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mafee
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Date du message : vendredi 29 mars 2019 à 13h10


on sent l'intelligence d'ici !!!!

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Nicky
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Date du message : lundi 1 avril 2019 à 11h15


Une Lettre ouverte de l'Association Porte Marine & Co, suite au Recours sur la Construction du Cinéma de La Seyne sur Mer
Lettre ouverte de l'Association Porte Marine & Co, suite au Recours sur la Construction du Cinéma de La Seyne sur Mer

Une Lettre ouverte de l'Association Porte Marine & Co, suite au Recours sur la Construction du Cinéma de La Seyne sur Mer - Une lettre ouverte par monsieur Jean Cozette, président de l’association loi 1901, pour la défense des intérêts généraux des résidents de la Seyne sur mer et du site de porte marine, membre de l’UDVN-FNE83 et de l’UIMT, à monsieur Robert DURAND, Président de Confédération Environnement Méditerranée, Port Pin Rolland, 83430 Saint Mandrier cedex:

«La nécessité impérieuse d’un cinéma à la Seyne n’est plus à démontrer. Le choix d’établir ce dernier sur le site des anciens ateliers mécaniques a été fait depuis de trop nombreuses années pour que l’on puisse sans préjudice sur l’existence, à court et moyen terme, d’un tel édifice, revenir sur cette décision. Il convient donc d’admettre comme postulat que le cinéma sera réalisé sur cet emplacement. Dès lors, s’opposer à sa construction par le biais de recours, inlassablement répétés et à chaque fois rejetés, ne relève-t-il pas d’une vraie volonté de nuire aux seynois en les privant définitivement d’un cinéma qu’ils souhaitent ardemment?.

La mise en oeuvre de recours successifs devant les tribunaux, basés sur des arguties administratives, si elle pourrait être qualifiée d’abusive permet cependant de s’interroger sur les raisons réelles qui l’animent? Faisant appel à votre sens du bien commun, au nom de l’association PM&Co, mais aussi pour le bien de tous les seynois, je vous prie de vouloir bien retirer votre récent recours contre ce projet. En espérant que vous donnerez une suite favorable à cette requête, je vous prie d’agréer, monsieur le président, l’assurance de ma considération distinguée.»

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riri
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Date du message : lundi 1 avril 2019 à 15h20


Bizarre, vous avez dit bizarre ???
Mais qui est donc le président de cette association? Le Vice- Président? Le secrétaire? le secrétaire adjoint. Le trésorier? Le trésorier adjoint? bref tout ce qui compose normalement le bureau d'une association? Mr DEMORY ayant démissionné, il ne reste que les Durand. Mais pour la composition du bureau mystère.

Quand tu traverses le pays des aveugles, ferme un oeil.

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LC469
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Date du message : mercredi 3 avril 2019 à 14h05


OUI , nous voulons un cinéma à LA SEYNE

MAIS pas à n'importe quel prix , nous n'avons pas besoin d'espaces commerciaux et de restaurants qui vont finir de vider le centre ville , pas besoin de locaux de médecins ou autres dont on regorge ( surtout en zone franche d'ailleurs !! ) .

OUI au cinéma mais à condition de pouvoir se garer et de pouvoir CIRCULER car dans ce coin c'est bouchon en permanence , alors il ne suffit pas de demander un cinéma , il faut aussi repenser le plan de circulation , faire des pistes cyclables et des TROTTOIRS pour pouvoir marcher en toute sécurité ( autour de la mairie et du port il y en a un peu mais ailleurs , il n'y en a pas ). A croire qu'on aime pas les vélos à La Seyne Sur Mer . Mais là , c'est un autre débat ....

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mafee
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Date du message : mardi 9 avril 2019 à 10h59


Article paru à l'instant sur le site de Var Matin

extrait :
"Donc, nous allons lancer le chantier parce que nous ne voulons pas prêter le flanc à une association environnementale qui n'en a que le nom, dirigée par une équipe de pieds nickelés qui vient, pour des motifs politiques, et sous des prétextes totalement fallacieux, empêcher la deuxième ville du Var d'avoir un cinéma. "

(perso, j'adore !!!)

