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riri
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Date du message : vendredi 13 janvier 2012 à 19h07


C'est un fou ce type, quand sera t-il mis en examen???

Regretter le passé, c'est courir aprés le vent.

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Placé Bo
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Date du message : samedi 14 janvier 2012 à 17h38


riri a écrit : C'est un fou ce type, quand sera t-il mis en examen???
pourquoi il y en a qui se font des couilles en or et des couilles en plastique pour les autres ... ok je sors ...

... Placé Bo

-Le mot "liberté" n'admet, par définition, aucune restriction.- et pistachier -

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Nicky
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Date du message : lundi 16 janvier 2012 à 19h42


Vidéo: Micro-Trottoir - Scandale PIP - Qu'en pensent les Seynois ?..


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Nicky
webmaster

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Date du message : mercredi 18 janvier 2012 à 12h44


L'ex-patron de PIP : "Faire enlever les prothèses, c'est criminel"


Selon Jean-Claude Mas, « un produit chimique peut servir à fabriquer des tas de choses. » (photo: Dominique Leriche)
Depuis que l'affaire des implants mammaires PIP a éclaté pour devenir unscandale mondial, Jean-Claude Mas, l'ex-patron de l'entreprise, ne s'était pas exprimé autrement que par la voix de son avocat.

Il est enfin sorti de son silence, hier soir, au micro de RTL. Avec un aplomb étonnant, le fondateur de PIP a nié la toxicité des prothèses fabriquées par sa société et n'a pas hésité à qualifier de « criminel » le comportement du ministre de la Santé, Xavier Bertrand.

« Ce monsieur nous met 500 000 patientes sur le dos par des déclarations intempestives. » Combatif, voire agressif, Jean-Claude Mas ne nie absolument pas avoir commercialisé des prothèses non conformes. « Je n'ai jamais dit le contraire. »L'additif pour carburants utilisé dans la composition du gel PIP ? « C'est n'importe quoi. Un produit chimique peut servir à fabriquer des tas de choses. » Jamais à court d'arguments, Jean-Claude Mas va jusqu'à accuser le gouvernement de faire courir un risque aux patientes qui se font retirer les prothèses ! « Ce monsieur [Xavier Bertrand, NDLR], a décidé de rembourser les patientes alors qu'il n'y a aucune raison médicale de le faire. Pourquoi aller proposer, payer à des patientes des explantations alors qu'il y a un risque chirurgical réel ? Cette décision, c'est criminel », conclut l'ex-patron de PIP qui n'a toujours pas été mis en examen.

L'OMS s'en mêle

Hier, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) basée à Genève, n'était pas du même avis et a conseillé aux femmes qui ont fait poser ces implants de consulter leur médecin ou chirurgien si elles suspectent une rupture, éporouvent une douleur ou bien pour « tout autre souci ». C'est la première fois que l'OMS communique au sujet de ces prothèses implantées chez plusieurs milliers de femmes à travers le monde.
source: var matin

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Nicky
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Date du message : mercredi 18 janvier 2012 à 12h59


Prothèses mammaires PIP : chronologie d'un scandale ...


En avril 2010, après la mise en liquidation judiciaire de l'usine PIP, ses salariés lancent des prothèses mammaires pour protester contre les 120 licenciements annoncés. (photo: AFP/ANNE-CHRISTINE POUJOULAT)
Environ 30 000 femmes en France, et 400 000 à 500 000 autres dans le monde portent des prothèses mammaires potentiellement défectueuses de la société Poly Implant Prothèse (PIP), basée à La Seyne-sur-Mer (Var). Voici les principales étapes de ce qui est devenu un vaste scandale sanitaire :

2010 : L'ALERTE

30 mars : L'Agence de sécurité sanitaire (Afssaps) annonce le retrait du marché des implants mammaires PIP, en raison d'un taux anormal de ruptures et de l'utilisation d'un gel "différent de celui déclaré lors de la mise sur le marché". Les porteuses sont appelées à consulter leur chirurgien. Le même jour, l'entreprise PIP, qui fut le 3e exportateur mondial de prothèses, est placée en liquidation judiciaire.

Avril-juillet : Le parquet de Marseille ouvre une enquête préliminaire pour "tromperie aggravée et mise en danger de la vie d'autrui". Première plaintes au civil, dont celles, déposée à Marseille, de plus de 500 membres de l'association des Porteuses de prothèses PIP (PPP). L'assureur de PIP, Allianz, dépose lui aussi un recours en justice (lire notre article en édition Abonnés).

28-29 septembre : L'Afssaps recommande un renforcement de la surveillance et le retrait des prothèses en cas de suspicion de rupture. Le ministère de la santé annonce la prise en charge des frais médicaux et chirurgicaux, ainsi que le remplacement des implants s'il s'agit de reconstruction mammaire après un cancer.

19 novembre : Plainte de l'association PPP contre l'organisme de certification allemand TÜV Rheinland, qui avait certifié le gel utilisé par PIP. Un peu plus tard, des distributeurs des prothèses lanceront à leur tour une action en justice contre TÜV.

