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lemd
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Date du message : mardi 26 mai 2015 à 11h10


Bonjour

La polution vient pas du beton pour de la surconsommation de voiture abusif

pour faire cent metre il y a des jambes sur un être humain ou les velos sont plus propes

N'engraisser pas les politiques comme vous dite vous faite votre tord tous seul

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ecoureedetout
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Date du message : mercredi 27 mai 2015 à 19h15


je n'ai pas bien compris votre intervention suite à la mienne concernant mon opinion défavorable de la construction des immeubles de ,Bois Sacré. Cette forêt est le poumon de la lSeyne, nos enfants et petits enfants en auront besoin aussi comme nous , et puis pourquoi détruire ce lieu ? poour le FRIC rapidement gagné car il faut pas se faire d'idées les appartement s seront comme tous ceux d'aujourd'hui , mal fini et chers, je suis navrée que vous ne compreniez pas mon intervention qui est légitime et je souhaite que beaucoup se rallie à mon point de vue . FINI LE BETON LA POLLUTION et le fric !!!!!!!!!!!!!!!

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lemd
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Date du message : mercredi 27 mai 2015 à 21h12


on va se promener a Janas ou le fort Napoleon mais c'est pas commun la promenade au bois sacré

sortez de chez vous aller voir a quoi ressemble un lieu de promenade ailleur mais surement pas a ce site

désoler de vous décevoir trouver un autre pretexte

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msv83
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Date du message : jeudi 28 mai 2015 à 09h06


Il n'y a pas que Janas à La Seyne,à priori vous ne connaissez pas bien le pays.
Stop au béton et vive le Bois Sacré!

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lemd
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Date du message : jeudi 28 mai 2015 à 09h44


Vous lisez mal les mail
je signale qu'il y a en autre Janas ... etc
la region je la connais en velo alors pour moi sa va

vive de confort personnel c'est plus Francais

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lemd
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Date du message : jeudi 28 mai 2015 à 09h48


Fini le beton le fric et bienvenu a la faillite on est dans une ville si il y a l'arriere VAR on ne peut pas avoir l'argent et l'argent du beurre la Seyne n'est pas autrement

Il faudrais simplement s'appliquer lorsque l on fait des choses
mais on ne satisfera pas tous le monde

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lemd
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Date du message : jeudi 28 mai 2015 à 10h00


Je vous comprend je suis pour le arreter le beton mais le probleme a la Seyne et les particuliers c est qu'il entretiennent pas
Une foret ce n'est pas des friches mal entretenue avec depot d'ordures " dernier depot en date le mont caume" certe alentour pas la Seyne c'est cela l'image de la Seyne sur Mer.

Des lieux de promenades ca s'entretien ca se respecte je fais pas mal de coin de France alors bouger pas de lecon

Ici dix ans de retard sur le tri, des poubelles a vu de nez partout chemin de bremond des décharges d'herbes ...etc

La nature oui mais mal entretenu sa ammene la vermine.

Il y a du boulot pour avoir des trottoirs pour promener les pousette sans danger et prope

Prenner la piste derniere piste cyclable il a plus de verre par terre que de beton

Du potentiel mais toujours contesté par Pierre Paul et Jacquot

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Nicky
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Date du message : samedi 30 mai 2015 à 16h14


La résistance ne désarme pas face au projet de Bois Sacré ...


Philippe Raphaël mène la fronde contre le projet immobilier de Bois Sacré, dont les travaux pourraient démarrer début 2016
Dénonçant « l’inaction de la mairie », le CIL de Balaguier - Le Manteau - l’Eguillette entend attaquer en justice le permis de construire des 352 logements prévus sur l’ancienne friche Total

Ne lui dites surtout pas que la lutte est déséquilibrée. Ou que la ville assure ne pouvoir faire marche arrière. Philippe Raphaël, président du Comité d’intérêt local de Balaguier - le Manteau - L’Eguillette (BME), n’en démord pas : « Le projet immobilier de Bois Sacré doit être arrêté avant qu’il ne soit trop tard. Et avec notre association, nous allons donc tout faire pour qu’il en soit ainsi. »

Deux mois pour fourbir leurs armes

Petit rappel : sur la friche de 6 hectares des anciens terrains Total, le long de la corniche Giovannini, le promoteur Constructa entend ériger 7 immeubles et 8 villas. Soit 352 hébergements. La mairie, d’abord peu encline à urbaniser à ce point le quartier, certifie néanmoins avoir été contrainte par les règles en vigueur et le Plan local d’urbanisme d’accorder le permis de construire. Et se targue en outre de l’avoir fait modifier de manière à le rendre enfin « acceptable » (voir par ailleurs).