Message modifié le mardi 9 avril 2019 à 11h04 par mafee

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Nicky
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Date du message : mardi 9 avril 2019 à 18h52


Coup de Théâtre dans le Projet de Cinéma de La Seyne: malgré le Recours en Justice, le Chantier va débuter

Franck Dondeinas, P.-D.G. du groupe Quartus, et Marc Vuillemot

Franck Dondeinas, P.-D.G. du groupe Quartus, affirme que les appels d’offres ont été lancés, permettant de débuter les travaux dans les prochaines semaines. Photo: Valérie Le Parc

Coup de Théâtre dans le Projet de Cinéma de La Seyne: malgré le Recours en Justice, le Chantier va débuter - Le P.-D.G. du groupe retenu par la ville pour construire le complexe cinématographique, décide de lancer les travaux malgré le nouvel appel déposé contre le projet. Et il attaque l'auteur du recours. A l'offensive! Franck Dondeinas, P.-D.G. du groupe Quartus, était lundi à La Seyne pour rencontrer le maire et évoquer avec lui l'avenir du projet de cinéma.

Et c'est une double annonce qu'il a faite à cette occasion, illustrant sa détermination à aller jusqu'au bout dans ce dossier. Pourtant, un doute planait depuis que la Confédération Environnement Méditerranée avait décidé d’interjeter appel du jugement, rendu mi-janvier, validant le permis de construire. Dans ce contexte, l'investisseur allait-il patienter encore plusieurs mois dans l'attente d'un feu vert du tribunal pour démarrer le projet (retardé depuis deux ans déjà)? Eh bien, non, Quartus attaque dans les deux sens du terme: il va démarrer le chantier, et assigner les auteurs du recours qu'il juge insincères.

Explications avec son dirigeant.

Quelle décision pouvez-vous annoncer concernant le projet de cinéma que vous avez la charge de construire ? - Une décision simple: aujourd'hui, nous disposons de toutes les autorisations d'urbanisme nous permettant de démarrer l'opération. Donc, nous allons lancer le chantier parce que nous ne voulons pas prêter le flanc à une association environnementale qui n'en a que le nom, dirigée par une équipe de pieds nickelés qui vient, pour des motifs politiques, et sous des prétextes totalement fallacieux, empêcher la deuxième ville du Var d'avoir un cinéma. Certes, nous prenons un risque – mais c'est notre métier – en décidant de lancer les travaux et de mener à bien cette opération portée par Marc Vuillemot et ses équipes depuis des années. Car on ne peut pas imaginer que la période pré-électorale ait raison de toute cette énergie. Et on ne peut pas imaginer non plus qu'un jugement puisse étayer une mascarade pareille.

Vous estimez donc que l'association agit pour des motifs autres qu'environnementaux ? - Ces recours multiples n'ont d'autre objet que de bloquer le projet, avec des motifs environnementaux qui n'en sont pas. On ne pliera pas face à cela, d'autant qu'en première instance, le rapporteur public avait désavoué totalement l'ensemble des arguments que porte cette association. Donc, la poursuite de ses attaques s'inscrit dans un contexte politique. On a d'ailleurs tous les éléments nous permettant de considérer qu'il s'agit d'une attaque contre le maire, et nous allons le prouver. Je relève aussi que le nouveau recours est entaché d'irrégularités, puisqu'il émane d'une association qui n'a plus l'agrément environnemental et dont on ne connaît pas le vrai président.

Pensez-vous qu’elle agisse aussi pour le compte d'un candidat au projet de cinéma non retenu par la ville ? - Cela peut se croiser avec un enjeu politique. Il n'empêche qu'installer un cinéma et des hôtels et porter un projet pour animer le centre-ville, ce n'est pas de la politique. La gestion de la ville ne m'intéresse pas ; je suis là pour bâtir. Et ce, dans le respect des règles environnementales car, sur ce point, Quartus a répondu à toutes les questions et a fait toutes les études nécessaires. Nous ne sommes pas des bétonneurs, nous avons une éthique environnementale et une empreinte sociétale.

