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19381938
Visiteur


Date du message : mardi 16 août 2011 à 17h57


El le nouveau du parc de la navale il en est où ?

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Andree
Marraine du Gobie Bleu

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Date du message : mardi 16 août 2011 à 17h58


ben, tu n'as pas lu l'article???

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moustic
Visiteur


Date du message : mardi 16 août 2011 à 18h42


Et ce futur casino n'a pas besoin de ces autorisations?
je ne suis pas forcément contre un nouveau casino mais à une seule condition, c'est que ça ne coûte aucun centime à la commune ni dans le projet , ni à la construction, ni à la gestion ni à la démolition en cas de raté (un pas est déjà fait en ce qui concerne l'esthétisme...)

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Nicky
webmaster

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Date du message : vendredi 18 novembre 2011 à 13h28


Casino provisoire : Joa mise sur les Sablettes


Oubliée la barge flottante qui devait héberger l’activité le temps de la construction de l’établissement de jeux en centre-ville. Le casinotier a jeté son dévolu sur les salons de la station balnéaire

Dans quelques mois, le crépitement des pièces tombant dans le bac des machines à sous va de nouveau résonner dans les salles du Grand-hôtel casino des Sablettes. Les sons chers aux mordus des « bandits manchots » se sont tus ici il y a une vingtaine d'années. Depuis, l'établissement s'est reconverti en lieu d'accueil pour séminaires, mariages et autres salons. Mais au début de l'année prochaine, la furie des jeux s'emparera à nouveau des lieux. Le Seynois Roger Madern, propriétaire de l'établissement des Sablettes, a conclu un bail de deux ans avec le groupe Joa.

« Deux représentants du casinotier sont venus me voir avant l'été, raconte-t-il. Ils m'ont dit : "En attendant le casino définitif, seriez-vous disposé à nous louer votre établissement pour notre casino provisoire ?" J'ai répondu bien sûr ! Ils m'ont demandé mon prix. Cela devait correspondre au leur, ils n'ont pas hésité une seconde. J'ai ajouté qu'il y a des coffres-forts ici, ils m'ont dit "C'est OK" ! Et ils n'avaient qu'une chose en tête : vite, vite, vite ! Donc je leur laisse les clés au 1erjanvier. »

Plus simple, plus rapide

De son côté, le groupe Joa nous a confirmé son intérêt pour le site des Sablettes, mais ne souhaite pas commenter l'information, indiquant simplement que le projet«suit son cours ». Pour lui, cette solution présente au moins deux avantages : elle est plus rapide et plus simple à mettre en œuvre qu'une structure flottante qui suppose des aménagements et des agréments particuliers pour accueillir du public. Aux Sablettes, les salons (1 700 m2de lieux de réception) sont déjà aux normes, sécurisés, disponibles.

Sans parler du cadre :« C'est un super emplacement, savoure Roger Madern - propriétaire depuis 1983, mais sur place depuis 1955 ! Un casino dans une ville de bord de mer doit être sur la plage. Ici, nous avons cette chance, sans route à traverser. » Du reste, ajoute-t-il, « lors de la dernière exploitation de jeux ici, en 1992, l'établissement tenu par M. Fabiani faisait parmi les plus grosses recettes de France avec trente machines à sous. Grâce à une clientèle venue de l'Est toulonnais, Saint-Mandrier, La Seyne. Un bon potentiel ! »

« Sûrs de leur coup »

« Persuadé que ça va marcher » pour Joa, M. Madern assure avoir négocié avec des «gens sérieux, sûrs de leur coup ». La preuve :« L'accord prévoit que s'ils ne démarrent pas début 2012, ils me versent un dédit conséquent. »Autre illustration de leur motivation : « Ils sont revenus deux fois depuis cet été. D'abord une dizaine de personnes pour étudier les lieux sous toutes les coutures. Puis deux autres pour la partie électrique, l'installation des machines à sous. »

La délégation de service public attribuée par la ville prévoit que les jeux s'accompagnent d'une activité restauration.« Il y a tout ce qu'il faut ici, détaille Roger Mardern : deux bars, une cuisine au 1erétage, deux grandes salles au moins pour la restauration. Et s'ils le veulent, ils pourront toujours accueillir des événements, comme le casino de Hyères avec le salon du mariage. Ils peuvent aussi installer un piano-bar sur la terrasse, face à la mer ! »

De quoi donner des regrets au proprio : «J'ai moi-même longtemps essayé de faire tourner un casino ici, mais les maires successifs n'ont jamais donné suite. Peut-être préféraient-ils que ce soit fait par un casinotier professionnel… Mais l'arrivée du groupe Joa ne peut que me faire plaisir. Sans parler des avantages pour moi en tant que bailleur. » Et, oui, Roger Madern l'assure, il viendra tenter sa chance quand son « locataire » et ses machines seront là. « Je n'ai pas joué souvent. Mais je viendrai avec ma femme, chaque fois qu'on a joué ensemble, elle a toujours gagné ! »
source: Michaël Guillon - var matin

... cordialement ... Nicky ...

