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Nicky
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Date du message : jeudi 13 août 2015 à 15h09


Le Laborieux ... jadis ...


source: Patrick Image - Agrandir la Photo - cliquez ici

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Andree
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Date du message : lundi 13 juillet 2015 à 08h28


Ho ben le grillage n'empêche pas grand chose alors... A moins qu'il n'y soit pas depuis longtemps...

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Nicky
Membre

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Date du message : dimanche 12 juillet 2015 à 21h12


Andree a écrit : Ce qui serait intéressant, c'est qui serait responsable si un enfant (parce qu'il y en a des enfants qui montent à bord de ce tas pourri...) se blesse....
il y a un grillage tout autour,.. je n'ai pas pu approcher plus
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Andree
Membre

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Date du message : dimanche 12 juillet 2015 à 11h33


Ce qui serait intéressant, c'est qui serait responsable si un enfant (parce qu'il y en a des enfants qui montent à bord de ce tas pourri...) se blesse....

Message

Nicky
Membre

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Date du message : dimanche 12 juillet 2015 à 00h03


Le Laborieux le 11-07-2015 ...


Agrandir la Photo - cliquez ici

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Nicky
Membre

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Date du message : vendredi 5 juin 2015 à 18h28


... Suite ... Qui est le mystérieux mécène qui veut sauver le Laborieux à La Seyne ?

Cédé par les CNIM à l’association"Patrimoine maritime vivant" en 2008, qui devait tenter de "retaper la bête", le navire n’est en effet pas une propriété municipale. Et du côté de l’association, on ne peut pas dire que tout ait été tenté pour remettre Le Laborieux à l’eau, faute, disent ces bénévoles, d’aides suffisantes et d’"un lieu pour l’entreposer".

Aujourd’hui, Gilbert Bressan, président de l’association, souhaite prendre rendez-vous avec la ville pour clarifier la situation. Mais sur le principe, l’arrivée d’un investisseur privé ne l’offusque pas plus que ça: "Ce n’est pas notre bateau. S’il y a un projet précis qui se met en place, si cela va dans le sens de la protection du patrimoine seynois, pourquoi pas…"

Quant au tout nouveau directeur des affaires culturelles de la ville, Denis Bouffin, il a d’ores et déjà annoncé que la gestion du Laborieux faisait partie des dossiers sur lesquels il comptait plancher ces prochaines semaines.

1. Selon un devis datant de 2010, une réhabilitation du navire aurait coûté 182 000 euros. Quant à une remise à flot du bâtiment, elle aurait chiffré à un peu moins de 400 000 euros. Cinq ans après, nul doute que les coûts ont dû encore augmenter.
source: Ma. D. - var matin

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Nicky
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Date du message : vendredi 5 juin 2015 à 18h27


Qui est le mystérieux mécène qui veut sauver le Laborieux à La Seyne ?


Vingt-cinq ans maintenant que le navire emblématique, construit à La Seyne en 1945, rouille au pied de Balaguier (photo: David Latour)
Un mécène étranger a proposé ses services à la Ville pour réhabiliter le remorqueur historique des chantiers navals. Rencontre avec un homme "à l’aise" et ambitieux… qui souhaite rester anonyme

L'homme tient à demeurer dans l'ombre. "Ni nom, ni nationalité" nous enjoint-il au téléphone, comme préalable à une rencontre où il doit "tout" nous expliquer. Son anonymat garanti, rendez-vous est pris avec cet élégant retraité, sur une terrasse ensoleillée des Sablettes. Les bateaux sillonnent l'horizon, étincelants, comme un pied de nez à ses préoccupations du moment: la réhabilitation de l'épave du remorqueur Le Laborieux, qui n'en finit plus de rouiller devant le fort Balaguier.

"L'histoire de la ville me passionne"

Monsieur X - nous l'appellerons ainsi - a un accent étranger prononcé. Il possède une résidence secondaire à Tamaris où il coule des jours heureux une bonne partie de l'année, en compagnie de son épouse. Et ce, "depuis vingt ans". Monsieur X, qui connaît notamment son Michel Pacha sur le bout des doigts, a appris à "aimer La Seyne", qu'il dit "plus authentique" que Mougins ou Saint-Tropez. "J'ai beaucoup d'amis ici, des anciens des chantiers aussi. Et l'histoire de la commune me passionne."

À tel point qu'il envisage aujourd'hui d'apporter sa pierre à l'édifice de la restauration d'un patrimoine en grand danger. "Je ne sais pas si Le Laborieux serait encore capable de naviguer. Mais c'est le dernier témoin d'un passé industriel flamboyant. L'idée serait peut-être de le refaire à l'identique, je ne suis pas spécialiste. Ça reste à étudier…" Et à financer, donc.