"NOUS RÉCLAMONS 11 MILLIONS D'EUROS À L'ASSOCIATION"

Allez-vous chercher à transiger avec cette association ? - Non, il n'est pas question de payer quoi que ce soit. On sait que, pour certains, déposer des recours est devenu un gagne-pain. Nous ne voulons pas de ça. Bien au contraire: ce matin, nous adressons, par le biais de nos avocats, une assignation pour réclamer un préjudice. Car ce recours, s'il est gratuit pour celui qui le dépose, nous coûte très cher, mais moins que notre volonté d'aboutir. Avec cette assignation, par laquelle nous demandons le retrait pur et simple du recours, nous réclamons 11 millions d'euros à l'association au titre du préjudice que nous subissons, ainsi que nos partenaires. Il faut être clair: un recours, ce n'est pas que du papier; il doit y avoir un sens profond; il faut prouver que ce n'est pas juste un acte d'opposition. Or, là, je considère, que ce n'est que cela, au vu du contexte et du chemin suivi par cette association.

Quelles sont les chances que cette procédure aboutisse? Et sous quels délais ? - Ces procédures d'assignation sont aujourd'hui une pratique courante, tout comme de voir se multiplier les recours contre les permis de construire. Les lois Macron ont permis de faire face à ce genre de situations, même si ces procédures ne sont pas toujours suivies par les juges. Mais, l'an dernier, nous en avons engagé trois comme celle-ci, qui nous ont permis d'aboutir. Du reste, j'attaque désormais aussi bien les marchands de sommeil que les spécialistes des recours abusifs. Là, c'en est un, et nous allons y mettre un terme. J'ai en effet bon espoir d'avoir gain de cause. En termes de délais, cela peut aller très vite, d'autant que, dans quatre cas sur cinq, nos avocats sont vite contactés par la partie adverse pour trouver une solution.

Décidez-vous aussi d'agir vite au vu de l'état du bâtiment qui doit héberger le projet, et qui ne cesse de se dégrader ? - Non, c'est l'état politique du dossier qui fait urgence. à savoir une obstruction politique non fondée. Pour le reste, nous avons l'habitude d'entreprendre des travaux d'envergure sur ce type de bâtiment.

Quelles vont être les premières étapes du chantier ? - Nous allons, sous un mois, mettre en œuvre les premières palissades sur le site. Puis, nous attaquerons les opérations de désamiantage, de dépollution et de déplombage des structures. Une phase qui devrait prendre environ six mois, sur un rétro-planning prévoyant deux ans et demi de chantier pour construire 20.000 m² de surface plancher. Pour nous, il est important de rester dans le timing que nous nous étions fixés après la décision, début janvier, du tribunal de Toulon validant le permis de construire. Ce qui nous permettait de démarrer les travaux à partir de juin. Donc, nous allons installer la base vie et l'encadrement du chantier sur le site, afin de respecter les délais actés avec nos partenaires. source: MICHAEL GUILLON - var matin

Atelier Mécanique

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Nicky
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Date du message : mardi 30 avril 2019 à 19h56


Il lance un recours contre le projet de cinéma à La Seyne pour "protéger la population"
Robert Durand, président de la Confédération Environnement Méditerranée, aux côtés de l’avocate de l’association, Lizzie

Robert Durand, président de la Confédération Environnement Méditerranée, aux côtés de l’avocate de l’association, Lizzie Sacchero. Photo Patrick Blanchard

Il lance un recours contre le projet de cinéma à La Seyne pour "protéger la population" - Le président de l'association qui attaque le permis de construire de l'Atelier mécanique soutient qu'il n'agit pas pour des raisons politiques mais de "santé publique". Déboutée en janvier dernier, par le tribunal administratif de Toulon, de son recours contre le permis de construire du projet de cinéma, la Confédération Environnement Méditerranée a fait appel du jugement et la procédure se poursuit. Pour autant, celle-ci n'obère pas la motivation de l'opérateur choisi par la ville, à démarrer le chantier dans les prochaines semaines. Mis en cause par cet investisseur et par la ville, qui lui reprochent de vouloir "retarder"le projet pour des "raisons politiques", Robert Durand, le président de cette association s'explique sur sa démarche.

