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veilleur
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Date du message : mardi 18 juin 2013 à 15h12


Quiz: qui sait combien de temps une fibre d'amiante de quelques microns reste implantée dans un poumon ?

veilleur

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veilleur
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Date du message : mardi 18 juin 2013 à 15h19


je vais revenir sur cette question la confédération n'est pas d'accord avec ce type de déconstruction sans avenir industriel

MENSONGE ?

veilleur

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cgt canal historique
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Date du message : mardi 18 juin 2013 à 15h38


il y a aucune stratégie industrielle nationale sur cette activité des subventions publiques sont t'elles versées pour déconstruire des navires de la marine nationale propriétaire des épaves?
La cgt n'est d'accord que lorsqu'il y a maitrise publique est-ce la cas sur ces épaves ?
La cgt n'est pas d'accord que cette filière reste entre les mains de société ou de quelques industriels uniquement avides de faire du fric

A bientôt

CGT CANAL HISTORIQUE

cgt canal historique

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GAMBISTORTI
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Date du message : mardi 18 juin 2013 à 17h33


Une question qu'un journaleux de VarMatin ou La Marseillaise poourrait poser aux responsables de la société. Quele est l'entreprise qui est chargée de ce travail et combien d'embauches a t'elle créée

Je suis seynois et j'en suis fier

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mariethe
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Date du message : jeudi 20 juin 2013 à 00h23


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Andree
Marraine du Gobie Bleu

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Date du message : jeudi 20 juin 2013 à 13h00


Ce sujet attire plus de commentaires que celui du traitement des boues....Bizarre bizarre...Vous parliez de subventions ?

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GAMBISTORTI
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Date du message : jeudi 20 juin 2013 à 13h03


Andree a écrit : Ce sujet attire plus de commentaires que celui du traitement des boues....Bizarre bizarre...Vous parliez de subventions ?

C'est quoi le traitemement des boues, explique nous

Je suis seynois et j'en suis fier

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Nicky
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Date du message : mardi 2 juillet 2013 à 12h01


Le vibrant hommage d'un ancien de la « Saône »


Gérard Jamin a embarqué sur la Saône le 4 août 1965, en tant qu'enseigne de vaisseau seconde classe. Il en débarquera six mois plus tard avec un grade supplémentaire (photo: Éric Estrade)
La vieille coque rouillée de la Saône, emmenée à Brégaillon par le dock flottant, s'apprête à faire son dernier voyage. L'inéluctable. Après cinquante ans de bons et loyaux services pour la Marine

Gérard Jamin, un des très nombreux marins montés à bord du pétrolier ravitailleur d'escadre, a tenu à rassembler ses souvenirs (1). Et à lui rendre un dernier hommage avant sa déconstruction.

Gérard sort de l'école navale. Il a seulement 23 ans lorsqu'il monte sur la Saône, « le premier bateau sur lequel j'ai embarqué après mon application sur la Jeanne-d'Arc ». Le jeune homme d'origine vendéenne s'en souvient parfaitement. « C'était à Brest, le 2 août 1965. Un lundi. Le vendredi, un nouveau pacha est arrivé, le commandant Capoul. »

Le pétrolier ravitailleur vogue vers Toulon

Gérard Jamin est alors enseigne de vaisseau seconde classe. Il découvre la vie du carré, « un rectangle qui sert de cercle aux officiers ». Les traditions marines. Et quelques autres privilèges. « J'étais dans une chambre sur la plage avant. Je contemplais l'infini de l'océan depuis mon hublot. »

L'océan, il ne tarde pas à le prendre. Le 7 août, la Saône appareille. Direction la base navale de Toulon, où elle arrive trois jours plus tard. Jusqu'au 30 septembre, l'équipage fait la navette entre le port pétrolier de Lavéra, à Marseille, et la baie du Lazaret, pour des missions de ravitaillement.

« Le lendemain, j'ai été nommé enseigne de vaisseau première classe, et nous sommes partis pour un exercice de dix jours en Méditerranée », se souvient Gérard. Il y apprend les subtilités du « Ram », le ravitaillement à la mer. « On peut ravitailler à bâbord, à tribord et en ligne de file. Il fallait garder la même vitesse que le bâtiment que l'on ravitaillait», se souvient-il. La Saône pouvait ainsi alimenter en carburant, eau ou vivres, trois navires en même temps. Et l'officier de pester encore contre le lance-amarre, « ce fil toujours trop court d'un mètre. Ça tombait toujours à l'eau », s'amuse-t-il.

Six mois suffisent pour que le jeune midship s'attache au navire. « Certains logeaient en ville, se rappelle-t-il. Moi, je restais vingt-quatre heures sur vingt-quatre sur le bateau. »

Après avoir écumé mare nostrum pendant six mois et « effectué des tonnes de ravitaillement », l'enseigne de vaisseau reçoit un ordre de débarquement le 16 janvier 1966. Finalement, il quittera le navire à la mi-décembre. Gérard Jamin ne peut rester plus longtemps : en janvier, l'école d'aéronautique navale de Salon-de-Provence l'attend. Sa future femme aussi. Mais ça, il ne le sait pas encore.
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1. Depuis plus de dix ans, il a entamé d'importantes recherches, jusqu'au service historique de la Défense. De nombreux souvenirs sont revenus grâce aux lettres qu'il envoyait à ses parents. Il a à ce jour compilé archives, photos… et a contacté d'anciens marins avec qui il a navigué. Le tout afin d'écrire ses mémoires, destinés à ses enfants et petits-enfants.

L'ancien officier de la Saône a même rédigé un éloge funèbre, avant que le bâtiment ne soit plus. « Maintenant que tu reposes sur ce dock flottant, je songe, en voyant ton trépas, que pour ta vieille coque sans grâce il n'en fût pas toujours ainsi : tu as vécu belle et sans souci, et en courses folles tu as passé tout le temps que Dieu t'a laissé. Aujourd'hui, alors que tu as terminé ces beaux jours, je te ressens sereine, car c'est en TPM, où plus d'un t'aime d'amours profondes, que tu finis ton existence. RIP. »
source: Aymeric Brégoin - var matin

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Nicky
webmaster

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Date du message : mercredi 3 juillet 2013 à 17h08


L'Ex-Saone démantelé sur le Dock flottant RI-18 ...


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Nicky
webmaster

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Date du message : mercredi 31 juillet 2013 à 21h58


La déconstruction de l'ex Saône se poursuit ...


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