"Je ne vais pas courir après la municipalité"

Mais Monsieur X assure pouvoir contribuer avec "un montant substantiel" à la restauration du navire en piètre état. Cet ancien acteur de la finance explique être prêt à sponsoriser "jusqu'à 90 % des travaux sous certaines conditions" (1). Et de détailler: "Que la Ville monte et conduise un vrai projet avec, par exemple, des jeunes sans emploi, en formation, des anciens des chantiers, des habitants prêts à s'impliquer… Et que la mairie de La Seyne mette surtout un peu la main à la poche, afin de montrer qu'elle aussi porte un vrai intérêt au Laborieux."

C'est là où le bât blesse, pour notre interlocuteur, qui dit douter d'une véritable volonté politique de sauver l'ultime vestige naval des chantiers. "Pour moi, il n'y a que 20 % de chance que Le Laborieux puisse renaître. Je ne suis pas très confiant. Et pour cause : j'ai pris contact avec la municipalité il y a un an. Ils m'ont dit d'écrire une lettre officielle pour leur faire part de ma demande. Mais moi, je ne demande rien! J'ai voulu avoir un rendez-vous avec un élu ; il a été annulé. C'est à eux, désormais, de me solliciter. Ils ont mes coordonnées et je ne vais pas leur courir après." Voilà qui a le mérite d'être clair.

"Des projets similaires dans ma patrie"

Une question d'ego mal placé? Monsieur X s'en défend: "Je me suis fait connaître auprès de l'association propriétaire du navire(lire ci-contre). Je me suis fait connaître auprès de la mairie. La sécurité du financement n'est pas un problème: je peux très vite apporter les garanties bancaires. J'ai également beaucoup de connaissances ici qui sont en mesure de répondre du bien fondé de ma démarche. Désormais, la balle est dans le camp des décideurs."

Reste une interrogation, qui nous brûle les lèvres: pourquoi, finalement ? Pourquoi un résident étranger, à l'aise financièrement, voudrait-il investir dans l'hypothétique remise à flot d'un bateau en si mauvais état? La réponse fuse, comme une coque ciselée sur une mer d'huile: "J'ai déjà financé de projets similaires dans ma patrie. Et puis, c'est une question de transmission. J'habite ici, je me sens un peu Seynois et je souhaite que cet endroit soit le plus beau possible. Si je peux y contribuer, même modestement…»

L'association et la ville OK sur le principe

Quand on lui parle de cet investisseur mystérieux, Florence Cyrulnik, élue au patrimoine, ne feint pas l’ignorance: "Nous le connaissons. Et s’il y a effectivement la possibilité d’un mécénat privé, nous y serons très favorables. C’est lamentable que rien n’ait été fait avant pour sauver le remorqueur."

Pourquoi, alors, ne pas avoir donné suite officiellement aux demandes du généreux donateur? "Je suis la première à le déplorer. Le problème, c’est que la situation administrative et juridique du Laborieux doit d’abord être éclaircie…"

... @ suivre ...

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Nicky
Membre

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Date du message : samedi 7 mars 2015 à 13h23


... Suite ... Un nouveau mécène ?

Non que la municipalité ait beaucoup d'argent (1.) à investir dans l'histoire - avec ou sans «H» majuscule d'ailleurs - mais, toujours d'après Florence Cyrulnik, «un mécène privé, très généreux», se montrerait «plus qu'insistant.» La Ville serait prête à le soutenir pour faire labelliser le remorqueur auprès de la fondation du patrimoine maritime et fluvial. Ce qui permettrait de lancer des appels aux dons défiscalisés. Ensuite? «On pourrait l'exposer dans le futur complexe des Ateliers mécaniques…»

Pour l'instant, l'identité du (ou des) mystérieux «repreneur» potentiel n'est pas connue. Pas plus que sa crédibilité. Ni d'ailleurs la volonté de l'association «Patrimoine maritime vivant» de renoncer à son rêve. Une chose est sûre : le temps presse avant que Le Laborieux ne tombe définitivement en ruine, rendant sa sauvegarde plus qu'hypothétique. Le déplacer sans casse aujourd'hui relèverait déjà de la prouesse.

La mort du remorqueur approche. Peut-être viendra-t-elle un jour de grand vent, quand la plainte du Laborieux sera son dernier râle.

1. Selon un devis de 2010, déplacer le navire aurait coûté plus de 20 000€! Quant à une simple réhabilitation, cela aurait chiffré à près de 200 000€. Cinq ans après, les coûts ont encore dû augmenter…
source: Ma. D. - var matin

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Nicky
Membre

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Date du message : samedi 7 mars 2015 à 13h21


L'interminable agonie du Laborieux à La Seyne ...