Pourquoi attaquez-vous le permis de construire du projet de cinéma? Il faut arrêter les fake news: on n'est pas contre le cinéma, qui ne représente d'ailleurs que 20 % de la surface totale du projet. Notre recours vise à protéger la population car il y a un problème de santé publique avec ce projet du fait qu'il y a énormément de pollution concentrée autour du site (des PCB, des métaux lourds, des sondes radioactives – on sait que six de ces sondes contenant du césium 131 ont été perdus sur le site). Et cette pollution, il faut l'enlever. Au départ, Quartus prévoyait de l'enfouir sous 30 cm de terre. Puis il a consenti à retirer l'équivalent de 50 camions remplis de terre polluée ; mais cela ne veut rien dire puisqu'on ne peut pas estimer le volume à retirer tant qu'on n'a pas creusé!

Pourquoi cet argument de la dépollution du site ne figure-t-il pas dans votre mémoire d'appel? On n'a pas eu le temps, mais ce sera fait dans un mémoire complémentaire.

Vous dénoncez aussi l'insuffisance des places de stationnement pour le futur complexe. Pourtant, la capacité du parking a été validée (1)? La ville annonce 450.000 visiteurs par an sur le futur site. Où va-t-on garer les voitures alors que seulement cent places de stationnement sont prévues et que le parking des Esplageolles ne se fera pas?

Le tribunal administratif de Toulon a rejeté l'ensemble de vos arguments. Quel est votre espoir de gagner en appel? J'espère que la cour administrative de Marseille entendra nos arguments. Et puis, faire appel, c'est la raison d'être des voies de recours : pouvoir infirmer un premier jugement.

Le groupe Quartus et la municipalité estiment que vous agissez pour des raisons politiques. Et ce, au motif que vous participez à des réunions de candidats aux futures municipales et que d'anciens élus de l'équipe d'Arthur Paecht figurent dans votre association (2). Que répondez-vous? On peut assister à des réunions publiques en tant que citoyen; c'est la démocratie.

Vous avez dit, lors de l'une de ces réunions politiques, que vous n'auriez pas attaqué l'un des projets concurrents (3) s'il avait été retenu par la ville. Pourtant, cet autre projet ne prévoit pas plus que Quartus en matière de dépollution. N’est-ce pas contradictoire? Non je n'ai pas dit ça. Ces propos ont été enregistrés … Pour nous, il n'y a pas un projet plus rassurant que l'autre. Ce projet concurrent, tel que je l'ai vu, me semble mieux d'un point de vue économique et offre davantage d'activités pour la jeunesse. Mais tout projet peut être amélioré.

Avez-vous des contacts avec ce porteur de ce projet non retenu par la ville? J'en ai eu, comme avec tous candidats. Lui m'avait contacté à propos du jugement qu'il a gagné en appel à Marseille pour nous demander des précisions.

Qu'est-ce qui pourrait vous faire retirer votre recours aujourd’hui? On pourrait se mettre autour d'une table, entre gens sérieux, pour trouver un accord et bâtir un projet cohérent qui permette un réel développement touristique profitant à notre jeunesse et aux Seynois. Nous sommes force de propositions et appelons à un projet qui soit un vrai pôle de développement économique, tout en étant conforme au développement durable.

En quoi le projet présenté ne le serait-il pas? Il y a des cases vides dans ce projet. C'est-à-dire? … (il ne répond pas) Le groupe Quartus vous attaque à son tour au motif que vous retardez le projet et lui causez un préjudice.

Cela vous inspire quoi? On a reçu cette assignation. S'ils croient nous faire peur… Le préjudice réclamé n'est pas justifié. Et l'inverse peut tout aussi bien se produire…

Ce qui veut dire que vous pensez attaquer Quartus? On est en démocratie.

1. La commission nationale d'aménagement commercial a validé le projet en 2014.
2. Le secrétaire de l'association est Sylvain Ponzio, ancien élu de l'équipe Paecht, et actuel responsable adjoint de l'UDI dans la 7e circons-cription.
La femme de Robert Durand, membre de la CEM, a été élue à l'urbanisme durant le mandat de l'ancien maire. 3. Un projet porté par les investisseurs All Suites Resort and Spa, Altissimo et Kinepolis

