fustigera à mots couverts une adjointe incapable de travailler en équipe. « Elle a joué la succession, dès notre élection », avait-il grincé devant son clan. Cet épisode, qui marque l’émancipation de Nathalie Bicais en politique, un élu de l’époque le résume en une anecdote cinglante : « En 2001, est organisée une visite des ex-menuiseries des chantiers avec le maire, le préfet et quelques huiles pour évoquer les projets du site. Ce jour-là, pourtant, on n’a vu qu’elle : une jolie fille, exubérante et narcissique, qui faisait tout pour capter l’attention. Paecht n’a pas supporté qu’elle lui fasse de l’ombre. »

L’ÉMANCIPATION - L’ex-troisième adjointe retourne sur les bancs de l’opposition. « Ça a été terrible ce qu’ils m’ont fait vivre », soupire-t-elle aujourd’hui. Mais la carapace s’endurcit et, dès 2008, elle décide de s’attaquer seule à la mairie. « De cet épisode, j’ai retenu que si on veut que nos idées soient entendues, il vaut mieux les porter soi-même. » Las, avec 9,8 % des voix, elle est éliminée au premier tour. Toutefois, Nathalie Bicais apprend : divisés en quatre listes, le centre et la droite ne pouvaient sans doute pas battre la gauche. Et elle profite de cette « pause » pour se concentrer sur la mission qu’elle accomplit quotidiennement au cabinet du maire de Sanary depuis 2002. « Elle y est entrée grâce à ses qualités et y a appris les rouages de l’administration », affirme Cheikh Mansour. « L’architecte que j’étais avait enfin la main sur des dossiers », appuie-t-elle.

A l’évocation de cette période, Jean-Pierre Colin, fraîchement élu à ses côtés, dit dans un sourire que c’est ce qui l’a convaincu de se lancer avec elle dans la bataille des dernières municipales : « Quand on est parvenu à bosser pendant 15 ans avec Ferdinand Bernhard - un gros caractère - on est capable de me supporter ! » Après une défaite commune en 2014 contre Marc Vuillemot, alors embarqué derrière un Philippe Vitel parachuté en terres hostiles, le duo décide en effet de se lancer dans la course à la mairie. Dès 2017. « On ne se connaissait pas vraiment avant que Jo Minniti nous réunisse autour d’une table… » Et ce que découvre Jean-Pierre Colin le séduit : « Nathalie Bicais, c’est une vraie amoureuse de sa ville, avec une sensibilité environnementale très forte. Cette fille a une vision. Je me suis dit : c’est son heure. » Côté face, l’élu régional décrit « quelqu’un qui aime la vie et adore rire ». Un portrait de cette mère de deux enfants que valide Cheikh Mansour, qui dépeint « une femme généreuse et déterminée. » Mais aussi « très tacticienne. Tout, sauf une naïve. »

LA CONSÉCRATION - Des qualités dont elle fera preuve dans une campagne 2020 épuisante, parfois violente. Avec des choix délicats à opérer. « Aller gratter des voix à droite de la droite pour réduire le FN, c’était mon idée, assure Jean-Pierre Colin. Elle n’était pas à l’aise avec ça. » Si Nathalie Bicais dit abhorrer le côté dogmatique de la politique, ses convictions se sont lentement forgées au centre droit, un petit peu par opportunité, beaucoup par sensibilité. « Pour moi, le centre, c’est ne jamais être très loin des autres, ça me va bien. Et j’estime que, pour fonctionner, la démocratie a besoin d’ordre », résume-t-elle. Son parcours politique oscillera ainsi du Parti radical valoisien aux Républicains, qu’elle intègre en 2011. C’est cette étiquette qui lui permettra d’être élue conseillère départementale en 2015, dernier échelon avant la mairie de la deuxième ville du Var. Et c’est encore le soutien des LR, famille toute puissante dans le département, qui assoira sa légitimité lors du second tour du scrutin en juin dernier. Le reste de l’histoire est connu.

Nathalie Bicais éclipse Marc Vuillemot pour devenir la première femme maire de La Seyne. Symbolique ? Pour cette sculptrice fascinée par la sensualité du corps féminin, la question ne se pose pourtant pas vraiment. « Chaque combat en son temps, balaye-t-elle. Là, j’entends me battre pour La Seyne. Je suis un homme politique comme un autre, mais du genre féminin. » Un homme politique « qui sait encaisser les coups sans trembler », dixit Jean-Pierre Colin. Et qui, au fil de ces années dans l’antichambre du pouvoir local, a appris la patience. En 1999, Nathalie Bicais déclarait : « Dans tous les partis, il faut passer vingt ans dans l’ombre pour espérer un jour être au soleil. Moi, je veux diminuer cette durée… » Place à la lumière. source: MA.D. var matin

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Nicky
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Date du message : dimanche 5 juillet 2020 à 21h23


Ce Dimanche 05 juillet 2020, en l'hôtel de ville de La Seyne-sur-Mer, Nathalie Bicais (LR) a ceint l’Echarpe tricolore, remise par le Doyen de l’Assemblée communale, Joseph Minniti, son nouvel Adjoint à la Mer et aux Ports
Nathalie Bicais élue Maire de la Seyne et Joseph Minniti

