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Nicky
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Date du message : jeudi 19 décembre 2013 à 13h55


Sur le Chantier du Casino ...


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Sur le site des anciens chantiers navals, aux abords directs des darses, les travaux ont démarré il y a déjà deux mois. Là, en bord de rade, commence la construction du futur casino du groupe JOA, délégataire pour 20 ans du marché portant sur la conception, la réalisation et l’exploitation d’un établissement de jeux sur La Seyne

Dans le cadre de ses rencontres de quartier, la Ville a organisé hier une visite du chantier, invitant les deux comités d’intérêt local riverains, celui des Mouissèques et du Centre-Est. Une initiative voulue par le maire Marc Vuillemot qui est destinée autant à informer de l’avancée des travaux qu’à rassurer sur les mesures prises pour en limiter les nuisances.Henri Couillot et Jean-Romain Gassend, respectivement directeur commercial et directeur de projet de Vinci construction en charge de l’ouvrage, ont joué le jeu des questions-réponses. Et malgré les importantes pilonnages du mois d’octobre et la ronde quotidienne d’une demi douzaine de camions, la vingtaine de riverains présente n’a fait état d’aucune gêne - si ce n’est quelques entorses au code de la route.

Livraison prévue début 2015

C’est donc davantage de la curiosité qui a animé les échanges portant essentiellement sur la conception du bâtiment et sa fonctionnalité. Ces deux derniers mois, après un terrassement préalable, l’entreprise a procédé à l’installation d’une « fondation spéciale » - 91 pieux ont été enfoncés à quelque 25 mètres de profondeur dans le schiste pour pouvoir « ancrer » l’édifice.

« Maintenant on va attaquer la phase "longrine", pour relier la partie bâtiment aux fondations », a expliqué le directeur de projet. La grue vient tout juste d’être installée pour aborder ce gros oeuvre. Elle demeurera 8 mois sur place. Une dizaine d’ouvriers s’affairent sur le site, ils seront une trentaine dès le mois de janvier et une centaine l’été prochain. L’équipement qui se compose d’une « structure mixe béton-métal » devra être livré début 2015. Il s’élèvera, dans la partie la plus haute, à une hauteur de 20 mètres et doit reposer sur 3500 m2 de surface au sol. Il se dressera à 20 mètres des formes accueillant les bateaux de grande plaisance. L’entrée du casino se situera côté parc. Pour mémoire, la société délégataire JOA investit 20 millions d’euros sur le projet.

A l’issue de la visite, l’entreprise de construction a assuré au maire son souhait de poursuivre les échanges dans le cadre de « points réguliers » sur le chantier.
source: N.T. - la marseillaise


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Nicky
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Date du message : jeudi 9 janvier 2014 à 17h31


Autorisations annulées pour les casinos de La Seyne et Sanary ?..


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Le tribunal administratif de Toulon s’est penché, ce jeudi matin, sur l’arrêté ministériel autorisant l’ouverture d’un casino à La Seyne (site des anciens chantiers) et d’un autre à Sanary (nord de la commune)

Une audience, suite au recours effectué par le casino Partouche de Bandol, seul établissement de jeu varois à l’ouest de Toulon ... Le rapporteur public a préconisé au juge l’annulation de l’arrêté, au motif que le ministère n’aurait pas analysé « l’impact cumulé » de ces deux ouvertures sur le casino de Bandol.

Une analyse condamnée avec force, par les défenseurs des sociétés désignées par les communes pour bâtir et exploiter les deux casinos. Défendant le dossier seynois (où les travaux ont déjà démarré), Me Lapisardi a évoqué un «désastre financier», si les juges devaient suivre les conclusions du rapporteur public ... La décision est attendue d’ici un mois.
source: var matin

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Nicky
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Date du message : vendredi 10 janvier 2014 à 21h08


Menace sur le projet de casino ...