"CE RECOURS NE BLOQUE PAS LE PROJET" -

Lizzie Sacchero, avocate de la CEM, affirme que "ce n'est pas le recours de l’association qui bloque le projet", et soutient que l'opérateur choisi par la ville n'est pas fondé à lancer les travaux: "Quartus annonce qu'il va démarrer le chantier, mais sa qualité d'attributaire a été annulée le 8 octobre 2018 par la Cour administrative d'appel de Marseille (1). En outre, le projet avait été, au départ, attribué par la ville au groupement CGR / Immochan, mais ce dernier s'est retiré au profit de Quartus. Or quand un attributaire se rétracte, soit on en choisit un autre parmi les candidats écartés de l'appel à projet, soit on lance un nouvel appel à projet. Ce n'est pas ce qui a été fait. On peut donc estimer que, dans la procédure, un candidat a été favorisé. On considère aussi que, suite au jugement du 8 octobre, le maire ne peut plus signer le bail et que Quartus n'est pas fondé à demander un permis de construire". Pour sa part, Sylvain Ponzio, secrétaire de la CEM, affirme aussi que l'association "ne bloque rien: nous n'avons mis ni chaîne, ni barrière, ni barricade sur le site : Et la preuve que nous ne bloquons rien, c'est que Quartus annonce le démarrage du chantier".

1. Ce jugement a confirmé l'annulation de la délibération votée en 2013 par le conseil municipal et qui approuvait le choix du groupement retenu pour la réhabilitation des ateliers mécaniques.

LA CEM, LE VRAI DU FAUX - La démarche de la Confédération Environnement Méditerranée contre le projet de cinéma a suscité des interrogations. D'aucuns ont relevé de possibles vices de forme dans son mémoire d'appel, d'autres se sont questionnés sur le financement de cette association. Des points sur lesquels Robert Durand répond … ou pas. Pourquoi le nom du président de l'association mentionné dans votre mémoire d'appel n'est-il pas le votre, mais celui de l'ancien président? Les choses ont été faites rapidement. Ce sera rectifié auprès du tribunal. Dans ce mémoire, vous indiquez que votre association est agréée au titre du Code de l'environnement. Mais cet agrément est échu … Il est en cours de renouvellement mais on n'en a pas besoin dans cette affaire puisqu'une association de protection de l'environnement peut ester en justice, qu'elle soit agréée ou pas.

Comment est financée votre association et quel est son budget? Le budget est d'environ 4.000 E. Nous sommes financés par les cotisations de nos membres et par des travaux que nous réalisons.

Pouvez-vous nous en dire un peu plus? Nous avons 300 membres environ, pour une cotisation qui va de 15 E pour des particuliers à plus s'il s'agit d'organismes, et dans ce cas c'est le bureau qui fixe le montant de la cotisation. Pour les travaux, nous sommes sollicités comme experts dans certains dossiers.

Et quel est le dernier dossier pour lequel vous avez été rémunéré? … (il ne répond pas)

Vous aviez aussi déposé un recours contre l'installation du chantier naval Monaco Marine sur la corniche. Puis vous aviez cessé la procédure; pour quelle raison? On s'est désisté parce qu'il s'agit d'une activité marine qui a été autorisée sur ce site dans le cadre du PLU. Et nous avons eu une négociation avec Monaco Marine pour retirer le recours.

Moyennant un chèque? Moyennant le remboursement de nos frais d'avocat (2.000 E). C'est la raison pour laquelle le logo de Monaco Marine figure sur le site internet de votre association? Non, il n'y figure pas.

Il y figure dans la rubrique “partenaires”... Eh bien c'est parce qu'ils ont bien fait le travail, eux, en enlevant toute la pollution sur le site, comme cela doit être fait dans le cadre du développement durable. source: M.G. - var matin

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Nicky
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Date du message : mercredi 24 juillet 2019 à 20h23


23/07/2019: Le bail du futur cinéma de La Seyne n'est toujours pas signé
23/07/2019: Le bail du futur cinéma de La Seyne n'est toujours pas signé

Le site de l'Atelier mécanique à La Seyne. Photo Dominique Leriche

23/07/2019: Le bail du futur cinéma de La Seyne n'est toujours pas signé - Dans l’attente d’une décision de justice sur la validité du permis de construire, la Ville a accordé une convention d’occupation temporaire à la société Quartus, qui va ainsi pouvoir préparer le chantier. Cinéma? Pas cinéma? Lancé il y a plus de trente ans, le projet de pôle loisirs dans l’Atelier mécanique, aux Mouissèques, attend toujours de savoir s’il va pouvoir, un jour … voir le jour. Celui-ci, qui doit notamment accueillir des salles de cinéma, est suspendu à une énième décision de justice. La cour administrative d’appel de Marseille étudie un recours déposé par la Confédération Environnement Méditerranée contre le permis de construire accordé en 2016.