2011 : DÉCÈS SUSPECTS ET INTERNATIONALISATION DU SCANDALE

21 novembre : Premier signalement, à Marseille, du décès d'une femme ayant développé un lymphome (cancer) après la rupture de ses prothèses PIP.

8 décembre : Ouverture à Marseille de la première information judiciaire contre X pour blessures et homicide involontaires. Celle-ci fait suite au dépôt de plainte de la mère d'une porteuse de prothèses PIP, décédée d'un cancer, en 2010, dans le Gers. Le même jour est mis en place un comité de suivi, réunissant autorités sanitaires, professionnels de santé, sociétés savantes, associations de patients.

23 décembre : Les autorités françaises recommandent aux porteuses de se faire retirer leurs prothèses à titre préventif, après que huit cas de cancers ont été signalés. Elles invoquent des "risques bien établis" de "ruptures" et de "réactions inflammatoires". Le Brésil invite les 25 000 porteuses de prothèses PIP du pays de consulter leurs médecins. La Finlande et l'Italie préconisent également une surveillance.

24 décembre : La Caisse nationale d'assurance maladie (CNAM) annonce qu'elle va porter plainte au pénal "pour tromperie aggravée et escroquerie".

27 décembre : Les autorités sanitaires américaines (FDA) font état de "graves violations" dans le processus de fabrication constatées dès 2000, à la suite d'une inspection de ses enquêteurs dans l'usine de PIP. Le Venezuela propose le retrait gratuit des implants défectueux.

28 décembre : L'avocat de quatre porteuses de prothèses PIP annonce qu'il va engager un recours au civil contre l'organisme allemand TÜV, mais aussi contre les chirurgiens esthétiques de ces femmes pour "manquement à leur devoir d'information".

30 décembre : L'Afssaps annonce avoir enregistré vingt cas de cancer chez des femmes porteuses de prothèses PIP, mais qu'aucun lien de cause à effet n'a été pour l'instant établi. Le Brésil interdit la commercialisation des implants de la marque. La justice italienne, puis le Royaume-Uni, où 42 000 femmes sont concernées, lancent des enquêtes sur ces prothèses.

... @ suivre ...

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Nicky
webmaster

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Date du message : mercredi 18 janvier 2012 à 13h03


Chronologie d'un scandale ... Suite ...

2012 : À LA RECHERCHE DES RESPONSABLES

2 janvier : Le plus grand distributeur de produits chimiques au monde, l'Allemand Brenntag, admet avoir fourni du silicone industriel à PIP. L'avocat de PIP affirmait lui que les implants défectueux contenaient un gel alimentaire.

3 janvier : Le ministre de la santé, Xavier Bertrand, indique avoir "demandé des enquêtes" à la Direction générale de la santé et à l'Afssaps pour déterminer si des défaillances dans les systèmes de contrôle avaient permis à PIP de commercialiser ses prothèses. Il se dit également favorable à l'enquête parlementaire demandée par une députée.

6 janvier : L'AFP révèle que le fondateur de PIP, Jean-Claude Mas, a reconnu en octobre lors d'un interrogatoire avoir produit et utilisé pour ses prothèses un gel non homologué, "moins cher [...] et de bien meilleure qualité". D'anciens salariés de la société varoise indiquent avoir aussi produit des prothèses pour hommes non conformes, essentiellement destinées à l'exportation.

10 janvier : Des centaines de Sud-Américaines annoncent se porter partie civile dans l'information judiciaire ouverte à Marseille. Le lendemain, les Pays-Bas recommandent le retrait des implants, suivant l'exemple de la France et de l'Allemagne.
source: Le Monde.fr, avec AFP et Reuters

14 janvier: Micro-Trottoir - Qu'en pensent les Seynois ?..



18 janvier: Jean-Claude Mas persiste et signe ...

... cordialement ... Nicky ...

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Message modifié le mercredi 18 janvier 2012 à 14h34 par Nicky

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riri
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Date du message : mercredi 18 janvier 2012 à 20h38


LE FOU PERSISTE ET SIGNE...

Regretter le passé, c'est courir aprés le vent.

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GAMBISTORTI
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Date du message : mardi 24 janvier 2012 à 00h09


Je pense aux nombreux employés de chez PIP, on en parle très peu mais que sont-ils devenus ? Ils doivent être au chômage malheureusement mais je trouve bizzare qu'on ne sache rien de leur sort.

Je suis seynois et j'en suis fier

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LoulouDesLilas
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Date du message : mardi 24 janvier 2012 à 00h10


Gambi, une réflexion dans ce sens là ici :
Pip La Seyne
et une vidéo ici, sur les salariés:
Pip Avril 2010

Les défauts, c'est comme les phares des voitures. On est toujours aveuglé par ceux des autres !

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GAMBISTORTI
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Date du message : mardi 24 janvier 2012 à 09h53


J'ai bien écouté le représentant syndical mais l'interwiew date de quelques mois. Que s'est t-il passé depuis ?

Je suis seynois et j'en suis fier