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Nicky
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Date du message : lundi 13 février 2012 à 14h09


Les recrutements fantasques du patron de PIP


Jean-Claude Mas à sa sortie du tribunal de Marseille, le 26 janvier dernier.
Jean-Claude Mas, le patron de l'entreprise varoise Poly Implant Prothese (PIP) n'avait pas son pareil pour recruter ses salariés.

Selon des procès verbaux d'audition que Le Figaro a consultés et qui ont été réalisés dans le cadre de l'enquête préliminaire sur le volet de la tromperie par les gendarmes de la région PACA, les formations des recrutés étaient loin d'être en adéquation avec leurs postes chez PIP. Une aubaine pour une entreprise qui faisait coexister deux gels pour fabriquer les prothèses: l'un homologué, «le Nusil», et un autre mis au point par Jean-Claude Mas, «le PIP» qui ne bénéficiait d'aucune autorisation et qui était fabriqué à partir d'huile industrielle. Une situation que résume ainsi une salariée: «Je me souviens qu'une fois monsieur X (...) qui connaît très bien le milieu avait dit 'c'est très louable de la part de PIP d'employer des travailleurs handicapés mais il ne faut pas mettre des aveugles aux contrôles'. Avec le recul cette phrase me semble adaptée». Les auditions de ces ex-salariés ont eu lieu en janvier, avril, mai et octobre 2010.

Quand le soudeur devient directeur du directoire

David *, 62 ans, a «notamment travaillé pour les chantiers de La Seyne-sur-Mer en tant que soudeur, charpentier de fer pendant douze ans» avant de rejoindre MAP qui allait devenir PIP en 1991. Il y a occupé le poste de responsable de la production, puis de directeur de la production avant de devenir directeur du directoire. Question des gendarmes: «Comment, avec votre cursus, êtes-vous rentré dans cette société qui n'avait rien à voir avec vos compétences professionnelles?». Réponse: «Monsieur M. (qui travaillait à la production chez PIP et dont la femme était la directrice administrative de l'entreprise, NDLR) est le frère de madame Lucciardi (l'ancienne compagne de Jean-Claude Mas qui dirigeait MAP, NDLR) qui est la cousine de mon épouse. C'est comme ça que je suis rentré dans cette société».

Un patissier en production

Mathieu *, 44 ans résume son parcours: «J'ai fait un apprentissage de pâtisserie-boulangerie. J'ai travaillé quelques années en boulangerie-patisserie. Après j'ai travaillé chez Mammouth» avant d'intégrer PIP au début des années 90 au poste d'assistant de production. Question des gendarmes: «Comment êtes-vous rentré dans cette société?». Réponse: «Par monsieur et madame M. Ce sont des amis». Question: «En fait on peut dire que vous avez appris votre métier sur le tas?». Réponse: «Oui, je n'ai aucun diplôme». «Avez-vous eu des formations?». «En fait, les formations se passent sur le tas, comme j'étais sérieux et avenant j'ai eu l'opportunité d'apprendre sur place». «Concernant votre dernier poste, quel type de comandes passiez-vous?». «J'étais en charge des commandes de masques, gants, tout ce qui sert de protection (...) et aussi la fameuse cuve Brenntag». Il s'agit en fait de l'entreprise qui fournissait l'huile de silicone dont PIP se servait pour fabriquer les prothèses non conformes. Question: «Saviez-vous que le gel PIP n'était pas autorisé?». Réponse: «Oui, monsieur Mas disait que son gel était meilleur et je me souviens même que le service recherche et développement disait que le gel était bon».

... @ suivre ...

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Nicky
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Date du message : lundi 13 février 2012 à 14h13


... suite ... Un cuisinier au contrôle qualité

Autre exemple avec Gérard*, 50 ans. «J'ai obtenu un CAP de cuisinier en 1980. J'ai travaillé dans le milieu de la restauration (...) et dans une maison de retraite». Il intègre PIP au début des années 90 en tant qu'opérateur en salle de production, poste qu'il occupe pendant cinq ans avant de devenir technicien en recherche et développpement puis contrôleur qualité. «Mon rôle consistait à contrôler les matières premières, les tester. Nous faisons des études, des recherches pour améliorer la qualité des prothèses». Le travail du cuisinier ne s'arrête pas là, c'est également lui qui met en place les dossiers de garantie avec les patientes en cas de soucis avec les implants. Question des gendarmes: «Avez-vous suivi des formations internes ou externes pour occuper ces différents postes?». Réponse: «A part la formation de technico-commercial à la Chambre de commerce, je n'ai pas été formé aux différents postes occupés». Question: «Comment êtes-vous entré dans la société PIP?». Réponse: «Lorsque je travaillais à la maison de retraite comme cuisinier, la maman de la compagne de monsieur Mas y travaillait également. Nous avions sympathisé et monsieur Mas m'a proposé un poste au laboratoire».