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Saisi dès 2012, le tribunal administratif de Toulon s’est penché jeudi sur le recours déposé par le casino bandolais. Celui-ci attaque l’autorisation de jeux qui été accordée par le ministère de l'intérieur en mars 2012, accordant l’ouverture d'établissements de jeux à La Seyne et à Sanary

Ce dossier oppose le groupe concurrent des deux futurs casinos à l’Etat. Mais si, comme l’a préconisé le rapporteur public ce jeudi, les deux autorisations d’exploitation venaient à être annulées, le projet de casino à La Seyne s’effondrerait. Ce serait « un vrai scandale » selon le maire Marc Vuillemot (PS) qui est sorti de sa réserve hier pour exprimer, lors des échanges de vœux avec le personnel communal, toute son inquiétude.

« La ville n'est pas pour l'instant juridiquement concernée », a-t-il d’emblée assuré. « Le problème soulevé est d’ordre méthodologique. Rien ne peut être opposé sur le fond à la démarche d'équipement et de développement que nous avons engagée, en partenariat avec notre délégataire, le groupe JOA, qui lui-même est irréprochable dans cette affaire. C’est un élément minime de la procédure suivie à l'époque par le ministère de l’Intérieur qui est contesté par un groupe concurrent, installé notamment à Bandol ».

Pour autant, l’affaire est grave parce que l’« on joue contre la Ville, contre l’emploi, contre l’économie ». Aussi l'édile entend-t-il « entrer dans l’instance » en constituant une « tierce opposition ». Et le maire d’avertir « nous allons attaquer l’Etat en responsabilité pour faute lourde, s’il devait y avoir annulation ».
source: N.T. - la marseillaise

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chris83
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Date du message : vendredi 10 janvier 2014 à 23h11


Partouche se moque complètement du sort de la Seyne. Il veut garder le monopole des jeux dans la région. Il doit avoir de bons amis dans les hautes sphères. Responsabilité de l'état pour faute lourde, c'est pas nouveau.........

" Vous n'aurez pas, ma liberté de penser" Florent Pagny

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Nicky
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Date du message : samedi 11 janvier 2014 à 16h07


La menace sur les casinos de La Seyne et Sanary suscite l'incompréhension (1/2)


L'exploitation des jeux aux Sablettes, depuis l'été 2012, pourrait être remise en cause pour une question de concurrence avec le casino de Bandol (photo: doc VM
Les conclusions du rapporteur public, qui a demandé jeudi, l'annulation de l'autorisation d'exploiter des jeux à La Seyne et à Sanary, provoquent inquiétude et colère parmi les partisans des projets de casinos. Réactions des acteurs concernés

Marc Vuillemot « déterminé »

Le maire de La Seyne estime que, si les juges devaient suivre l'avis du rapporteur public, ce serait « une catastrophe et un scandale ». Explication : « Les conséquences seraient extrêmement lourdes (...) sur les finances de l'Etat, sur celles de la commune, sur l'emploi, sur la dynamique économique et sur la structuration du développement de tout un territoire ».

Le maire est d'ailleurs « très surpris » par le motif soulevé par le rapporteur public, « surtout dans le contexte de libre concurrence dont on nous rabat sans cesse les oreilles ». « C'est d'autant plus étonnant, ajoute M. Vuillemot, que la proximité de casinos ne choque personne en matière de concurrence du côté de Fréjus / St-Raphaël, ou de La Ciotat / Cassis. »

Déterminé« à défendre la Ville », le maire annonce sa contre-attaque : il va « faire entrer la commune dans l'instance. La Ville aurait en effet dû être appelée à la barre. Elle ne l'a pas été. Je vais donc me constituer tierce opposition » afin d'éclairer les juges sur les conséquences socio-économiques d'une décision d'annulation. Et « si ces éléments n'étaient pas pris en compte, je n'hésiterais pas à dire que l'intégrisme juridique est tout aussi condamnable que l'intégrisme religieux », ose M. Vuillemot.