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christine sampere
Visiteur


Date du message : vendredi 18 novembre 2011 à 23h12


Casino provisoire aux Sablettes : qu'il y reste !

Le Casinotier Joa Group s'installe provisoirement dans l'ancien Casino des Sablettes : qu'il y reste !

Les seynois ne veulent pas d'un Méga Casino sur l'ancien site des chantiers navals !

Assez de béton !

Les Seynois veulent de l'emploi durable !

Le site est exceptionnel : il doit absolument être valorisé pour accueillir un chantier de réparation nautique comme à la Ciotat !

Les millions investis par la ville (et son endettement ....) doivent aussi servir à créer de l'emploi industriel !

Les Seynois ont déjà lourdement payé la fermeture des chantiers navals !

La crise n'est pas pour tout le monde : il n'y a jamais eu autant de méga yachts de luxe dans la méditerranée !

Et les chantiers installés à la Ciotat ont leurs carnets de commandes pleins !

Qu'au moins les Seynois puissent profiter de l'emploi que cette activité de loisirs de luxe génère dans la Région !

Ce n'est pas le port d'hivernage des méga yachts qui est la bonne réponse à l'emploi à la Seyne sur mer, ni le Casino !

Il est URGENT de passer à la case "PLAN DE DEVELOPPEMENT DE L'EMPLOI INDUSTRIEL" : le taux de chômage des jeunes et des moins jeunes explose !

Et cela s'accompagne d'un véritable plan de déplacement des biens et des personnes : le sujet est d'actualité !

Pour l'ouverture d'un débat public !

Christine Sampéré

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libellule50
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Date du message : samedi 19 novembre 2011 à 09h11


Bravo Mme Christine Sampere pour votre message. J'ai beau être d'un parti opposé, je reste malgré tout sensible à cette catégorie de personne humaine qui se bat vraiment pour l'avenir des citoyens. Comme par exemple M. Tite Grès, qui se bat également, certes dans un autre domaine, et qui défend des êtres humains sacrifiés pour le profit des grands pontes!!

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19381938
Visiteur


Date du message : samedi 19 novembre 2011 à 10h06


Quelle leçon de morale donnée par une municipalité de gauche. Un casino dans notre ville afin que nos chômeurs puissent dépenser leurs indemnités dans les machines à sous, c'est la dernière.

Je suis contre.

Les croisiéristes ? Il ont ce qu'il faut à bord

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buk
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Date du message : samedi 19 novembre 2011 à 10h15


ou un référendum ? why not ?

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LoulouDesLilas
Membre

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Date du message : samedi 19 novembre 2011 à 11h06


Gambi, le jeu est une pulsion profonde chez l'homme. Il ne sert à rien de l'interdire. A la rigueur, on peut essayer de le canaliser. La ville qui compte aujourd'hui le plus de casinos, c'est pas Las Vegas, c'est ... Moscou !
Au nom de la "morale", il faudrait interdire alors les PMU, les ventes de trucs de tirage et de grattage, etc.... Ou carrément interdire le jeu en France, auquel cas il faut augmenter les impôts de 9 %
Par contre, entièrement d'accord avec Mme Sempere : qu'on essaie de retrouver des emplois industriels sur l'ex site, et que le Casino reste aux Sablettes. Historiquement, c'est d'ailleurs sa place! Et l'été, il attirera plus de monde là bas que sur le site!!!!
Ou alors, faut se résigner : on devient définitivement bronze cul de l'Europe, et nos enfants seront serveurs, domestiques, strchoumpfs, croupiers ou gogo girls, quelques semaines par an. Il n(y a pas de sot métier, certes, mais on peut espérer mieux, non ????

Les défauts, c'est comme les phares des voitures. On est toujours aveuglé par ceux des autres !

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19381938
Visiteur


Date du message : samedi 19 novembre 2011 à 11h55


A quoi ont servi les leçon de morale de mon professeur Marius Autran. Le jeu était un danger.