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Echalotte
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Date du message : mercredi 11 avril 2018 à 15h01


JCDP a écrit : Effectivement cela amène à réfléchir sur d'autres motivations.
vous le dites. c'est juste pour faire chier le monde !

un grand proverbe chinois dit:
" si on voit un grand canard blanc sur un lac, c'est un cygne "

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cl
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Date du message : mardi 24 avril 2018 à 18h26


Le cout et la rentabilité d'un tel projet ont ils été réellement calculés ? 4 restaurants alors qu'au centre ville , les restaurants peinent a avoir du monde ?

Message modifié le mardi 24 avril 2018 à 18h54 par cl

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cl
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Date du message : mardi 24 avril 2018 à 18h39


L'atelier mécanique , et on en parle pas assez , c'est aussi des innovations technologiques comme les Turbo alternateurs BV avec condenseur intégré et Turbo Compresseur pour la RSA (Sasol II) a régulation électronique (pour la première fois en France) REPRODUCTION INTERDITE

Claude Lagier

Message modifié le mardi 24 avril 2018 à 18h41 par cl

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Luc GALAURCHI
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Date du message : vendredi 18 mai 2018 à 21h48


A l'Atelier mécanique des Mouisseques


Hubert GALAURCHI meilleur ouvrier de France. Fin de carrière ingénieur chef de l'atelier de mécanique.


Bureaux d'études de la mécanique

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Echalotte
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Date du message : samedi 22 septembre 2018 à 20h39


Lyric Nomrad‎ a écrit : Patricia Maffiolo, responsable du projet du futur complexe commercial et cinémas sur le site de l'ancien atelier Mécanique, a fait un point du dossier dans le cadre des Journées du patrimoine des 15 et 16 septembre derniers . Mme Maffiolo a bon espoir que tribunal administratif de Toulon prenne une décision positive sur le projet très attendu par une large majorité de Seynois. Elle considère, avec l’opérateur CGR, que les arguments des (rares) adversaires du projet (respect de la loi littoral, dépollution du site et impact sur la circulation) ne vont pas tenir. Mais encore faut-il que le tribunal fixe une date pour le jugement qui conditionnera 3 mois plus tard le démarrage des travaux sur les trois nefs du futur multiplexe… Patience donc ! (Merci à Eric Bouché, membre de l'association, pour ces informations)

un grand proverbe chinois dit:
" si on voit un grand canard blanc sur un lac, c'est un cygne "

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Nicky
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Date du message : jeudi 15 novembre 2018 à 15h13


Le Projet de Cinéma n'est pas remis en Cause
Le projet de cinéma n'est pas remis en cause à La Seyne

Le Projet de Cinéma n'est pas remis en Cause - Attaqué, Vuillemot défend l'avancement de la reconversion de l'atelier mécanique. La cour administrative de Marseille vient d'annuler l'une des trois délibérations du conseil municipal de La Seyne, concernant le projet d'aménagement d'un complexe cinématographique dans l'ancien atelier mécanique. Toutefois, le maire de la Seyne affirme l'avancement du projet: "C’est une décision sur la forme, qui n’entache pas le fond du dossier." Un message clair que l'élu a aussi relayé, ce mardi 13 novembre, dans un billet posté sur son blog personnel.

UNE "FAKE NEWS" - Et ce, contrairement à ce qu’annoncent, depuis quelques jours sur les réseaux sociaux, des élus d’opposition. "Pour la mise en œuvre de ce projet, il y a eu trois délibérations du conseil municipal", rappelle le maire. "La première, votée en 2012, validait l’appel à projets que nous avions lancé. La deuxième, votée en 2013, validait la discussion avec l’un des candidats (le tandem CGR/Immochan). Enfin, la troisième, votée en 2016, validait la promesse de bail avec cet opérateur." Et de relancer: "Si la deuxième délibération a été annulée par le tribunal, la troisième n’a pas été attaquée (et ne le sera pas puisqu’un recours éventuel devait être déposé dans les trois mois suivant le vote); et c’est bien sur celle-ci que repose le projet." Pour mémoire, l’un des candidats qui avait répondu à l’appel à projets (le groupement Hôtel All Suite Resort, Kinépolis et Altissimo) avant d’en être écarté, avait saisi le tribunal administratif de Toulon. Il estimait que son dossier n’avait pas été examiné dans les formes prescrites.

"NOUS ESTIMONS NE PAS AVOIR COMMIS DE FAUTE" - Le jugement, rendu en mars 2017, relevait en effet un souci dans la procédure d’appel à projets, annulait la délibération de 2013, et condamnait la ville à verser 4.000 euros au candidat écarté. La ville décidait alors de faire appel. Motif: "Nous estimons ne pas avoir commis de faute et nous voulions justifier le travail des fonctionnaires impliqués sur ce dossier, car ce travail était remis en cause par ce jugement et par le candidat écarté." Plus d’un an après, la cour administrative d’appel de Marseille vient donc d’examiner à son tour le dossier. Comme le tribunal de Toulon, elle relève un "vice de procédure", "mais à aucun moment la cour de Marseille ne remet en cause le choix du candidat retenu, à savoir l’opérateur CGR", indique la ville.