Et d'affirmer que « si le jugement (1) ordonnait l'annulation de l'autorisation des jeux à La Seyne, je défendrais les intérêts de la commune en attaquant l'Etat en responsabilité pour faute lourde. Il n'y a pas de raison que les Seynois paient les conséquences d'une erreur qui n'a pas été commise ici. »

Dylan Peyras (Joa) « stupéfait »

Le directeur du casino Joa des Sablettes avoue sa« stupéfaction » après l'audience du TA de Toulon. Motif :« Il y a des zones en France, à commencer par les Alpes-Maritimes, où la concurrence entre casinos est beaucoup plus forte que dans le Var. Dans les Alpes-Maritimes, il y a onze casinos sur 15 kilomètres alors que, dans le Var, il y a de la place sur les différents bassins de vie. La preuve : la clientèle qui fréquente le casino des Sablettes provient à 80 % de Toulon et de La Seyne. »

Estimant qu'une décision d'annulation reviendrait à favoriser une « situation de monopole » (celle du casino de Bandol) au détriment de « la libre concurrence » qui prévaut en Europe, Dylan Peyras rappelle que « deux ministres de l'Intérieur ont validé les jeux à La Seyne : Claude Guéant en mars 2012, et Manuel Valls en juillet 2013 (2). »Du coup, le représentant du groupe Joa estime« inconcevable que notre autorisation de jeux puisse être invalidée ».Et d'insister : « J'espère qu'à un moment, on va considérer les 52 salariés qui travaillent depuis 18 mois aux Sablettes, les 60 emplois supplémentaires que nous allons créer en centre-ville, et la centaine d'emplois induits sur le chantier de construction. »

1. Le jugement devrait être rendu d'ici 4 à 6 semaines.
2. Manuel Valls a validé, l'été dernier, le transfert de l'autorisation d'exploiter des jeux du casino provisoire vers le casino définitif.

... @ suivre ...

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Nicky
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Date du message : samedi 11 janvier 2014 à 16h09


(2/2) ... suite ... La menace sur les casinos de La Seyne et Sanary suscite l'incompréhension

Ferdinand Bernhard déconcerté

Déconcerté par les conclusions du rapporteur public, le maire de Sanary rappelle que « le recours en référé intenté par Partouche en 2012 avait été rejeté. J'en déduis qu'alors, la justice avait considéré qu'il n'y avait pas d'urgence à se prononcer sur un problème de concurrence. »

En outre, Ferdinand Bernhard considère que, « quand le ministre de l'Intérieur, éclairé par la commission supérieure des jeux, a pris sa décision, il savait pertinemment qu'il allait y avoir deux nouveaux casinos dans l'ouest-Var. Donc, je n'imagine pas qu'il n'ait pas regardé les conséquences de sa décision. Et ce, d'autant que le ministère avait décalé l'examen de la demande d'autorisation des jeux à Sanary, afin d'étudier simultanément ce dossier et celui de La Seyne. Il semble que, pour le rapporteur public, le problème est que cela n'a pas été écrit dans l'arrêté ministériel. On est dans du formalisme un peu excessif. »

Luc Leborgne (Vikings) incrédule

Luc Le Borgne, directeur-général de Vikings casino, chargé du dossier sanaryen, était présent au tribunal administratif de Toulon, jeudi. Il a écouté, incrédule, les conclusions du rapporteur public. « C'est totalement incompréhensible, déplore-t-il.Le ministère a forcément pris en considération les éléments d'impact des deux casinos, puisque notre dossier a été étudié plus tard que prévu, afin que les deux autorisations soient délivrées simultanément. »

Pour Luc Le Borgne, l'argument d'une éventuelle saturation dans le secteur ne tient pas. « Le bassin est totalement sous-équipé. On compte une machine à sous pour 1 333 habitants dans le Var et les Bouches-du-Rhône, alors qu'il y en a une pour 409 habitants dans les Alpes-Maritimes. » Le patron de Vikings estime encore que, malgré les craintes du casino bandolais, la concurrence n'est pas forcément négative, dans cette branche. « Le casino de Fréjus a ouvert en décembre et le casino de Saint-Raphaël a fait + 3 % sur le même mois. […] Le casino de Bandol subit une érosion importante de ses revenus depuis 2004, bien avant l'ouverture du casino provisoire à La Seyne. »

