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Historique de la discussion
Nicky
Membre
Date du message : mardi 23 juillet 2013 à 18h20
H a écrit :... crache sur les ouvriers seynois.. ( j'ai le message) = propos fachistes, tout simplement... ( doit etre engagé dans les paras, au moins...) = honte absolu .
et voilà grillée chère Dame Corinne P. allez jouer sur fesse-bouc
H
Visiteur
Date du message : mardi 23 juillet 2013 à 18h18
... crache sur les ouvriers seynois.. ( j'ai le message) = propos fachistes, tout simplement... ( doit etre engagé dans les paras, au moins...) = honte absolu .
Pierre SCHMUTZ
Visiteur
Date du message : mardi 13 septembre 2011 à 21h32
et si on voit plus le verre, on le plaintEcrivez ici
mafee
Membre
Date du message : dimanche 31 juillet 2011 à 18h26
claude a écrit : un jour, un pb plus délicat , au pas de la Case, une sombre affaire de disques ..égarés !!...
Valério Capobianco a écrit : Quant au Pas de la Case, je m'en souviens également et j'étais loin d'imaginer que ces petits larcins provoqueraient autant de remous au delà des "frontières"...
Et de nos jours, un minot qui choure un bonbon au Leclerc, on appelle les flics et on lui colle un étiquette de délinquant !
Et celui qui se bastonne avec un copain dans la cour de récréation, on hurle que ses parents ont "démissionné" et on lui colle 1 an de rdv chez un psy
Soit on voit le verre à moitié vide, soit on le voit à moitié plein. La seconde solution rend la vie bien plus agréable !
19381938
Visiteur
Date du message : samedi 30 juillet 2011 à 17h04
Moi c'était en 1953-54. Nous avions nos tentes dans le jardin de la villa des Jarres.
Des conneries nous avons fait aussi. En soirée nous étions libres jusqu'à 10 h je crois.
Parfois on allait au cinéma du Casino mais trés souvent au seul bistrot dans le centre du village. La boisson à la mode c'était du rosé limé comme on disait et on faisait les couillons au jeu de boule.
Il y avait une canalisation qui passait dans le jardin de la villa et qui allait alimenter la cure et nous on y pissait dedans.
On assistait tout les matins au lever des couleurs. C'était le rôle du chef de chaque section.
Valério Capobianco
Visiteur
Date du message : samedi 30 juillet 2011 à 15h48
Il faut avouer que nous avions un succès certain auprès des jeunes filles de la ville qui tout de même venaient "musarder" assidument autour de nos tentes et au grand désespoir sans doute des gars du coin.
Quant au Pas de la Case, je m'en souviens également et j'étais loin d'imaginer que ces petits larcins provoqueraient autant de remous au delà des "frontières"...
Et qui se souviens des soirées"torrides" sur le stade de rugby?
et la venue d'Eddy Mitchell et des Chaussettes noires?...
Valério