Monsieur Lucien ,l'utilisation du nom de Philippe Giovannini ne vous appartient si vous étes comme je le pense son fils ,que pour ce qui concerne sa vie privée .Sa vie publique est publique par sa propre décision sur laquelle vous n'avez aucun droit de censure .....Fort heureusement ,parce que vous nieriez aux seynois et aux varois le droit de se rappeler et de parler de cet homme politique Honnête ,dévoué et homme d'etat unanimement respecté et avec lequel j'ai collaboré pour mon plus grand plaisir professionnellement et politiquement .Je n'oublie pas que c'est lui qui m'a fait l'honneur ,en 1977,de me solliciter pour devenir sur sa liste municipale la conseillère municipale puis l'adjointe à la Jeunesse ,mandat auquel j'ai été réélue jusqu'en 1995.Je n'oublie pas que c'est lui ,en 1978,qui m'a demandé de quitter mon poste d'Assistante Sociale à l'hopital psychiatrique de Pierrefeu et de mettre mes compétences professionnelles diverses au service des personnes agées du Foyer Residence Jean Bartolini où j'ai exercé jusqu'en 2000.Notre estime réciproque s'est poursuivie dans la plus parfaite harmonie lorsque je suis devenue 1ere secretaire du PCF à La Seyne après la defaite de la Municipalité Maurice Blanc en 1984 .Ensemble nous avons soutenu cette section du PCF après cette défaite et accompagné politiquement, au quotidien ,avec d'autres ,la lutte des 81 et celle des travailleurs des chantiers.Jusqu'à ses derniers jours ,à mes cotés,comme secretaire de section ,il est resté sur le pont de la défense des droits de la population ,de la construction d'une vie meilleure pour tous et de son engagement indéfectible auprès de la Section ville de La Seyne sur Mer St Mandrier du PCF politiquement et financierement puisqu'il a reversé sa retraite de Député à la section dès que j'en suis devenue la secretaire.La confiance de Philippe Giovannini m'a toujours honorée et je peux dire aux seynois et electeurs de la circonscription dont il a été aussi député ,que j'ai toujours veillé à defendre les mêmes valeurs et la même ethique que lui dans les méandres de ma vie personnelle ,professionnelle et politique.Philippe Giovannini un exemple dont il faut parler à tous les jeunes pour qu'ils sachent que la politique c'est aussi des hommes exceptionnels de droiture ,de dévouement et de simplicité
Nicky
webmaster
Je n'ai ni le temps, ni l'envie de passer mes journées au commissariat en cas de dépôt de plainte pour diffamation ou autre
armagueddon
Visiteur
Désolé mais je ne peux pas être d'accord !
Ce qui a été dit et je cite : "du temps dont je suis fière où le PCF des Philippe Giovannini,des Jean Bartolini ,des Georges Marchais rimait encore avec honneteté,altruisme , refus de la loi de l'argent,défense des travailleurs et non de l'assistanat"
Philippe Giovannini est cité pour son honnêteté son altruisme la défense des travailleurs.... Je ne vois là rien d'autre qu'un vibrant hommage à un personnage public puisqu'il l'était et avait choisi de l'être. A ce titre il est cité dans divers ouvrages et moi qui ne connaissait que son nom j'ai, suite aux échanges un peu vifs de certains débatteurs, poussé la porte des archives de l'assemblée nationale et j'ai pu lire l'imposant et respectable parcours de ce député remarquable; j'ai pu également y prendre connaissance des "amabilités politiques' de certains de ceux qui le cotoyaient.
Je ne critique pas, j'admire, je ne juge pas, je m'informe et tout le monde peut aujourd'hui le faire alors de grâce ne nous en privez pas en raison de l'angélisme qu'il est de bon ton d'afficher en permanence au nom de la repentance et de l'égalité des chances
Vos histoires sont devenues notre Histoire et celle de Monsieur Giovannini est à ce point remarquable qu'elle doive demeurer publique, ainsi que l'a raconté Monsieur Autran et nul ne songerait à porter plainte pour diffamation envers des personnes qui ont su hisser l'histoire locale au rang national qu'elle occupe désormais !
D'autres historiettes certes plus truculentes mais combien moins glorieuses ne passeront pas les colonnes d'un journal local et finiront au fond d'une poubelle ou dans l'arrière cour d'un cabanon
Je ne partage bien évidemment pas et pour les mêmes raisons les qualificatifs de traîtres dont ont été affublés un peu hâtivement sans doute d'autres personnages publics comme Madame Joyan, Monsieur Vialatte, ou comme en ont été accusées en leur temps Mesdames Bicais, Foglino ou autres
Message modifié le mardi 22 mai 2012 à 22h48 par armagueddon
GAMBISTORTI
Membre
Lucien a écrit : Citation :Armaguedon, que le nom d'un homme remarquable, libérateur de Nice à la Libération, maire, député, soit utilisé aujourd'hui, alors qu'il est disparu, par tel ou telle, pour justifier sa propre attitude, sans qu'il puisse dire ce qu'il penserait de cette attitude, je pense que cela peut à juste titre irriter ses parents et amis.Il est dangereux (pour rester poli!) pour ceux qui restent de vouloir faire parler des disparus. En "sollicitant" leur actes et leurs attitudes.
Surtout quand il existe, effectivement, des archives sur ceux qui restent, justement. Pas forcément sur des sites officiels.Loulou, je ne me fâche pas, au contraire, je reprends une partie de ton texte, pour expliquer mon intervention. Dela7,a tout compris lui aussi, je vous en remercie tous les deux .
Armaguedon, je reste à ta disposition par MP, comme tout un chacun d'ailleurs.
Cordialement
Lucien
Je me fâche pas Germaine, j'essplique. Coluche