JUSTE UNE "ERREUR D’APPRÉCIATION" - Référente du dossier en mairie, Patricia Maffiolo précise que la ville a commis une seule "erreur" (et non "faute"), dans la procédure. "Nous aurions dû expliciter les raisons pour lesquelles le candidat avait été écarté." Et de poursuivre: "A savoir qu’il n’avait pas de plan de financement, qu’il liait son projet à la faisabilité du nouveau port de plaisance, et qu’il n’avait ni projet architectural, ni plan de dépollution du site. Mais cette erreur, tout comme le nouveau jugement, ne remet absolument pas en cause le fond du projet." A cet égard, Marc Vuillemot observe l’utilisation politique qui est faite du sujet. "L’une des conseillères municipales d’opposition, qui affirme que ce jugement fait tomber à l’eau le projet, a pourtant voté la délibération de 2016! Et de pointer, à nouveau: "Et d’autres élus, qui en profitent pour dire que nous sommes incapables de mener à bien un dossier, n’étaient pas présents lors du vote, mais ils devraient savoir de quoi ils parlent puisqu’ils avaient reçu toutes les délibérations."

DEUX ANS D'ATTENTE - Quant au groupement écarté, à l’origine de la procédure, "s’il avait été cohérent, il aurait attaqué toutes les délibérations validant le projet", estime Patricia Maffiolo. "Mais il ne l’a pas fait; et il ne peut plus le faire puisque les délais sont prescrits", explique l'élue. Pour l’heure, reprend le maire, "le seul souci de la commune lié à ce jugement est que nous devons verser 2.000 euros sur la forme". "Et ce, au lieu des 4.000 qu’avait obtenu, devant le tribunal de Toulon, le candidat écarté." Toujours est-il que "le seul risque qui pèse encore aujourd’hui sur le projet", poursuit Marc Vuillemot, "c’est le recours contre le permis de construire déposé par la Confédération Environnement Méditerranée". "Et cela fait deux ans que nous attendons que le tribunal administratif de Toulon statue. Sans ce recours, nous serions en phase finale du projet puisque les travaux devaient commencer début 2017..." source: var matin

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Nicky
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Date du message : mardi 18 décembre 2018 à 19h34


Les opposants au projet de cinéma à La Seyne ont perdu une bataille
Les opposants au projet de cinéma à La Seyne ont perdu une bataille

Les opposants au projet de cinéma à La Seyne ont perdu une bataille - Ce mardi 18/12/2018, au tribunal administratif de Toulon, le rapporteur public a rejeté en bloc les arguments de la Confédération Environnement Méditerranée. Rappelons que c’est cette association qui avait attaqué la validité du permis de construire concernant la réhabilitation de l’Atelier mécanique, à La Seyne-sur-Mer, accordé en juin 2016 par le maire Marc Vuillemot.

Désormais, la décision finale sera rendue dans quelques semaines, sans doute en début d‘année prochaine. Mais si les juges suivent les conclusions du rapporteur public émises ce mardi midi - comme c’est souvent le cas - il sera alors temps d’envisager sérieusement une date pour l’inauguration de l’ambitieux pôle de loisirs prévu sur la célèbre friche industrielle des Mouissèques. Un projet porté entre autres par la société Quartus, qui doit faire une bonne place au gigantesque complexe cinématographique imaginé sur le site des anciens chantiers depuis près de 30 ans.

Tout au long de sa prise de parole, le rapporteur public n’a en effet eu de cesse de rejeter en bloc les arguments de la Confédération environnement Méditerranée, qu’il s’agisse d’une supposée infraction à la loi littoral, d’une dépollution du site «a minima», de l’augmentation brusque de la circulation ou d’un stationnement jugé insuffisant. Et le rapporteur public de conclure, au bout d’un long exposé : « Nous ne décelons pas d’erreur manifeste d’appréciation faite par le maire en délivrant le permis de construire.» source: MA.D. - var matin

URBANISATION, CIRCULATION, STATIONNEMENT ... Tout au long de sa prise de parole, le rapporteur public n’a en effet eu de cesse de rejeter en bloc les arguments de la Confédération environnement Méditerranée. C’est cette association basée à La Seyne et agréée par l’État qui avait attaqué le permis de construire de ce complexe de cinémas, d’hôtels et de commerces de bouche, de loisirs et de culture accordé en juin 2016 par le maire Marc Vuillemot.

La "CEM" a ainsi eu beau faire feu de tout bois, ses "moyens" n’ont pas fait mouche. Le non-respect supposé de la loi littoral? "L’opération projetée, située dans un quartier urbain, ne peut être considérée comme une extension d’urbanisation au sens de la loi littoral", a estimé le rapporteur. L’augmentation prévisible du trafic automobile sur l’avenue Toussaint-Merle et la corniche Giovannini? "Un refus de permis de construire ne peut être fondé sur les conditions générales de circulation dans le secteur." Le stationnement, jugé trop peu important dans la zone? "Compte tenu du nombre de places prévues, de la situation du complexe en centre-ville, des dessertes de transports en commun, nous ne relevons pas d’insuffisance manifeste en la matière."