Occuper le terrain - Mardi en conseil municipal, fort d’une première décision favorable du tribunal administratif (TA) de Toulon rendue en janvier, le maire Marc Vuillemot a toutefois souhaité continuer à avancer ses pions. Une convention d’occupation temporaire et précaire d’un an a ainsi été établie pour permettre à l’aménageur, Quartus, de prendre possession du site et de préparer le chantier. Ce, en attendant que le bail soit signé en bonne et due forme et autorise alors le lancement des travaux de gros œuvre. Les termes de celui-ci ont par ailleurs été précisés, anticipant le fait que la justice valide le permis de construire. Sinon? "Si la cour d’appel invalide la décision du TA de Toulon, c’est simple: rien ne se fera", a expliqué le maire. A ce sujet, le tribunal a confirmé que l’audience sera fixée… avant janvier 2020. Bref, largement de quoi poser quelques palissades et occuper le terrain.

Un conseil avec Quartus à la rentrée ? - Loin de se satisfaire de cette timide avancée, l’opposition, Jean-Pierre Colin en tête, a donné de la voix. En cause, d’après ces élus, un projet "illisible", le loyer "dérisoire" de 2.000 euros mensuel consentis à Quartus, un bail qui serait rallongé de 40 à 60 ans sous la pression de l’aménageur ou, encore, l’autre menace judiciaire que fait peser Maciej Adamowicz, candidat débouté par la ville en 2013. Sur ce point, Patricia Maffiolo, référente du dossier pour la municipalité, a invité tous les élus à venir "au huitième étage" constater que "l’offre de M. Adamowicz n’apportait aucune garantie financière. C’était un dossier leurre." Au bout de plus d’une heure de débat, le maire, un tantinet agacé, a promis de tenter d’organiser "une réunion du conseil où les représentants de Quartus seront présents pour s’expliquer. Peu importe qui coupe le ruban de ce cinéma, moi, je veux juste que ça débouche tôt ou tard." Il n’est visiblement pas le seul: 38 élus ont voté pour la convention et le projet de bail, contre seulement 8 abstentions. source: Pierre-Mickaël Ayi - var matin

23/07/2019: Le bail du futur cinéma de La Seyne n'est toujours pas signé

La Ville vient de mettre à la disposition de Quartus le site de l’Atelier mécanique pour que l’aménageur puisse ainsi préparer le chantier du futur cinéma. Dans un second temps, les travaux ne démarreront qu’à la condition que la justice valide le permis de construire. Photo Dominique Leriche

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Nicky
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Date du message : mercredi 11 septembre 2019 à 14h06


Décryptage du Bail entre la Mairie de La Seyne et Quartus pour le futur Cinéma
Décryptage du Bail entre la Mairie de La Seyne et Quartus pour le futur Cinéma

Décryptage du Bail entre la Mairie de La Seyne et Quartus pour le futur Cinéma - Alors que la société Quartus prépare le chantier de reconversion de l’Atelier mécanique de La Seyne, zoom sur le contrat qui doit unir la ville à l’opérateur pour plus d’un demi-siècle. Quand on parle de la reconversion de l’Atelier mécanique de La Seyne en pôle de loisirs, dur de ne pas employer le conditionnel. La réalisation du projet est en effet toujours subordonnée à une issue positive des procédures judiciaires en cours et il convient donc d’être prudent. Pour autant, dans l’attente notamment de savoir si la cour administrative d’appel de Marseille va finir par valider le permis de construire, la ville et l’investisseur, Quartus, ont d’ores et déjà ficelé le bail à construction. Et son examen attentif est riche d’enseignements.