Ce Dimanche 05 juillet 2020, en l'hôtel de ville de La Seyne-sur-Mer, Nathalie Bicais (LR) a ceint l’Echarpe tricolore, remise par le Doyen de l’Assemblée communale, Joseph Minniti, son nouvel Adjoint à la Mer et aux Ports - Elle a été élue maire à la majorité absolue (36 voix et cinq blancs). Et ce, en l'absence de de son prédécesseur, le maire sortant, Marc Vuillemot, excusé tout comme sa colistière Cécile Jourda, et sans "la participation au vote" de son groupe d’opposition "La Seyne 2020, l’énergie positive", comme l’a clairement énoncé un de ses colistiers, Anthony Civettini. Et ce, après que celui-ci a précisé "respecter la démocratie". Nathalie Bicais, émue, a salué "une équipe plus forte que jamais pour prendre la destinée" de la deuxième ville du Var. Un destin conduit avant elle par ses prédécesseurs à qui elle a tenu à rendre hommage à la sortie de l’hôtel de ville, après les formalités administratives. Un "moment solennel" qu’elle a voulu "célébrer avec tous les Seynois". "Je sais l’engagement et je sais l’attente de mes concitoyens", a-t-elle déclaré. Mais avant d’entonner la Marseillaise, encore fallait-il officiellement élire les 18 adjoints au maire.

QUARTIERS: QUATRE "SUPER-ADJOINTS" - Quatre d’entre eux seront délégués aux quartiers (Nord, Sud, Centre, Ouest), et qualifiés de "super-adjoints", par Nathalie Bicais. "Au vu de la dimension de La Seyne, cela préfigure de ce qui se passe dans les grandes villes: ce sont comme des maires d’arrondissement. On n’a jamais assez utilisé cette configuration pour se donner les moyens d’agir au plus près des habitants", a t-elle déclaré. La nouvelle première magistrate entend continuer à travailler "dans la bienveillance". Après avoir adressé un message "d’écoute envers les minorités de l'opposition qui représentent, aussi, les Seynois", elle a eu un mot pour les employés communaux. "Je sais l’inquiétude, l’angoisse pour certains. Nous avons décrit un projet de manière extrêmement précise, nous avons des ambitions pour la ville, et voulons que l’outil municipal soit fait d’hommes et de femmes qui s’investissent, à nos côtés, soient des partenaires. Aujourd’hui, le sens du collectif, l’intérêt général, le service public seront au cœur de nos actions." Cet intérêt général prend tout son sens avec la lecture de "la charte de l’élu local".

Après avoir rappelé l’importance de ses proches à ses côtés, et "de l’engagement des citoyens auprès de nous" sous les applaudissements nourris de la population, elle a eu, en présence des élus, comme Philippe Vitel, conseiller régional, une pensée pour tous ces maires "qui ont assumé cette charge après la Libération"..."Si durant notre campagne, notre slogan était "La Seyne, j’y crois", aujourd’hui je vous propose "La Seyne vous sourit"." source: CATHERINE PONTONE - var matin

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mafee
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Date du message : lundi 6 juillet 2020 à 09h45


on peut les trouver quelque part, les délégations des adjoint.e.s ?

[couleur=#C80078]Soit on voit le verre à moitié vide, soit on le voit à moitié plein. La seconde solution rend la vie bien plus agréable ![/couleur]

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Nicky
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Date du message : lundi 6 juillet 2020 à 10h37


mafee a écrit : on peut les trouver quelque part, les délégations des adjoint.e.s ?

oui, au kiosque, dans la var matin du jour
et bientôt sur www.LaSeyne.Info

Conseil municipal - Nathalie Bicais

Conseil municipal Bicais - Agrandir

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mafee
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Date du message : lundi 6 juillet 2020 à 11h05


merci
;-)

(je pars trop tôt, les kiosques sont pas encore ouverts)
et c'est introuvable sur la version en ligne

[couleur=#C80078]Soit on voit le verre à moitié vide, soit on le voit à moitié plein. La seconde solution rend la vie bien plus agréable ![/couleur]

Message modifié le lundi 6 juillet 2020 à 11h12 par mafee

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Nicky
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Date du message : lundi 6 juillet 2020 à 14h33


Nathalie Bicais élue Maire de La Seyne sur Mer le 05 Juillet 2020, ses Adjoint.e.s et leurs Délégations
Nathalie Bicais élue Maire de La Seyne sur Mer le 05 Juillet 2020, ses Adjoint.e.s et leurs Délégations

Nathalie Bicais élue Maire de La Seyne sur Mer le 05 Juillet 2020, ses Adjoint.e.s et leurs Délégations - Dimanche 05 juillet 2020, Nathalie bicais a été élue nouveau maire de la seyne-sur-mer lors du premier conseil municipal par 36 voix. Un apéritif convivial et en musique a suivi l’investiture, avenue Hoche. « Il nous appartient de mettre toute notre énergie à ce qu’aspirent les Seynois.e.s ». C’est après avoir prononcé ces mots que Joseph Minniti, le doyen des élus de la nouvelle majorité, a déposé l’écharpe de maire sur l’épaule de Nathalie Bicais, selon la règle républicaine ... découvrir les Adjoint.e.s et leurs Délégations - cliquer ici