François Trucy surpris

Selon le sénateur du Var François Trucy, membre de la commission supérieure des jeux (CSJ), la conclusion du rapporteur public est« surprenante car elle ne tient pas compte du travail effectué en amont par le ministère et ses services. Un travail lent et précautionneux, notamment sur les notions de concurrence. Etant donné qu'il y a déjà plus de 180 casinos en France, il ne faut pas avantager l'un ni désavantager l'autre. C'est même devenu une préoccupation majeure de la CSJ dont l'étude se fait sur la notion de bassin de jeux et, dans le cas des dossiers seynois et sanaryen, c'est une notion de conséquences cumulées qui a été prise en compte. L'argument du rapporteur public est donc inconsidéré et je ne vois pas le ministère y rester insensible. (...) »
surce: M. G. - var matin

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Nicky
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Date du message : jeudi 6 février 2014 à 15h52


L'ouverture des casinos de la Seyne et de Sanary annulée ...


La Seyne-sur-Mer et Sanary n'ont plus l'autorisation d'ouvrir un casino
La justice vient d'annuler l'autorisation d'ouverture des casinos de La Seyne-sur-Mer et de Sanary dans le Var. Le ministère de l'Intérieur avait autorisé les groupes Joa et Viking à ouvrir ces casinos. C'est la société Partouche qui gère le casino de Bandol qui avait engagé un recours

Les travaux ont déjà démarré

A La Seyne-sur-Mer, la mesure prendra effet "à compter du 1er novembre 2014", selon la même source. Les travaux ont déjà démarré, représentant "un investissement total de 25 millions d'euros", avait précisé mi-janvier Laurent Lassiaz, président du directoire du groupe Joa (22 établissements). Dans l'attente, un casino provisoire a ouvert ses portes en juillet 2012.

Un manque à gagner pour les communes

L'établissement de Sanary devait pour sa part débuter son activité en 2015, sous la houlette du groupe Vikings (9 établissements).

"Trop de casinos tuent les casinos"

estimait Force ouvrière (FO), syndicat majoritaire dans la profession, dans un communiqué publié en janvier. "Le potentiel de clientèle de nos entreprises n'est pas divisible à l'infini", arguait-il, soulignant que la Côte d'Azur est "le marché le plus saturé".

Déjà 7 casinos dans le Var

Selon FO, les municipalités, en droit d'imposer une redevance allant jusqu'à 15% des recettes du casino, peuvent "succomber à la tentation d'ouvrir un établissement de jeux sur leur territoire, indifféremment de l'environnement économique local". Le syndicat appelait à "revenir sur ce modèle", prônant "une régulation à l'échelon régional ou départemental". Sept établissements sont en activité dans le département du Var, et près de 200 en France.
source: france3

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GAMBISTORTI
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Date du message : jeudi 6 février 2014 à 16h57


Il faut le remplacer par un aquarium géant

Je suis seynois et j'en suis fier

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Marine
Visiteur


Date du message : jeudi 6 février 2014 à 23h26



Les nouvelles, on les partage avec vous !! La décision du tribunal administratif de Toulon a été annoncée ce matin. Elle annule notre autorisation de jeux au 1er Novembre 2014.

Mais pas de panique Ce délai nous permet de redéposer très prochainement un nouveau dossier d’autorisation de jeux tout en continuant à vous accueillir tous les jours aux Sablettes.

Les portes restent donc toujours et plus que jamais grandes ouvertes !!! Un grand merci à vous qui nous soutenez au quotidien !!! On va poursuivre ensemble cette aventure et continuer à vivre de belles expériences !!