Du côté des associations, la pilule n’est pas passée, comme le résume Philippe Raphaël : « Nous avons fait des courriers dans le cadre de l’enquête publique. Le collectif des CIL s’est prononcé contre la construction. Le maire lui-même a reconnu que cela va poser des soucis de circulation. Pour autant, quand ils ont modifié le PLU en 2010, ils n’ont pas bougé le petit doigt sur le classement de cette zone. Le permis a été délivré et, nous, on devrait faire comme si de rien n’était? Pas question de céder face à l’inaction. »

Deux points d'intérêt général

Pour le CIL « BME » et sa cohorte de mécontents, deux points « d’intérêt général » font notamment débat. Ou ne devraient pas faire débat, justement : « Bois sacré, ce serait près de 2200 véhicules supplémentaires qui passeraient par le port. Qui peut, sérieusement, envisager cela avec les encombrements routiers actuels? Autre souci majeur : les terrains sont très pollués et, dans leur étude d’impacts, les solutions proposées par Constructa pour “nettoyer” sont très légères… »

C’est sur la base de ces arguments - « nous ne voulons pas encore en dévoiler l’exacte teneur » - que l’association a fait un recours gracieux auprès de la ville dans la foulée du dépôt du permis, pétition à l’appui. Ce, « pour demander au maire de faire marche arrière » mais, surtout, afin d’obtenir un délai supplémentaire pour saisir le tribunal administratif. Ce qui sera acté dans les prochains jours - « avant juillet » - si l’on en croit les résistants des quartiers Est, épaulés par un avocat. Avec quelle probabilité de réussite? « Nous sommes confiants mais on ne sait jamais. D’autant que c’est un peu le pot de terre contre le pot de fer, concède Philippe Raphaël. Une chose est sûre : un permis qui serait annulé au TA, ce ne serait ni le premier ni le dernier… » Nul doute que celui-ci ferait du bruit.

... @ suivre ...

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Nicky
webmaster

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Date du message : samedi 30 mai 2015 à 17h00


... Suite ... La résistance ne désarme pas face au projet de Bois Sacré

La ville ne fera « pas marche arrière »

Pour la municipalité, c’est clair : le projet se fera et ce, « dans les meilleures conditions possibles, grâce aux améliorations obtenues ». Comme l’a récemment expliquée Denise Reverdito, l’élue en charge de l’urbanisme, si le permis a été accordé, c’est que « le Plan local d’urbanisme actuel, donc la loi, ne permet pas de s’y opposer. Changer le zonage aujourd’hui serait un détournement de procédure. »

Depuis quelques jours, la ville a donc « pris acte » de cinq recours gracieux sur le permis de Bois Sacré, dont celui du CIL, et entend répondre désormais aux mécontents… sans faire de politique : « Ce sera le code de l’urbanisme et le PLU, rien que le PLU. Mais pour nous, on est dans les clous. Il n’y a pas de volonté de faire marche arrière. »

Quant à l’argument de Philippe Raphaël, qui estime que la municipalité a eu toute latitude pour modifier le PLU en 2010 afin d’empêcher le projet immobilier, dans les bureaux de la mairie on préfère retenir ce qui a été réalisé : « Nous ne pouvions pas rendre ce terrain inconstructible. Mais nous avons fait réduire sa constructivité de moitié. Ensuite, nous avons demandé au préfet d’imposer une étude d’impact et une enquête publique, ce qui n’était pas obligatoire; nous avons obtenu de Constructa qu’ils cèdent un hectare de forêt, puis qu’ils réalisent un cheminement entre la corniche et La Rouve, ainsi qu’un giratoire et une dépollution supplémentaire. »

Concernant enfin la problématique de l’augmentation du trafic induit par ces nouveaux habitants, la municipalité se veut optimiste : « Il y aura 980 véhicules par jour en plus - et pas 2000. Mais ce, pas avant 5 ou 6 ans. D’ici là, nous espérons raisonnablement avoir obtenu les crédits de l’État pour “faire” la traversée du port. Il n’y a aucune raison que ça se passe mal… »

Une pétition lancée

Pour l’instant, la barre des 300 signatures n’a pas été atteinte. Mais Philippe Raphaël, président du CIL « BME », espère bien fédérer au maximum derrière le credo de la pétition, lancée ces derniers jours sur le site internet de l’association: « Halte aux bouchons et au béton ». Un soutien financier est aussi demandé, en vue de financer l’avocat qui portera le dossier au tribunal administratif ... aller voir sur le site Internet: www.cilbme.fr
source: Ma.D. - var matin

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Homer
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Date du message : samedi 17 octobre 2015 à 08h41


Ce matin sur le bon coin 1500 appartements à vendre
à la Seyne 750 à Six fours a-t-on besoin de nouveaux
projets immo ?
Tous les quartiers sont touchés par cette folie bétonneuse.
Je comprends pas le politique du logement de la commune.