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sagamore
Admin - Forum UL CGT

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Date du message : mercredi 18 décembre 2013 à 08h16


Mointeleou, si vous ne voyez pas un seul post sur les gens du voyage, c'est que vous venez pas souvent !!! Et, pendant la période de collaboration dont vous parlez, ils ont bien morflé, les gens duvoyage!
Mais je vois avec plaisir que vous trouverez facilement un terrain d'entente avec ceux que vous critiquez !!!!
Enfin, avec plaisir, c'est relatif...

Plus tu pedales moins fort, moins tu avances plus vite !!

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toreador
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Date du message : jeudi 19 décembre 2013 à 15h53


Bonjour,
L'info circule mal sur ce forum; LES GENS DU VOYAGE sont deja depuis la mi-décembre de retour à coté de Quo vadis et au moins jusqu'en février ou peut etre jusqu'aux élections...

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riri
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Date du message : dimanche 22 décembre 2013 à 22h37


Pourquoi jusqu'aux élections??? certains parties politiques les utilisent???

Il vaut mieux s'agiter dans le doute, que se reposer dans l'erreur.

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fredcom83
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Date du message : dimanche 5 janvier 2014 à 10h43


Quels posts ahurissants !!!...la Loi doit être respectée , point. Aucun dialogue à avoir. les personnes amarrées ont pu profiter pendant des années, je n'ai rien à y redire mais maintenant il faut partir car cette occupation du domaine public est par nature précaire et ne constitue nullement un titre de propriété. Sinon, pour ceux qui s'offusquent, allez jusqu'au bout de votre élan de générosité et offrez leur de planter une tente dans votre jardin ou sur votre balcon...

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Nicky
webmaster

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Date du message : vendredi 10 janvier 2014 à 09h55


Quai d'armement à La Seyne : les propriétaires menacés d'expulsion dans l'attente


Les bateaux qui mouillent au quai d'armement sont toujours là, malgré la mise en demeure qui imposait à leurs occupants de quitter le site avant le 7 janvier (photo: Eric Estrade)
Ils sont une trentaine de propriétaires de bateaux amarrés, depuis plusieurs années, au quai d'armement, face à l'IPFM et au hangar CPM

Problème : leur présence, jusque-là tolérée - puisqu'elle se déroule sans autorisation aucune - est désormais incompatible avec le projet d'aménagement du futur port de plaisance. D'où la mise en demeure qui a été adressée mi-décembre (Var-matin du 17/12) aux propriétaires de bateau : la capitainerie du port leur demandait d'évacuer le site avant le 7 janvier 2014.

L'échéance est passée mais, pour l'heure, rien n'est réglé. Certes l'expulsion n'a pas eu lieu, mais ces plaisanciers - qui vivent toute l'année sur leur bateau - devront quand même quitter les lieux, assure la première adjointe au maire, Raphaëlle Leguen : « Pour nous, il est hors de question de pérenniser cette situation ». Deux raisons à cela : la Ville ne veut pas se voir reprocher d'accorder un traitement de faveur à certains administrés ; elle ne veut pas non plus compromettre le calendrier de réalisation du futur port de plaisance.

« Freiner la procédure d'expulsion »

Du coup, la municipalité étudie toutes les solutions possibles afin de régler au mieux le problème. Mais elle le fait, semble-t-il, plus par solidarité que par obligation administrative. Et dans ce contexte, l'expulsion en bonne et due forme semblait hors de propos.

« Il était difficile voire impensable de trouver des solutions durant la période des fêtes de fin d'année,indique Raphaëlle Leguen. Décision a donc été prise de freiner la procédure afin de comprendre et d'appréhender le problème dans sa globalité ».