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Nicky
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Date du message : vendredi 7 février 2014 à 13h11


Casinos de La Seyne et Sanary : les autorisations annulées


Situation paradoxale à La Seyne : si le chantier du casino en centre-ville est arrêté, le groupe Joa se dit « soulagé » car son casino provisoire aux Sablettes peut continuer à fonctionner jusqu'au 1er novembre. Le temps de redemander une autorisation au ministère... (photo: Dominique Leriche)
Le tribunal administratif de Toulon retoque l'arrêté du ministère de l'Intérieur, mais les acteurs gardent espoir. Le casino des Sablettes peut continuer à fonctionner jusqu'au 1er Novembre 2014

Le tribunal administratif de Toulon a annulé, ce jeudi , les autorisations d'exploiter des jeux à La Seyne et à Sanary. Délivrées en mars 2012 par le ministère de l'Intérieur, ces autorisations avaient fait l'objet d'un recours du casino de Bandol, propriété du groupe Partouche. Ce dernier estimait que l'ouverture de deux casinos supplémentaires dans l'ouest-Var allait compromettre l'avenir de l'établissement bandolais (lire par ailleurs).

Lors de l'audience du 9 janvier dernier, le rapporteur public avait préconisé l'annulation des arrêtés du ministre de l'Intérieur au motif qu'il n'aurait pas pris en compte "l'impact cumulé", des ouvertures à La Seyne et Sanary, sur le casino de Bandol.

Cette recommandation a donc été suivie par le juge, même si le jugement précise qu'il ne prendra effet, à La Seyne, qu'à compter du 1er novembre 2014. Un délai qui, pour les Seynois, n'est pas anodin.

"Cette décision est un soulagement pour nos équipes, réagit Dylan Peyras, directeur du casino Joa de La Seyne. Nos salariés vont continuer à accueillir notre clientèle comme ils le font depuis plus d'un an. C'était notre priorité. Nous souhaitions que la justice nous accorde un délai nécessaire, le temps de présenter une nouvelle demande d'autorisation de jeux au ministère".

Une nouvelle demande sera très vite déposée

Rassuré, le maire de La Seyne l'est également: "Nous avions une vraie inquiétude; nous craignions que la justice ne prononce l'annulation de l'arrêté ministériel avec effet immédiat. Mais le juge a fait preuve de bon sens. Il a pris en compte le contexte économique et a accordé un délai qui est largement suffisant pour que Joa obtienne une nouvelle autorisation. Et j'ai bon espoir que ce soit avant le 1ernovembre, ce qui éviterait de stopper l'activité du casino des Sablettes", estime Marc Vuillemot.

Le représentant du groupe Joa confirme qu'il va présenter un nouveau dossier complet au ministère "le plus vite possible". "J'espère que le ministère pourra se prononcer dans un délai de trois à quatre mois. D'autant que notre dossier est connu des membres de la commission des jeux, ce qui devrait permettre une instruction rapide". Et d'ajouter, confiant: "Nous avons déjà obtenu deux fois cette autorisation d'exploitation des jeux à La Seyne; il n'y a pas de raison qu'on ne l'obtienne pas une troisième*".

Le chantier est arrêté

Reste que si l'activité continue aux Sablettes -au moins jusqu'au 1er novembre-, elle s'arrête en centre-ville, sur le site de construction du grand casino. "Nous avons annoncé l'arrêt temporaire du chantier à l'entreprise générale et à ses sous-traitants,indique Dylan Peyras. Car il reste une incertitude et on ne peut se permettre de continuer à engager un million d'euros par mois avec un tel flou. Mais dès que nous obtiendrons un nouvel arrêté du ministère autorisant l'exploitation des jeux, le chantier sera relancé".

Pour Marc Vuillemot, l'arrêt du chantier est "la seule ombre au tableau pour les entreprises et les salariés concernés. En même temps, on peut comprendre que le conseil d'administration de Joa prenne cette précaution quand il s'agit d'un chantier de 20 millions d'euros"...

*. La première délivrée en mars 2012 pour l'ouverture aux Sablettes, la deuxième en juillet 2013 pour le transfert futur de l'activité du casino provisoire vers le casino définitif.
source: M.G. - var matin