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chris83
Membre

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Date du message : jeudi 13 mars 2014 à 18h23


Cocoboy a écrit : Que des noms bien Français!

Eric ZEMOUR a été condamné pour des propos similaires, et pourtant il avait raison. Il faut accepter la pensée unique et se taire. Ce sont les bienfaits du communautarisme.

" Vous n'aurez pas, ma liberté de penser" Florent Pagny

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Echalotte
Membre

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Date du message : jeudi 13 mars 2014 à 10h49


Cocoboy a écrit : Que des noms bien Français!
comme le votre

un grand proverbe chinois dit:
" si on voit un grand canard blanc sur un lac, c'est un cygne "

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Cocoboy
Membre

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Date du message : jeudi 13 mars 2014 à 10h43


Que des noms bien Français!

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Nicky
Membre

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Date du message : jeudi 13 mars 2014 à 10h04


... Tous condamnés ...


Jamal B. et Hicham A. ont partagé le sort de Yann Da C. (Croquis d'audience: Rémi Kerfridin)
Au terme d'un délibéré de presque quatre heures, la cour d'assises du Var a condamné cet après-midi les trois accusés du saucissonnage d'un patron de bar à La Seyne-sur-Mer, le 14 juin 2011...

Des peines de six à dix ans d'emprisonnement ont été infligées à Hicham A., Jamal B.i et Yann Da C. ... Pour le premier, désigné comme les deux autres par la présence de son ADN dans le véhicule de fuite des braqueurs, Me Christophe Hernandez a plaidé l'acquittement au bénéfice du doute. Un acquittement qu'avait d'ailleurs suggéré l'avocat général, estimant que cette seule preuve scientifique était insuffisante. Les jurés, qui ne sont pas tenus par le réquisitoire de l'avocat général, ont fait le choix inverse.
source: var matin

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Nicky
Membre

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Date du message : mardi 11 mars 2014 à 12h33


Saucissonnage à La Seyne: trois fauteuils d'assises pour quatre ...


Ils sont trois à être accusés du saucissonnage d'un patron de bar (photo: C. Chavignaud)
Il est à espérer que les jurés de la cour d'assises du Var aient la bosse des maths. Parce que, depuis lundi, ils se trouvent dans la délicate position de devoir résoudre une équation à quatre facteurs, dont deux sont connus, mais deux autres variables

Seul problème, il leur est demandé une solution à trois facteurs seulement. En l'occurrence, quels sont les noms des trois braqueurs qui ont saucissonné un patron de bar, le 14 juin 2011 à 6 h 45 à La Seyne-sur-Mer ?

La règle de trois

A priori,les choses pourraient paraître simples. La victime a été agressée à son domicile, frappée, ligotée, bâillonnée et dépouillée de sa recette par trois hommes encagoulés. Il n'y avait que trois braqueurs dans la voiture que les policiers ont poursuivie, depuis le centre-ville jusqu'au cœur de la cité Berthe. Ils ont vu trois malfaiteurs en descendre et parvenir à leur échapper en fuyant dans des directions différentes.

Et il y a trois accusés dans le box

Sachant que Jamal Bidari, 37 ans, et Yann Da Costa, 41 ans, ont renouvelé devant la cour les aveux qu'ils avaient passés devant les policiers de la PJ et le juge d'instruction. Sachant que leur compagnon de box, Hicham Amraoui, 25 ans, nie toute participation - « J'ai toujours été innocent dans cette histoire. » Sachant qu'à l'origine un quatrième homme, Boumediene Chnaf, 48 ans, ex-beau-frère de Da Costa, avait été soupçonné dans cette affaire, avant de bénéficier d'un non-lieu.

Qui est le troisième homme ?

C'est l'un des policiers du commissariat de La Seyne, présent dans la voiture de poursuite, qui a compliqué la donne. « On s'est retrouvés face à eux. Il n'y en a que trois qui ont sauté de la voiture. Je suis formel. Pour moi, le passager arrière, c'était Boumediene Chnaf. J'ai travaillé pendant cinq ans uniquement dans la cité Berthe et je l'ai contrôlé plusieurs fois. Dans ma tête, il n'y a toujours pas de doute. »

Et Hicham Amraoui alors ? Le policier seynois l'a reconnu également : « Je suis formel, il était le conducteur. » Ce qui donne quatre auteurs possibles, puisque Jamal Bidari a affirmé qu'il était le chauffeur, et Yann Da Costa a indiqué qu'il était le passager avant.