Durée d’exploitation allongée - Principale information : Quartus, qui finance les travaux et s’occupe de la commercialisation des différents espaces, a exhorté la Ville d’allonger le bail de 40 à 60 ans. Soit une augmentation conséquente de 50 % de la durée initialement prévue du contrat. Pourquoi cette requête? Si le projet suscite "une large adhésion du public, il fait néanmoins l’objet, depuis quelques années, de divers recours contentieux", explique Quartus dans un courrier à la Ville le 28 juin dernier. "Dans ce contexte, la commercialisation auprès des investisseurs s’avère plus difficile que ce que nous anticipions à l’origine." Par ailleurs, plus le bail est long, plus la durée d’amortissement des équipements (notamment des hôtels) l’est aussi et moins les taux d’intérêt pour les financements associés seront élevés. Raisonnement auquel la Ville a fini par souscrire.

Un loyer de 24.000 euros par an - Le loyer qui sera reversé à la Ville, propriétaire du terrain depuis 1992, a été fixé à 24.000 euros par an. Payé par Quartus, qui devra le collecter auprès des commerçants, ce loyer sera revalorisé de 2% chaque année. Un montant jugé "ridiculement bas" par l’opposition municipale. Compte tenu de l’état actuel des lieux, construits en 1906, en ruine et lourdement pollués, ainsi que des importants aménagements consentis par le locataire (43 millions d’euros de travaux tout de même), le service du Domaine estime, lui, la valeur locative du bien à … 1 euro par an. "Ça quand même fait 24.000 fois ce montant" sourit le maire. En plus d’un site et d’un bâtiment valorisés à plusieurs millions d’euros à l’issue du bail, si le projet est réalisé comme prévu.

Un cinéma, mais pas que - On le sait depuis longtemps, la reconversion de l’Atelier mécanique comprendra un cinéma multiplexe exploité par CGR cinémas - 9 salles de 1788 places - mais aussi d’autres commerces. Deux hôtels, des espaces de bureaux, une salle de sport, trois restaurants ainsi que différentes cellules commerciales et de services sont prévus. Une configuration qui, dans les détails, a quelque peu évolué ces derniers mois. Par exemple, le projet de bowling n’apparaît plus, faute, pour Quartus, d’avoir trouvé un opérateur déterminé à s’engager à ses côtés. Ce seront les salles de cinémas et les hôtels qui récupéreront l’espace libéré. On sait aussi que les cellules commerciales n’excéderont pas 1.000 m2 de surface de vente et, autant que possible, ne devront pas rester vides plus de six mois consécutifs. D’après Quartus, les bureaux pourront accueillir 120 à 150 travailleurs et les autres équipements générer "environ 130 équivalents temps plein". Rappelons enfin que 100 places de parking "seulement" sont prévues dans le projet, ce qui là encore fait grincer des dents dans l’opposition.

On sait de quels hôtels on parle - En lisant les quelque 75 pages du projet de bail, on apprend qu’initialement prévue, une piscine dans l’un des deux hôtels ne verra pas le jour. Et sinon? Que deux groupes hôteliers se sont engagés : Eklo et Sogepar. Le premier nommé développe en France un concept d’hôtels "éco, écolo et conviviaux", "entre de l’hôtellerie et de l’auberge de jeunesse" selon les propres mots de son fondateur, Emmanuel Petit, un ancien du groupe Accor. Quant à la Sogepar, petit groupe familial lyonnais en plein développement, il s’agit d’un opérateur multi-franchisé qui mise sur le « lifestyle ». Pour les détails, prière de prendre son mal en patience !.. source Ma.D. - var matin

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Nicky
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Date du message : vendredi 20 septembre 2019 à 13h49


Le chantier du futur cinéma de La Seyne sera lancé "dans les prochaines semaines"
aménagement du pôle de loisirs dans les anciens Ateliers mécaniques allait débuter très prochainement. Photo Dominique Leriche
De passage ce jeudi 19/09/2019 à La Seyne, à l’invitation du Club de l’immobilier Toulon-Provence, Franck Dondeinas, P-DG du groupe Quartus, a de nouveau assuré que le chantier d’aménagement du pôle de loisirs dans les anciens Ateliers mécaniques allait débuter très prochainement. Photo: Dominique Leriche

