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Nicky
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Date du message : vendredi 23 janvier 2009 à 23h40


Le Nouveau Port sera construit derrière l'Atelier Mécanique




...cordialement...Nicky...

Message modifié le samedi 24 janvier 2009 à 01h02 par Nicky

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Nicky
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Date du message : samedi 24 janvier 2009 à 00h01


...cordialement...Nicky...

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Nicky
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Date du message : dimanche 25 janvier 2009 à 22h58


Panoramique du Site du nouveau Port - Vue du Bateau RMTT

Agrandir le Panoramique 03 - cliquer ici
puis cliquer sur l'image pour zoomer

...cordialement...Nicky...

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foglino janine
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Date du message : vendredi 20 mars 2009 à 17h10


lorsque j'étais conseillère municipale je me suis abstenue sur ce dossier de création du port , non pas que je sois contre la réalisation du port mais pour trois raisons principales :
- création de trop de surface commerciale
- prix de location des anneaux trop élévés
- indemnité versée à la ville par Cari trop faible
d'autant plus qu'il y avait un autre candidat à la réalisation du port qui proposait des prix moins élevés et une indemnité supérieure
je tiens à préciser que avant le choix en commission de Cari M. le maire avait signé un protocole d'intention de vente de l'atelier CPM avec Altarea , membre du groupement Cari .

janine foglino

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Nicky
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Date du message : mercredi 20 mai 2009 à 00h38


Le surcoût de la dépollution retarde le début des travaux


L'emplacement du futur port de plaisance, qui comptera 700 places derrière l'IPFM, doit être dépollué avant le démarrage des travaux. Si le projet n'est pas remis en cause, sa réalisation est suspendue à des études complémentaires sur le coût des opérations de dépollution.
Les travaux du futur port de plaisance, sur le site des anciens chantiers, sont une nouvelle fois retardés. Plus précisément, la dépollution de la zone pourrait coûter plus cher que prévu.

Hier matin, le conseil municipal a voté à l'unanimité, mais non sans débats, un avenant au contrat de service public passé avec le concessionnaire du port. Ce dernier a prévenu la ville la semaine dernière : le coût de la dépollution du site (1) devrait dépasser le million d'euros. Et ce n'est pas un détail.

Clause suspensive

« Si la dépollution coûte plus d'un million d'euros, cela risque de rendre nul le contrat initial, à cause d'une clause suspensive. Et cela nous aurait obligé à tout reprendre à zéro », lance le maire en présentant la délibération. Marc Vuillemot juge qu'il vaut mieux « perdre quelques mois jusqu'en décembre 2009 » mais sauver l'essentiel.

Pour le premier magistrat, « la ville souhaite vraiment la réalisation de ce port, un élément structurant qui redynamisera le centre ».

Sur les bancs de l'opposition, Françoise Pouchko « s'étonne et regrette que les travaux ne démarrent pas », mais précise qu'elle votera le texte, « vu que c'est un projet Paecht ».

Intervenant à plusieurs reprises, l'opposant Marcel Barbéro a critiqué « le procédé des entreprises, qui nous mettent le couteau sous la gorge, sans que la ville ait le temps de vérifier ce qu'il y a dans le sous-sol ».

Selon Claude Astore, adjoint à l'urbanisme, le nouveau délai va justement permettre d'étudier les éléments fournis et « de diligenter éventuellement des analyses complémentaires ».

L'élu a expliqué, hors conseil municipal, que « la mairie va vérifier les dires du concessionnaire et statuer sur la véracité de ses études ».

Pollution selon les zones

Du côté du concessionnaire, on veut rester « optimiste ». Laurent Pignol, responsable de la maîtrise d'ouvrage, joint par téléphone, se défend d'avoir prévenu la mairie au dernier moment. « Nous avons la volonté de continuer, sinon on n'aurait pas négocié de délai supplémentaire. »

En clair, le concessionnaire va chercher à diminuer les coûts de dépollution. « Plusieurs méthodes sont à l'étude. Nous pouvons confiner certaines terres polluées sous une dalle, comme sous une cloche. Nous chercherons l'impact budgétaire minimum »

Se pose aussi le problème de l'évacuation de terres de remblai qui doivent être mises « en décharge spécifique », ce qui a un coût. Toutes les zones ne sont pas polluées au même niveau. « Le parking pose le plus de problèmes. »

Pas de date avancée

Le concessionnaire se refuse à donner des indications sur la commercialisation des 700 places du futur port. Même discrétion pour les 11 restaurants, 30 boutiques et 3 moyennes surfaces qui devraient ouvrir sur place.

Quant au démarrage des travaux, plus personne n'ose avancer de date. Le port aurait pu être terminé cette année.

1. Il s'agit de « la dépollution du sol et du sous-sol terrestre et maritime »
source: var matin

...cordialement...Nicky...