"PAS D’ERREUR D’APPRÉCIATION DU MAIRE" Restait l’argument de l’impact du projet sur l’environnement, l’alpha et l’oméga du raisonnement du requérant à propos de cet ancien site industriel. L’association estime notamment que la dépollution serait envisagée a minima par l’aménageur. Mais là encore, le rapporteur n’a voulu retenir que les solutions validées par l’État, qui vont "au-delà des exigences de la réglementation", et devraient coûter plus de trois millions d’euros à Quartus.

"Au regard des pièces du dossier, il ressort qu’il n’y a pas d’intérêt à ordonner une contre-expertise."Et de conclure, au bout d’un long exposé: "Nous ne décelons pas d’erreur manifeste d’appréciation faite par le maire en délivrant le permis de construire litigieux." Gérard Demory, président de la Confédération environnement Méditerranée, a bien tenté, ensuite, d’inverser la tendance, mettant notamment en doute l’objectivité de l’étude de la pollution des sols "payée par le maître d’ouvrage". De son côté, l’avocat de la Ville, Maître Bonnacorsi, a soutenu que "c’est l’absence de projet sur ce site qui maintient des conséquences dommageables sur l’environnement, et non l’inverse".

Justice: et maintenant ? L’affaire mise en délibéré, l’avenir de la réhabilitation de l’Atelier mécanique est désormais entre les mains des juges du tribunal administratif de Toulon qui rendront leur décision dans les prochains jours. Devant le bâtiment qui jouxte l’opéra, hier, on se gardait donc de tout triomphalisme, que cela soit du côté des représentants de la mairie ou de l’aménageur. "Déçu? Oui et non..." Gérard Demory, lui, assurait ne pas savoir si la Confédération environnement Méditerranée, dont il est le président, irait ou non jusqu’à la cour administrative d’appel dans le cas où sa requête contre le permis de construire serait rejetée. "Nous verrons comment la décision sera motivée et si nous avons encore une chance. La cour d’appel, ça coûte beaucoup d’argent…" Et le Bandolais d’évoquer aussi l’arrêt du 8 octobre dernier de la cour administrative d’appel de Marseille, qui relève un "vice de procédure" quant au choix de l’opérateur pour mener à bien la reconversion du site …

Patricia Maffioco, chargée du dossier pour la ville de La Seyne, souhaitait surtout retenir que "les conclusions du rapporteur montrent que les services de la municipalité ont bien travaillé et n’ont fait aucune erreur sur la délivrance du permis". Si le jugement lui était bien favorable, Quartus a d’ores et déjà annoncé qu’il attendrait la décision des requérants de faire appel ou non pour acter le lancement de travaux estimés à 30 millions d’euros. "Une chose est sûre, nous sommes toujours très motivés sur ce dossier", souriait Anne Parel, chargé d’opérations pour la société. "On a envie que l’objet sorte le plus tôt possible." Elle n’est pas la seule, tant le projet semble recueillir l’assentiment des Seynois. Rappelons que le chantier, si feu vert il y avait, durerait environ deux ans. source: MA.D. - var matin

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Nicky
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Date du message : lundi 14 janvier 2019 à 20h39


Une Déclaration de Marc Vuillemot: Atelier mécanique et Cinémas, une Grande Victoire pour les Seynois !..
Une Déclaration de Marc Vuillemot: Atelier mécanique et Cinémas à La Seyne

Une Déclaration de Marc Vuillemot: Atelier mécanique et Cinémas, une Grande Victoire pour les Seynois !.. - Veuillez trouver ci-joint une réaction de Marc Vuillemot, Maire de La Seyne-sur-Mer, vice-président de Toulon Provence Méditerranée, au jugement du Tribunal administratif de Toulon qui rejette le recours de l'association CEM contre le permis de construire de l'atelier mécanique (en pièce jointe également le texte du jugement).

Marc Vuillemot: « Le Tribunal Administratif à rejeté le 14 janvier 2019 le recours contre le permis de construire de l'Atelier Mécanique. Depuis des années, mes concitoyens demandent, avec leur municipalité, que La Seyne ne soit plus la seule ville en France de plus de 50 000 habitants à ne pas posséder de salles de cinéma. Beaucoup de travail, de patience, de persévérance auront été nécessaires pour parvenir à cette avancée décisive. Que d'efforts pour notre municipalité, ses élus et ses fonctionnaires ! J'ai moi-même été contraint, en 2014, d'aller défendre la cause seynoise à Paris devant la Commission nationale d'aménagement commercial. C'était à l'époque pour abattre un énième obstacle dressé devant notre projet, pour des raisons politiciennes. Fort heureusement, les investisseurs ne se sont pas découragés. La Ville a procédé à la part de travaux qui lui incombait. C'est une bonne nouvelle pour la dynamique communale et de la Métropole. »

Lire le jugement du Tribunal administratif de Toulon - cliquez ici

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Jean Peplu de Papeeter
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Date du message : dimanche 20 janvier 2019 à 11h56


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Nicky
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Date du message : lundi 21 janvier 2019 à 13h10


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