Une esthéticienne devenue rapidement trésorière

Virginie*, 44 ans, a obtenu un CAP en esthétique à la fin des années 80. Six ans plus tard, il intègre PIP d'abord comme secrétaire puis décroche rapidement le poste de responsable administratif et gestion et d'avoir en charge la trésorerie de l'entreprise. C'est son mari qui gère les expéditions de prothèses en France et à l'étranger.

Enfin, Stéphanie*, 46 ans n'a pas lésiné sur les moyens pour se faire embaucher: «Comme j'en avais marre d'être au chômage, j'ai écris au président de la République et mon dossier a été transmis à l'ANPE de Toulon et cet organisme m'a contactée pour me proposer une place chez PIP».
source: Anne Jouan - lefigaro.fr

Que sont devenus les anciens salariés de PIP?


Avec la liquidation judiciaire de Poly-Implant-Prothèse, situé à La Seyne, 120 personnes se sont retrouvées sur le carreau. C’est l’un des plus gros plans sociaux du Var de ces dernières années

Poly-Implant-Prothèse, le 30 mars 2010. Le couperet tombe devant le tribunal de commerce de Toulon : la société varoise, fabricant d'implants mammaires, passe en liquidation judiciaire. Le juge constate que PIP « est en état de cessation de paiement » ;les chiffres d'affaires des mois précédents sont « catastrophiques ». Le redressement de l'entreprise « semble inconcevable ».

La veille, le 29 mars 2010, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé décidait de retirer du marché tous les implants préremplis de gel de silicone de marque PIP.

Avec la découverte de la fraude massive, le fleuron de l'économie locale venait de choir, non seulement de sa place de leader européen, mais aussi de son statut d'entreprise respectable, auréolée de ses ventes internationales.

S'ouvrait alors la phase du scandale sanitaire et des licenciements massifs. L'un des plus gros plans sociaux du département. En 2009, PIP faisait travailler 119 personnes - et jusqu'à 148 en 2008. En janvier 2010, une quinzaine de salariés étaient licenciés, à l'occasion d'un premier plan social censé sauver la société. Le 30 mars 2010, ce sont les 97 autres salariés qui prenaient la porte.

Un personnel soupçonné

Presque deux ans plus tard, où en sont-ils ? Entre recherches d'emploi difficiles dans un bassin toulonnais déjà touché par le chômage et espoirs déçus d'un redémarrage de l'activité avec un improbable repreneur. Il y a la menace de poursuites pénales qui plane sur certains anciens cadres de la société. Il y a le soupçon généralisé sur l'ensemble du personnel, dont une partie nie toute complicité avec la fraude orchestrée par les dirigeants. Il y a aussi la longue prise de conscience que les femmes porteuses de prothèses PIP peuvent vivre un calvaire. Le dossier PIP est un fiasco. Sanitaire, humain, économique, mais aussi social.
source: Sonia Bonnin - var matin

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riri
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Date du message : lundi 13 février 2012 à 15h58


[IL est ou ce voleur??? pas encore en prison???Ecrivez ici

Il vaut mieux s'agiter dans le doute, que se reposer dans l'erreur.

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riri
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Date du message : lundi 13 février 2012 à 22h33


Il vaut mieux s'agiter dans le doute, que se reposer dans l'erreur.

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riri
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Date du message : mercredi 15 février 2012 à 15h43


J'ai aperçu le responsable Mr MAS, pas incarcéré, pas inquiété, la routine quoi!!!

Il vaut mieux s'agiter dans le doute, que se reposer dans l'erreur.

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Nicky
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Date du message : mercredi 15 février 2012 à 22h19


Homicide involontaire à PIP : l'enquête démarre ...


Katia Colombo (à droite) et son avocate ont été reçues pendant près de deux heures, hier par la juge d'instruction à Marseille.Sonia Bonnin
La sœur d'Edwige Ligoneche et son avocate sont sorties rassurées, hier, de leur rencontre avec la juge qui instruit à Marseille le volumineux dossier Poly-Implant-Prothèse.

Deux heures de dialogue. « La juge a été pédagogue sur l'avancée de la procédure. Elle nous a dit d'entrée ce qu'elle avait fait, ce qu'elle n'avait pas fait, en sachant sur quoi on était déçues », a indiqué Me Isabelle Colombani, hier en fin d'après-midi.

Selon l'avocate, « le dossier pour homicide involontaire commence aujourd'hui ». D'ici à la fin de la semaine, la juge d'instruction Annaïck Le Goff va se saisir du dossier médical d'Edwige Ligoneche, qui est décédée à Marseille, à l'institut Paoli Calmette d'une forme de cancer extrêmement rare.