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janine foglino
Visiteur


Date du message : mercredi 20 mai 2009 à 16h56


ancienne conseillère municipale , suite à l'article sur le retard de la construction du port je ne peux m'empêcher de me demander si la société CARi ne retarde pas le projet car la nouvelle municipalité semble ne pas donner suite à la vente du batiment CPM à CARi ?

j'ai transmis un dossier à M. le procureur concernant cette délégation de service public en lui demandant de diligenter une enquête .

janine foglino

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Nicky
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Date du message : vendredi 11 septembre 2009 à 00h28


Le port casse ses prix au salon de la plaisance de Cannes


Photo : A. B.-J.
Frédérick Dey, chef de projet pour Cari, présente la maquette du futur Port-Provence au festival de plaisance de Cannes. Le projet qui doit redynamiser l'économie de la ville a pris du retard. Dernière date avancée pour la livraison : janvier 2012.
Port-provence : seuls trente « anneaux » du futur port ont trouvé preneurs. Les tarifs à la vente pour les unités de 10 à 14 mètres vont baisser de près de 30 % !

Festival international de la plaisance à Cannes. Tapis rouge et somptueux yachts. Les constructeurs rivalisent de luxe et de charme pour vanter les mérites de leurs derniers bijoux des mers. Riches acheteurs, simples curieux et amateurs de beaux bateaux déambulent sur les pontons du salon. Certains d'entre eux, des Italiens, des Anglais mais aussi des Seynois s'arrêtent devant un petit stand au centre de l'esplanade Pantiero. C'est celui de Port-Provence, le futur port de La Seyne-sur-Mer. Toujours pas sorti de l'eau mais très beau en maquette.

La faute à la crise

Sur place, des connaisseurs ne se privent pas de rappeler que le projet a déjà pris du retard. Et demandent : quand va-t-il voir le jour ? Les représentants du groupement ne cachent plus que le projet a été repensé. Et annoncent une nouvelle date pour le début des travaux : septembre 2010. « À partir de là, si la commercialisation se déroule bien, il faudra compter quatorze mois avant la livraison », explique Frédérick Dey, ingénieur et chef de projet chez Cari. Car pour l'instant la commercialisation du port n'a pas « marché très fort ». Seulement 30 anneaux sur les 350 à la vente ont trouvé preneurs ! Un comble en comparaison des 15 000 demandes en attente dans la région PACA. « Avec la crise économique, la valeur des bateaux de 10 à 14 mètres a fortement chuté. Or le prix d'une garantie d'usage est généralement la même que celle d'un bateau. Nous avons donc dû revoir nos tarifs à la baisse », prétexte Frédérick Dey.

80 000 ? pour 28 ans au lieu de 115 000 ?

De nombreux plaisanciers seynois s'étaient émus dans nos colonnes des tarifs à la vente jugés prohibitifs.

La municipalité souhaitait aussi une baisse des prix notamment pour les petites unités. Et Cari l'a fait ! La garantie d'usage pour une durée de 28 ans va passer de 115 000 ? à environ 80 000 pour un bateau de 10 mètres. Soit une baisse de 30 %. Le même pourcentage sera appliqué aux unités de 12 et 14 mètres. Les bateaux de 10 à 14 mètres représentent près de la moitié des 700 anneaux du futur port.

En revanche, le tarif des garanties d'usage sera inchangé pour les bateaux de 16 et 18 mètres. Et augmentera même pour ceux de plus de 20 mètres. « Il y aura plus de place pour les grandes unités mais avec un maximum de trente anneaux. Cette réorganisation nous permet de garder un équilibre financier », précise le chef de projet.

Une liste de plus de 200 personnes intéressées

Les prix à la location baisseront également dans la même proportion. Cette nouvelle grille tarifaire n'est pas encore officielle. La procédure administrative pour la faire entériner est assez longue mais elle devrait l'être en décembre 2009. Quand ce sera fait, les responsables du groupement expliquent qu'ils se lanceront vraiment dans la commercialisation du port. « Nous avons une liste de plus de 200 personnes qui se sont montrées intéressées », explique Frédérick Dey. La vente des anneaux est une condition au début des travaux car la délégation de service public est financée sur fonds propres. Si cette fois-ci, tout se passe bien, Port-Provence pourrait alors ouvrir en janvier 2012.
source: Olivier Marino - var matin

...cordialement...Nicky...

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chris83
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Date du message : dimanche 13 septembre 2009 à 23h27


[quote=Nicky www.LaSeyne.Info] Le port casse ses prix au salon de la plaisance de Cannes

Enfin une bonne nouvelle pour notre cité. Le port de plaisance va permettre à notre ville de bénéficier d'apports financiers, qui lui font défaut et dont elle a besoin. Mais 2012, c'est encore loin.