Profil génétique

L'instruction avait conclu que les charges pesant sur Boumediene Chnaf étaient insuffisantes. Certes, il était reconnu par ce policier. Mais il avait toujours nié sa participation aux faits, et les deux auteurs qui avaient avoué le mettaient hors de cause. De plus, il n'y avait aucune trace de son ADN dans la voiture des braqueurs, alors que les empreintes génétiques des trois accusés y ont été relevées.

Un élément qui ne plaide pas en faveur d'Hicham Amraoui. Pas plus que la déclaration qu'il avait faite au policier chargé de lui signifier le mandat d'arrêt lancé contre lui. « Je lui ai donné connaissance de ce mandat d'arrêt et des faits qui lui étaient reprochés. Il m'a dit qu'il les reconnaissait. »

« C'est une erreur, a rétorqué Hicham Amraoui.Je n'ai jamais reconnu quoi que ce soit. » Pour son avocat, Me Christophe Hernandez, il pourrait y avoir une confusion : « Il a juste reconnu qu'il savait qu'il y avait un mandat contre lui. »
source: G.D. - var matin

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Nicky
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Date du message : jeudi 16 juin 2011 à 14h53


Le patron d’un bar-tabac "Le Pinguin" braqué et ligoté chez lui


Le patron du bar-tabac de la rue Franchipani, en centre-ville de La Seyne, a été braqué, chez lui, hier au petit matin. Trois hommes l’ont menacé avec une arme et ligoté avant de partir avec la caisse du bar. Photo: Photo Dominique Leriche
En vingt-deux ans, le patron du bar-tabac de la rue Franchipani (centre-ville de La Seyne) en a vécu, des mésaventures. « J’ai même été victime d’une tentative de meurtre », se souvient-il.

Il a déjà été braqué quatre fois, toujours quand il était au bar. Cette fois, Yvan Champemont a été victime d’un « home-jacking » : une agression chez lui, pour le dévaliser.

L’homme habite deux étages au-dessus du bistrot. Hier matin, il se prépare pour aller travailler. « Il était 6 h 30. J’ai ouvert la porte d’entrée : trois hommes m’attendaient sur le palier. Ils étaient en survêtement, encagoulés et armés de 9 millimètres. Ils m’ont filé des coups de crosse, m’ont éclaté un doigt », raconte-t-il en montrant le pansement.

Il désigne aussi un hématome sur le front. Tout s’est enchaîné très vite : « Ça s’est passé en quinze minutes. Ils m’ont ligoté les pieds et les mains. Ils m’ont bâillonné. Ils se sont enfuis avec les caisses du bar », explique Yvan Champemont, encore choqué par l’agression. Il ne dévoile pas la somme dérobée, « mais c’est important ».

Libéré par des commerçants

Une fois les agresseurs évaporés, Yvan Champemont est parvenu jusqu’à son balcon en sautillant : « J’ai réussi à enlever le bâillon, j’ai appelé les commerçants qui déballaient leurs marchandises en bas. »

L’un d’eux téléphone immédiatement la police. Il témoigne : « J’ai entendu quelqu’un hurlé : “Ils m’ont volé ! Ils sont partis en courant !” J’ai appelé le commissariat, tandis qu’un autre collègue est monté délivrer le patron du bar. »

Certains commerçants disent avoir vu des hommes s’enfuir en courant. Mais la police judiciaire de Toulon, en charge de l’enquête, n’a encore procédé à aucune interpellation.

Hier, en fin de matinée, on ne parlait que de ça sur le marché. Devant le bar, les clients déconfits découvraient la fermeture exceptionnelle. « C’est pas ouvert aujourd’hui ? », demande une dame âgée au patron du bar, qui s’apprête à filer chez son assureur. « Non, c’est pas un bon jour ! », dit-il en partant.
source: Marielle Valmalette - var matin

... cordialement ... Nicky ...