Révélateur

Cette femme de 53 ans avait porté plusieurs paires de prothèses PIP, qui s'étaient révélées défectueuses, avec des fuites de gel de silicone dans le corps, jusqu'à des organes vitaux, comme les poumons et l'œsophage.

Le décès d'Edwige Ligoneche, en novembre 2011, avait agi comme un puissant révélateur dans le dossier PIP, « un révélateur proportionnel à la gravité de la tromperie », estime sa sœur, Katia Colombo, qui s'est constituée partie civile dans le cadre de l'information judiciaire ouverte en décembre 2011.

« Je veux que les responsables aillent en prison et je l'ai dit à plusieurs reprises », a-t-elle martelé. « L'argent m'est égal, cela ne fera pas revenir ma sœur. Je crois encore à la justice ».

« La juge va nommer un collège d'experts, les meilleurs dans chaque spécialité. Des médecins qu'on ne peut soupçonner de complaisance vis-à-vis de PIP », rapporte MeColombani.

Charge aux experts de déterminer s'il y a, dans ce cas précis, un lien de causalité entre le cancer et le port de prothèses PIP.

La juge devrait aussi demander aux différents hôpitaux et cliniques qui les ont retirées, les prothèses qui furent portées par Edwige Ligoneche, « pour les faire toutes expertiser ».

Les établissements hospitaliers auraient fait savoir qu'ils tenaient ces prothèses à disposition de la justice.

Le mois dernier, deux associations de défense de porteuses de prothèses avaient été reçues par la juge d'instruction. Environ deux cents plaintes seraient concernées par l'information judiciaire (1), mais seulement 35 plaintes avec constitution de partie civile seraient d'ores et déjà formalisées sur le bureau de la juge.

Plainte contre les autorités sanitaires

« Il est possible que notre dossier pour homicide involontaire soit dissocié des autres, afin d'être traité plus rapidement », espère l'avocate. Me Colombani rappelle qu'elle a également déposé plainte contre l'agence française sanitaire des produits de santé, «afin de vérifier si l'autorité sanitaire n'avait pas été alertée avant, ce qui semble être le cas ». Ce sera le travail de la juge de le vérifier.

1. Pour les femmes dont les prothèses PIP ont rompu ou suinté.
source: Sonia Bonnin - var matin

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Nicky
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Date du message : samedi 18 février 2012 à 23h29


Le grand écart étonnant des recrutements à PIP


Depuis l’éclatement du scandale, Jean-Claude Mas a toujours nié que son gel PIP, non homologué, puisse poser problème. Retour sur le parcours des salariés, qui n’ont pas empêché la fraude. (Photos La Provence et Dominique Leriche)
C'est un petit groupe de confiance qu'avait forgé autour de lui le patron de PIP. Quelques salariés, souvent issus du cercle familial, ont vécu aux côtés de Jean-Claude Mas l'épopée des prothèses mammaires.

Dans les années quatre-vingt, avant même la création de PIP, ils travaillaient au sein de l'entreprise toulonnaise, la MAP. Le marché des implants était alors un eldorado, sans entrave réglementaire. À la tête de la MAP, il y avait un chirurgien plasticien de Toulon, Henri-Georges Arion (1), et une femme, Dominique Lucciardi. À deux, ils fabriquaient des prothèses mammaires. Le compagnon de Mme Lucciardi, qui n'est autre que Jean-Claude Mas, les a rejoints en tant que commercial. Voilà comment tout a commencé. Bien avant PIP.

Recrutements en famille

Les recrutements des débuts peuvent paraître fantaisistes. Le frère de Mme Lucciardi arrive en premier, suivi de son épouse, ou encore le mari d'une cousine (lire ci-dessous). Tout le monde se forme sur le tas, il n'existe aucune norme. Personne n'est hors la loi, puisque la réglementation n'existe pas. En 1991, Jean-Claude Mas installe sa propre entreprise, Poly-Implant-Prothèse, dans des locaux flambant neufs, aux Playes, à La Seyne. Le patron embauche un diplômé en pharmacie, qui va rationaliser les méthodes de fabrication. « Au début, on n'avait pas de combinaison, pas de masque, on prenait le café en salle blanche », se souvient une ancienne, que Var-matin a rencontrée. Elle ajoute : « [Le pharmacien] avait instauré des règles, des protocoles. »

Jeunes cadres dirigeants

Quand le marquage CE devient obligatoire pour vendre la moindre prothèse, Jean-Claude Mas recrute un spécialiste de l'assurance qualité, par une petite annonce. Ce nouveau salarié vient du milieu « des centrales nucléaires et des tubes lanceurs d'engins ». Il met le service qualité en marche et PIP obtient son autorisation de vente. Les années 2000 voient l'arrivée de jeunes cadres diplômés, qui grimpent les échelons. Après avoir fait à PIP son stage d'études, un jeune ingénieur en physico-chimie passe directeur de production en sept ans. Il finit cadre dirigeant - et possiblement mis en cause dans le dossier pénal. De même que la directrice du service assurance qualité.