Car la situation s'avère complexe : « À première vue, il y a des cas de figure très différents. Déjà, il apparaît que tous les propriétaires de bateau concernés n'ont pas le même besoin ni la même capacité à trouver une solution. Il y a, d'une part, des gens en situation de grande précarité, qui n'ont pas de ressource et qui vivent sur un bateau délabré. Ce sont des personnes dont la situation relève quasiment du relogement d'urgence. Et puis il y a des gens, retraités, qui ont un peu de moyens et qui seraient prêts à payer un emplacement. Globalement, c'est donc plus un problème humain qu'un problème de bateau ».

Un état des lieux en cours

Pour l'heure, l'étude des dossiers est en cours afin de faire « un état des lieux des situations individuelles. Et puis nous attendons des éclaircissements sur des sites d'installation, sous forme d'AOT(1) qui seraient disponibles », précise l'adjointe au maire.

De toutes les façons, « nous ferons aussi vite que possible car il est hors de question que cette recherche de solutions génère un retard pour la mise en route des travaux du port. Tout ce qui pourra être fait en présence des bateaux occupants le sera. Mais pour l'heure, nous sommes encore loin des travaux de terrassement ou même de passage d'engins. Au final, si le délégataire a des obligations, c'est à nous de faire en sorte qu'il puisse les respecter », conclut Mme Leguen.

Le délégataire patiente

Du côté de Sifa, le délégataire du futur port de plaisance, on patiente en attendant de pouvoir travailler sur le site. L'entreprise a en effet besoin de procéder à des expertises sur place : « Il nous faut sonder le quai d'armement et connaître précisément sa consistance,indique Denis Arcostanzo, p.-d.g. de Sifa. Globalement, on sait qu'il sera nécessaire de le renforcer, mais il nous faut disposer d'éléments précis. Or pour le moment, nous n'avons que des données anciennes qui doivent être remises à jour. Et puis il faut aussi sonder le fond, notamment concernant la présence des sédiments ».

« On nous avait dit que nous pourrions le faire à partir du 7 janvier. Il se trouve que nous devons attendre un peu, sans que cela ne compromette notre calendrier ».

S'il concède attendre que la Ville lui communique une date pour qu'il puisse « prendre possession du quai », Denis Arcostanzo évoque surtout « un problème de responsabilité ». « Notre assureur nous a mis en garde sur le fait que, si jamais un accident devait se produire avec l'un des bateaux occupants, la responsabilité de Sifa pourrait être engagée ». Toutefois, ajoute le délégataire, « je n'ai rien contre les occupants du quai d'armement. De par mon activité, je suis même l'ami des plaisanciers ! ».

1. Autorisation d'occupation temporaire (du domaine public)
source: m. guillon - var matin

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azertuyop
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Date du message : vendredi 10 janvier 2014 à 16h11


Donc en résumé le port ne démarrera pas tant qu'une solution n'aura pas été trouvé pour les propriétaires de bateaux amarrés illégalement le long du quai et le casino risque de ne jamais voir le jour suite à un recours des propriétaires du casino de bandol.
Encore un petit effort et les ateliers mécaniques ne verront pas non plus leur réhabilitation en salles de cinéma !!!
Qui a dit que les prochaines élections allaient précipiter le démarrage des projets ??? Et oui mais il ne nous a pas dit que ça risquerait de faire Pschitt !!!
Sacrée Arlésienne comme tu aimes te rappeler à notre bon souvenir régulièrement !!!

l'aiguillon

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Nicky
webmaster

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Date du message : lundi 13 janvier 2014 à 12h39


Déjà 600 pré-réservations au (futur) port Michel-Pacha à La Seyne ...


Le port, dont la livraison est attendue pour la saison 2016, comptera environ 600 anneaux de 6 à 55 m, ainsi qu'un port à sec de 120 bateaux moteurs jusqu'à 10 m
Alors que les premières interventions sur le site des anciens chantiers doivent démarrer ce mois-ci, le délégataire se félicite du nombre d’inscriptions déjà enregistrées sur Internet

Les premiers visuels de communication ont fait leur apparition, en fin de semaine dernière, en centre-ville et aux entrées du site. À proximité du quai de la Marine, mais aussi du côté de l'IPFM et de la Porte des chantiers. Ces panneaux, qui présentent en images le futur port Michel-Pacha, sont autant de signes démontrant que ce début d'année 2014 marque la montée en puissance du projet.