" Vous n'aurez pas, ma liberté de penser" Florent Pany

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Nicky
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Date du message : vendredi 9 octobre 2009 à 00h52


La dépollution risque de retarder le chantier du port


Photo : Dominique Leriche
En marge des rencontres technologiques organisées hier à l'IPFM, la société Cari a fait une présentation aux exposants du futur Port-Provence.
Rapport .Le groupement d'entreprises délégataire et la mairie doivent, avant la fin de l'année, s'entendre sur le niveau d'épuration à apporter au site.

Un pavé dans la rade. Le rapport de plus de 400 pages sur la dépollution du site du futur port a été remis, la semaine dernière, au groupement délégataire et à la mairie. Ces derniers ne cachent pas que cette « problématique » pourrait encore retarder la date du début du chantier de « Port Provence ». Georges Dao, président du groupe Cari, affirmait hier que les travaux seraient lancés dans les « 6 à 18 mois prochains ».

Sur le fond, rien de nouveau ou de particulièrement préoccupant n'a été découvert dans le document mais les deux parties qui sont, a priori sur la même longueur d'onde, vont devoir désormais s'entendre sur le niveau de dépollution et le protocole à mettre en place. « Nous devons fixer un curseur. En tout état de cause, la dépollution totale du site n'est pas envisageable », explique Frédérick Dey, ingénieur et chef de projet chez Cari. Son coût rendrait rédhibitoire la viabilité du projet. L'objectif est de trouver un compromis avant le 31 décembre.

Des matériaux non stockables

La dépollution du plan d'eau est la partie la plus délicate de l'opération. Le rapport explique que des matériaux et des débris (comme des poutres) sont entreposés sur la couche de sédiments. « Faut-il les enlever ? », s'interroge le chef du projet. « Si on le fait, on prend le risque de remuer les sédiments et de créer une pollution dans la rade alors que l'on est censé dépolluer », fait valoir Frédérick Dey. Selon lui, tout enlever ne suffirait pas non plus à résoudre les problèmes car pour certains « matériaux trop lourds », il n'existe aucun endroit où pouvoir les stocker.

Par ailleurs, la couche de sédiments a été estimée à dix mètres, « ce qui ne veut pas dire que ces dix mètres sont entièrement pollués », précise l'ingénieur. Mais il n'est pas question non plus de faire un dragage. C'est pourquoi dans son projet de construction du port, le groupement a imaginé l'utilisation de pieux pour minimiser l'impact sur les fonds marins.

Arsenic et hydrocarbures

Pour le sol, l'incidence est mieux maîtrisée. L'expérience est aussi plus grande dans ce domaine. On y trouve principalement des hydrocarbures, des métaux, un peu d'arsenic mais pas de mercure. « La dépollution du sol a été faite et correctement faite, le niveau actuel de pollution est en dessous du seuil d'accueil du public, mais pour la démarche de développement durable que nous avons engagé, ce n'est pas suffisant. Dans dix ans peut-être, les normes auront évolué, nous devons les anticiper », expose Frédérick Dey. Le plus difficile maintenant est de trouver un équilibre entre les impératifs de développement durable que Cari et la mairie veulent s'imposer et le coût de cette dépollution. Et de savoir qui va payer.

Des innovations techniques

En marge des rencontres MIEC (Matériaux innovation éco-conception), la société Cari a fait une présentation du futur port de plaisance et notamment des innovations techniques qui seront mises en place.

Exemples : une borne à gestion centralisée qui permet de contrôler les fuites et de personnaliser la consommation, l'ancrage dynamique autour d'une vis pour amarrer les bateaux de plus de 14 mètres, un logiciel de gestions des places automatisé, un l'échangeur thermodynamique pour produire du chaud-froid avec l'eau de mer...

Un brise-clapot construit sur pieux de 4 mètres (2,6 m immergés) permettra par vent de 70 km/h de réduire le clapot de 80 à seulement 20 cm protégeant ainsi les bateaux. Le port sera labellisé port propre avec l'organisation du tri sélectif et avec des canalisations de pompages des déchets et eaux grises. 2 300 m² de panneaux photovoltaïques seront aussi installés.
source: Olivier Marino - var matin

...cordialement...Nicky...

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GAMBISTORTI
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Date du message : lundi 14 décembre 2009 à 18h55


On fait un cinéma terrible avec cette dépollution.

Pour avoir travaillé toutes ces années sur ce quai des méthaniers je puis affirmer qu'elles n'ont pas été trés nombreuses, et des méthaniers on en a pas construit énormément or, ce quai n'a servi QU'A ça.

De quelle dépollution veulent t'il parler, des quelques électrodes de soudure jétées à la mer car à part ça je ne vois pas comment se site serait pollué.

Qu'ils demandent aux anciens des chantiers et vous verrez que tous diront pareil. Des tôles et des bidons de peinture par contre, je peux certifier qu'aucun ne fut jeté à la mer.

Je maintiens que ces décideurs feraient mieux de revoir leur copie et interroger les responsables des travaux, mais peut être que certains ont un intêret quelconque avec l'entreprise de dépollution. .

Je suis seynois et j'en suis fier