Chargée de contrôler les lots de prothèses, elle est titulaire d'un DESS Management de la qualité, passé trois ans avant de devenir responsable du service. L'organigramme révèle la présence de salariés très qualifiés - maîtrise en chimie analytique, doctorat en physique-chimie, ingénieur biomécanique… Le directeur recherche et développement a derrière lui « vingt-cinq ans de carrière dédiée à la fabrication de dispositifs médicaux ».

Apparences trompeuses

Les diplômes ont-ils été une parade à la fraude ? Ou bien leur meilleure caution vis-à-vis de l'extérieur ? Les cadres qualifiés ont donné à PIP une apparence de normalité, sans rapport avec les pratiques réelles. Jean-Claude Mas était un patron très autoritaire. S'opposer à lui était quasiment impossible. Il continue de revendiquer la paternité de ce gel, caché aux autorités pendant presque une décennie et qu'il qualifie comme étant « le meilleur ». Les têtes pensantes de PIP se persuadaient que « l'infraction était exclusivement réglementaire et que le gel ne présentait pas de risque sanitaire, car, sinon, ''on le saurait'' », rapporte un ancien salarié. Maintenant, on sait.

1. Le docteur Arion a inventé une prothèse en silicone, remplie de liquide, en 1965.
source: Sonia Bonnin - var matin

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Nicky
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Date du message : mardi 21 février 2012 à 01h18


Vidéo: Affaire PIP - la rédaction France 3 enquête


Enquêtes de régions : l'affaire PIP "beauté... par france3provencealpes

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Nicky
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Date du message : jeudi 1 mars 2012 à 13h38


PIP: trois anciens cadres mis en examen


Les deux anciens patrons de PIP, Claude Couty et Jean-Claude Mas (ici lors d'un congrès en 2007), ne sont plus les seuls mis en cause
Ces ex cadres-dirigeants avaient accablé Jean-Claude Mas

Et de cinq. Après Jean-Claude Mas, le fondateur, et Claude Couty, président du directoire de PIP, trois anciens hauts responsables de l'entreprise varoise ont été mis en examen pour « blessures involontaires » par la juge Annaïck Le Goff. Ils sont libres, soumis à un contrôle judiciaire et bénéficient (comme les deux premiers) de la présomption d'innocence.

Témoignages à charge

Ces nouvelles mises en examen ont été formalisées la semaine dernière, à Marseille, dans le huis clos du cabinet de la magistrate spécialisée. L'information a finalement été révélée hier par nos confrères de France 3 Provence-Alpes et confirmée par des sources proches du dossier.

Entendue le 21 février, Hannelore Font, 35 ans, était directrice qualité de PIP depuis 2004, chargée à ce titre de la « libération » des lots de prothèses mammaires. Elle était aussi responsable des affaires réglementaires.

Loïc Gossart, 38 ans, faisait lui aussi partie des cadres dirigeants. Il était devenu directeur de la production en septembre 2007. Entre autres fonctions, c'est lui qui passait commande auprès des fournisseurs de matières premières. Le troisième mis en cause est Thierry Brinon, 52 ans, ex-directeur technique, à la tête du service « recherche et développement ».

Lors de l'enquête préliminaire, lancée en 2010, ces trois protagonistes avaient reconnu qu'ils étaient informés de la fraude au gel de remplissage des implants mammaires. Mais tous s'étaient efforcés de minimiser leur éventuelle responsabilité. Chacun a même indiqué avoir tenté de s'opposer au système en vigueur dans l'entreprise, Jean-Claude Mas - le père du gel non-conforme - étant systématiquement désigné comme le chef au pouvoir incontestable.

Ce portrait du patron-tyran ne leur aura donc pas permis d'échapper au même sort judiciaire. D'autres mises en examen sont-elles envisagées ? Selon nos informations, des « organismes certificateurs » et certains fournisseurs de matières premières se trouveraient dans le collimateur de la juge d'instruction.
source: E.m. - var matin

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Nicky
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Date du message : mercredi 7 mars 2012 à 04h45


Jean Claude Mas incarcéré pour non paiement de caution


Jean-Claude Mas a été incarcéré ce mardi après être passé devant le juge des libertés et de la détention.

L'ancien patron de PIP, mis en examen pour blessures involontaires, n'a pas versé la caution d'un montant de 100 000 euros à laquelle il était soumis lorsqu'il a été placé sous contrôle judiciaire.

... cordialement ... Nicky ...

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