Dès que le quai d'armement aura été libéré par les bateaux qui l'occupent (nos éditions précédentes), le délégataire - la société Sifa - doit procéder à des expertises sur place, et notamment sonder le quai et le fond marin. Cette année, sera aussi lancée la phase dite « administrative », au cours de laquelle seront effectuées les études d'impact, les demandes de permis de construire ainsi que les appels d'offres pour les lots.

Mais déjà, le P.-D.G. de la société Sifa, Denis Arcostanzo, est en mesure d'annoncer une « bonne nouvelle » : «A fin décembre, nous avons atteint le nombre de 600 pré-réservations d'emplacements de bateaux sur notre site internet». Et ce, alors que le futur port comptera, précisément, 600 anneaux.

Une procédure de sélection

« Les inscriptions arrivent au rythme de 3 à 4 par jour. Au début de la commercialisation, c'étaient surtout des professionnels qui se manifestaient. Désormais, les particuliers sont nombreux à s'inscrire, le bouche à oreille marche à plein », se félicite le patron de Sifa.

Pour autant, la liste d'attente va rester ouverte durant plusieurs mois encore. Motif : Sifa a fixé des critères de choix qui, pour le moment, ne sont pas remplis. En fait, quand on s'inscrit pour pré-réserver une place au port, il faut répondre à certaines questions destinées à cerner la motivation et les habitudes des candidats. Sur le site web, il est d'ailleurs bien indiqué, dans les conditions générales, que chaque « demande de pré-réservation fera l'objet d'une procédure de sélection, selon les modalités arrêtées par la société Sifa ».

« Un mode de gestion innovant »

« L'idée,confie Denis Arcostanzo, est de privilégier les gens qui naviguent beaucoup, au moins deux à trois mois par an. Parce que ce sont ces plaisanciers qui feront vivre le port et travailler l'économie locale ». Mais aussi parce que les propriétaires de bateaux, qui partent naviguer régulièrement, libèrent des places dites « de passage » - pour l'accueil des plaisanciers en transit.

Le délégataire aura en effet la possibilité de sous-louer des places vendues à l'année. « C'est un mode de gestion innovant que nous voulons mettre en place », confirme le P.-D.G. de Sifa. Toutefois, comme la société s'y était engagée depuis le début, «pour les petites unités, nous privilégierons toujours les Seynois ».

Au final, Denis Arcostanzo espère atteindre le millier de pré-réservations dans le courant de l'année. Histoire de pouvoir faire son « marché » en toute confiance. Et le patron du futur port de souligner au passage que « près de 50 % des gens qui se sont inscrits sur notre site internet, n'ont pas de bateau mais font part de leur intention d'en acquérir un. Ce qui prouve que le port est déjà un élément important de dynamisation de l'économie, à commencer par la filière nautique ».
source: M.G. - var matin

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GAMBISTORTI
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Date du message : jeudi 21 août 2014 à 16h39


Alors, les travaux du nouveau port ont ils commencé ? Où en sont ils ?

Je suis seynois et j'en suis fier

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Nicky
webmaster

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Date du message : mercredi 24 septembre 2014 à 11h05


Incertitudes sur le futur port de plaisance ?..


Les travaux du futur port Michel-Pacha n'ont toujours pas démarré (Photo: D. L.)
Mardi, en conseil municipal, l'opposition a interrogé le maire sur le futur port Michel Pacha. Le maire n'a pas caché son "inquiétude" et "sa colère"...

Les élus ont voté, mardi 23/09/2014, un avis favorable pour le transfert du casino sur le site des anciens chantiers navals. Le conseiller de l'opposition Jean-Pierre Colin (UDI) en a profité pour demander des nouvelles des réalisations annoncées et dossiers en cours. « Pour l'instant, c'est un peu le vide sidéral. Si on pouvait avoir quelques précisions sur le calendrier », a-t-il interrogé.

