@ Janine Foglino:
Comme l'écrit très justement Gibert PEREA (candidat FN) sur son blog, on se demande si Mme TORRES ne souhaiterait pas qu'on parle uniquement de la "couleur du temps" lors de ce scrutin. Les ENJEUX sont pourtant très gros, notamment à cause de l'élection, par les grands électeurs, en septembre prochain, des sénateurs. Sans oublier la réforme territoriale dont Dame TOrrès feint d'oublier que c'est le parti qu'elle soutient et qui la présente qui concocte, sur le dos des citoyens, une sacrée concentration des pouvoirs entre les mains de quelques uns.
La SANCTION vous dis-je, la SANCTION qui s'impose!
Communiqué de Gilbert PEREA sur son blog:
A contre-courant des autres candidats, Sandra Torres (UMP) considère que le débat sur la maternité n’a pas sa place dans la campagne électorale. « Je suis un peu étonnée, ce débat ne concerne par les compétences du conseil général. Le conseiller général n'a absolument aucun pouvoir pour fermer ou maintenir la maternité de La Seyne », souligne-t-elle. Pour la candidate, surfer sur cette thématique en période pré-électorale est « purement démagogique ».
Pourtant, ce sont ses partenaires de l’UMP qui, au niveau local, s’empressent de nous seriner que l’élection de mars est un scrutin de « proximité », donc « local », sans aucune portée nationale.
Le gros mensonge ! Notamment lorsqu’on sait que les conseillers généraux éliront, en tant que grands électeurs, en septembre prochain, les sénateurs !
Le gros mensonge ! Quand on supprime la maternité de La Seyne mais qu’on lit dans la presse spécialisée que les banques françaises ont doublé, en 2010, leurs profits à…21 milliards d’euros !
Le gros mensonge, enfin, lorsqu’on songe à la réforme territoriale voulue par l’UMP, le parti de Mme Torrès, en bonne entente avec le PS, dont le citoyen moyen ignore tout de la concentration, dans les mains d’encore moins de personnes, de tous les pouvoirs au niveau local.
A suivre Mme Torrès, on ne parlerait finalement de rien, si ce n’est de la couleur du temps.
Plus que jamais les Seynois doivent imposer la gifle monumentale au parti de Mme Torrès et se dire que leur vote a une portée nationale. Au soir du premier tour les commentateurs ne s’y tromperont pas : soit on continue de plus belle avec gauche et droite d’accord sur l’essentiel, notamment sur la question européenne et sur l’abaissement de l’indépendance de la France, soit on dit NON.
Le seul vote qui sera scruté de près le soir du premier tour sera celui des candidats du Front National, engagés derrière Marine LE PEN pour remettre sur pied la France. La tâche sera ardue, tant le sabotage de l’indépendance de la France aura été actif durant ces dernières décennies, mais elle en vaut la chandelle.
« Du sang et des larmes » disait Churchill, en espérant ne pas aller jusque là. En effet l’ampleur du redressement à accomplir est à la mesure de l’enjeu.
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