Le Laborieux est, depuis 2010, propriété de l'association « Patrimoine maritime vivant ». Mais ces passionnés n'ont jamais trouvé de lieu pour réhabiliter le navire photo: Dominique Leriche)
Malgré de nombreux projets de réhabilitation, le remorqueur historique des chantiers navals de La Seyne n’a pas bougé depuis 25 ans. Son état continue de se dégrader et l’espoir d’une renaissance est mince

Les jours de grand vent, sa longue carcasse semble geindre, implorer dans une plainte sinistre que l'on vienne mettre fin à ses souffrances. La rouille a envahi son squelette, le rongeant de toutes parts. Ses entrailles ont été violées, dépecées des derniers éléments de valeur. Le Laborieux n'est plus qu'une vieille coque sans doute parsemée d'amiante, agonisante depuis 25 ans au pied du fort Balaguier. Comme une relique abandonnée.

Pourtant, ses admirateurs ne manquent pas. Depuis sa retraite en 1988, Le Laborieux a vu passer des dizaines de passionnés, férus de patrimoine, anciens des chantiers aussi, tous porteurs de projets de réhabilitation : qu'il soit de remise à l'eau ou sous cloche, toujours destiné à magnifier le navire tricolore.

Car le remorqueur est bien l'un des derniers vestiges de la Navale et ses rutilants bateaux, dont il a assuré, un demi-siècle durant, les déplacements dans la rade. Un témoin du lustre industriel comme il n'en subsiste plus guère sur nos rivages.

Cédé par la Ville à une association

Dernière initiative en date : il y a cinq ans, une association - «Patrimoine maritime vivant» - se faisait fort de retaper la bête. Ou plus exactement d'en reconstruire une à l'identique, en piochant à l'envi sur l'original. La municipalité, qui avait hérité en 2008 du Laborieux auprès des CNIM pour l'euro symbolique, lui cédait alors gratuitement le remorqueur.

Après moult scenarii infructueux, les bénévoles pensaient tenir la solution : lancer un «chantier forain» qui verrait les lycées professionnels, bonnes volontés qualifiées et bricoleurs du dimanche mettre la main à la pâte. Le public serait convié à la fête pour s'approprier, lui aussi, ce bout d'histoire à raconter.

Un site internet était créé, les belles intentions affichées par Gilbert Bressans, président de l'association, fin 2010: «La Seyne a longtemps rayonné pour son savoir-faire des chantiers navals. Remettons-nous au travail ! La première étape sera donc de mettreLe Laborieuxà l'abri.»

Mars 2015: Le Laborieux n'a pas bougé, figé sur son ber métallique telle une funeste statue sur son socle. C'est Thanatos qui défie Neptune. Sa peinture a un peu plus terni sous les embruns, son état s'est encore dégradé, mettant en danger les curieux qui souhaiteraient trop s'en approcher. Et les graffitis lui servent de frusques ou d'étendard («Dégage !»)… mais il n'a pas bougé. Les bonnes âmes de «Patrimoine maritime vivant» en sont les premiers désolés : «Nous n'avons jamais trouvé de lieu pour l'entreposer…»

D'après Gilbert Bressan, les adhérents ont sollicité les CNIM (hangar des Mouissèques), la Chambre de commerce (hangars de Brégaillon) et… la Ville. «Mais personne n'a voulu nous aider. L'idéal aurait été d'investir les anciens Ateliers mécaniques. Si on avait pu, à l'heure où je vous parle, j'en aurais déjà retapé trois ou quatre, des bateaux» Un seul aurait suffi. Sauf que la municipalité nourrit d'autres desseins pour l'emblématique bâti.

Pour Florence Cyrulnik, élue en charge du patrimoine, l'heure est grave : «Depuis cinq ans, ces messieurs n'ont rien fait. On leur avait débloqué un crédit pour le déplacer ; ils ne l'ont pas utilisé. DCNS avait proposé de jouer les mécènes ; ils n'ont pas donné suite. S'il n'y a plus de projet, peut-être devraient-ils envisager de nous le rétrocéder ? Nous allons leur poser officiellement la question.»

... @ suivre ...

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eliot
Visiteur


Date du message : samedi 13 novembre 2010 à 15h46


enfin!! ce bon vieux bateau,symbole des chantiers naval qui finissait par tomber en poussiere a balaguier,va être réhabilité.C'est son capitaine qui aurait été content de voir ça!malheureusement il n'est plus là! tout les anciens de la navale doivent participer a sa reconstruction avec des dons si c'est possible car je ne pense pas que la réalisation technique soit possible sans faire appel a des pros outillés.

eliot