Le chantier du futur cinéma de La Seyne sera lancé "dans les prochaines semaines" - La Seyne Le P.-D.G. du groupe Quartus, choisi par la ville pour réaliser un pôle de loisirs, dans les anciens Ateliers mécaniques, a confirmé hier le démarrage imminent des travaux. "Regarde où tu mets les pieds", lance un invité en pénétrant dans l’enceinte des Ateliers mécaniques. Le groupe franchit alors un passage sur des gravats, des morceaux de verre et autres planches cloutées … "On rentre dans le squat; que va-t-on trouver à l’intérieur?", s’interroge un autre participant à la visite de terrain organisée, ce jeudi, par le Club de l’immobilier Toulon-Provence. Parmi les promoteurs et professionnels du secteur présents sur le site du futur pôle de loisirs seynois, Franck Dondeinas, P.-D. G. du groupe Quartus (retenu par la ville pour mener à bien le projet) a affirmé que le démarrage du chantier interviendra "dans les prochaines semaines". Et ce, alors que le projet est toujours conditionné à une décision de justice.

"ON Y CROIT ENCORE" - "Ça fait huit ans qu’on marne pour faire sortir cette opération. Les banquiers nous ont demandé 150 fois si ce projet allait aboutir un jour. Ça fait huit ans que la deuxième ville du Var attend de pouvoir accéder à son cinéma. Et nous, au bout de huit ans, on y croit encore. L’an prochain, il y aura des pelleteuses ici et, en 2022, la ville pourra enfin disposer de ce qui lui est dû et qu’on aurait dû lui fournir depuis longtemps", assure Franck Dondeinas devant un parterre d’invités. Le P.-D. G. de Quartus rappelle tout de même que la justice doit examiner, "avant la fin de l’année", le recours (en appel) déposé par la Confédération Environnement Méditerranée contre le permis de construire accordé par la ville en 2016 (nos éditions précédentes). "C’est le dernier obstacle, mais on va attaquer les travaux avant, affirme encore Franck Dondeinas. On a tous les permis nécessaires. Il manquait seulement la convention d’occupation temporaire que la ville doit nous accorder".

20.000 M² DE SURFACE PLANCHER - Pour mémoire, cette convention, validée en juillet dernier par le conseil municipal, va permettre à Quartus de prendre possession du terrain, de réaliser les premiers travaux de mise en sécurité, et de préparer le chantier. Celui-ci va débuter par des opérations de désamiantage, de dépollution des sols et de déplombage des structures. Une phase qui devrait durer environ six mois, sur un rétro-planning prévoyant deux ans et demi de chantier pour construire 20.000 m² de surface plancher. "A ce jour, 70 % des espaces intérieurs sont commercialisés", précise encore le patron de Quartus. De manière certaine, le groupe immobilier confirme la mise en place de neuf salles de cinéma exploitées par CGR, l’installation de deux hôtels (un deux étoiles et un quatre étoiles) et, au rez-de-chaussée, "des cellules commerciales animeront la vie intérieure, de même qu’un mur d’escalade". Sans oublier l’aménagement de 3.000 m² de bureaux afin "de combler un manque en matière d’équipement tertiaire".

"UNE PORTÉE HISTORIQUE" - Pour autant, 30 % des surfaces ne sont pas encore pré-vendues à ce jour ; faut-il s’en inquiéter? "Non, répond Franck Dondeinas, c’est un choix de notre part. Les surfaces restantes seront commercialisées après le lancement. Nous procédons toujours de cette manière car cela nous permet de communiquer sur la qualité des opérateurs déjà installés, pour en attirer d’autres tout aussi qualitatifs". Au cours de cette visite, le patron de l’opérateur et ses collaborateurs se sont donc montrés rassurants quant à l’avenir de ce projet. Ils ont aussi voulu mettre en relief leur stratégie en matière d’aménagement: "Les Ateliers mécaniques, c’est un projet qui nous ressemble parce qu’il parle du territoire, qu’il a une portée historique, qu’il donne une nouvelle vie en faisant fructifier cette richesse qui appartient au patrimoine local. Notre rôle d’ensemblier urbain est bien celui-ci : faire du sens, donner de la valeur sociale et sociétale là où nous investissons". Et quand un groupe décide d’investir 43 millions dans un projet attaqué de toutes parts, c’est forcément qu’il croit à son aboutissement! ... source: M. G. MGUILLON - var matin