« S'agissant du port de plaisance, nous sommes en discussion avec le délégataire pour qu'il engage les travaux de réalisation, a indiqué le maire. Il y a eu encore récemment une réunion avec eux. Les choses avancent. On nous dit "c'est le temps administratif". Maintenant, il faut y aller.»

« Il y a, semble-t-il, quelques soucis,a estiméJean-Pierre Colin,car nous ne sommes pas tout à fait certains de la solvabilité du délégataire. Je crois que vous vous êtes, à un moment, posé la même question. Pourtant il est adossé à un groupe important, qui est le groupe Suez. Que se passe-t-il exactement ? On sent bien que vous avez des difficultés, que ça traîne des pieds au niveau du délégataire ? En savez-vous un peu plus sur la volonté du groupe Suez de suivre le délégataire ?»

« Non » a répondu le maire. « C'est la raison pour laquelle j'ai adressé, encore récemment, un courrier en recommandé au délégataire. J'attends sa réponse. » « Je vous sens un tout petit peu dubitatif, monsieur le maire », a rétorqué M. Colin.

« Oui, j'ai effectivement, en ce moment, un peu d'inquiétude, mélangée à un peu de colère. Mais peut-être que je me trompe. Peut-être que ça va démarrer d'un coup. En tout cas, j'ai rappelé le mode d'emploi à mon interlocuteur. Si jamais ça devait, une fois de plus, malheureusement, ne pas fonctionner, je dois respecter à la lettre le mode d'emploi pour que nous puissions défendre les intérêts de la commune. La date c'est maintenant », a précisé le maire pour répondre à Sandra Torres qui s'interrogeait sur la date limite du démarrage de la réalisation.

Le p-d-g de Sifa "a la volonté d'aboutir"

Joint hier par téléphone, Denis Arcostanzo, p.-d.g. de la société Sifa, a accepté de faire un point sur le projet de port de plaisance dont il a la charge. Déjà, il rappelle à ceux qui l’auraient oublié, que la délégation de service public (DSP) pour la construction et l’exploitation du futur port, fait l’objet d’un recours (notre édition du 28 juin). « Ce recours contre la Ville a été déposé, au tribunal administratif de Toulon, par la société LuxMarina, basée à Mandelieu, qui était candidate à la DSP mais dont le dossier n’avait pas été retenu ». Et bien que cette entreprise ait été placée en redressement judiciaire, son recours n’a toujours pas été jugé, précise M. Arcostanzo. Et comme souvent en pareil cas, les investisseurs restent prudents tant que le recours n’est pas purgé.

Cela étant, le patron de Sifa assure ne pas avoir de difficultés financières : « Mon financement est basé essentiellement sur les garanties d’usage et, à ce jour, avec un millier de préréservations, j’ai ce qu’il me faut ». Alors comment avance le projet? « Je continue les études et je suis en phase administrative (demandes d’autorisations auprès des différentes autorités concernées). Je prépare aussi l’étude d’impact en vue de l’enquête publique », assure Denis Arcostanzo. Qui veut aussi rassurer : « J’ai la volonté d’aboutir, pour la Ville et pour les clients qui attendent leur place au port Michel-Pacha. De par le contrat de DSP, j’ai 51 mois, à compter de juillet 2013; pour livrer le projet. Et quand bien même j’aurais trois mois de retard, pour un projet comme celui-ci, ce n’est rien.

Depuis 25 ans, c’est le premier port de plaisance qui est lancé en France. Cela demande forcément du temps ». Quant à ceux qui s’étonnent que les travaux n’aient pas encore débuté, le patron de Sifa répond simplement que « cela n’est pas surprenant puisque l’enquête publique n’a pas encore eu lieu! ».
source: C.H. - var matin

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Nicky
webmaster

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Date du message : lundi 8 décembre 2014 à 13h10


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