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FaireDuNeuf
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Date du message : vendredi 1 mai 2020 à 22h08


Bonsoir,
et voici notre septième et dernier texte pour ce premier travail d'écriture.

Le connard et le virus

Le connard sur son lit d’hôpital enfiévré
Essayait malgré les doses de calmants injectés
De penser à comment cela avait bien pu arriver.
Il se souvient d’une quarantaine d’années auparavant
Que le peuple par le combat, fît un grand bond en avant
Et avait, dans tout ce qu’il croyait avoir gagné,
La liberté de tout et surtout voyager.
Les 35 heures nous le permettaient ! Ainsi que les congés payés !
Il était interdit d’interdire ! avant, il n’y avait pas pire !
Alors le connard s’était à aller, au-delà de la Rochelle
Dans des pays desquels il aimerait leur gamelle !
Tout lui était autorisé : embrasser les gens s’il le voulait
Même coucher avec celui ou celle qui le souhaitait
Et pourquoi pas s’il en tombait un jour malade
La science était là, avec ses connaissances !
Qu’on ne lui raconte pas des tonnes de salades !
Cette nouvelle vie apporterait la naissance
De progrès et de joies dont il fallait profiter
Quitte à abandonner ses valeurs héritées.
Du travail, y en avait, et puis, s’il fallait se délocaliser,
Pourquoi pas, c’était ça finalement, la vraie liberté !
La mondialisation, un mot que tout le monde aimait
Sauf quelques fachos qui fallait éviter.
Puis le temps a passé, et on ne pu rien dire,
Au risque de se faire insulter et traiter d’attardé.
Chacun mena sa vie au gré des libertés acquises par nos anciens
Et dont il fallait abuser, au maximum, ça ne coûtait rien
D’autant que là-haut, ils s’en foutaient qu’on leur reproche
De trop bien se gaver de s’en mettre plein les poches.
Puis, l’année 2020 arriva, avec ses résolutions et sa galette des Rois
Jusqu’à ce qu’aux informations, sur internet, à la télévision
On découvre que la Chine est touchée par une infection.
Bah, se disent les bouffons, c’est loin de chez nous, on ne craint pas grand-chose
Sans penser qu’un avion pouvait nous ramener la chose…
Quelques conseils, par ci par là, furent bêtement répétés.
Des affiches furent mises dans les aéroports
Ne pas vous embrasser, les mains bien vous laver,
En fait tous les gestes qu’on avait oubliés
Et qu’un petit virus, de Chine imposait, mais…sans trop d’effort.
Aux nombreuses questions mais d’où vient ce virus ?
Beaucoup de réponses étaient très confuses
Une chauve-souris, ou bien un pangolin, avait-on en réponse
Rien de bien précis, personne ne savait, personne ne disait
Peut-être avec la peur que quelqu’un les dénonce.
Puis, le virus contamina des gens, un nombre incalculable
Puis l’Etat pris la main, et mis tout sur la table
C’est une pandémie qui arrive parmi nous
Et pour pouvoir l’enrayer il faut rester chez vous !
Bien sûr, le matériel nécessaire à combattre,
Masque, gel, gants pour tous, étaient inexistants
Que ce soit pour le peuple comme pour les soignants
Mais qu’à fait l’Etat de toute ces choses utiles
S’il ne s’était pas occupé de choses moins futiles !
En haut lieu on décide une quarantaine
Pour protéger les gens d’une mort quasi certaine
Surtout pour les plus vieux et pour les plus fragiles
Qui doivent impérativement rester au domicile
Ainsi voilà le peuple qui se voit confiné,
Qui peut faire ses courses, mais pas se promener.
On le dit haut et fort : ne pas sortir pour rien,
Mais voilà que certains croient qu’ils ne risquent rien
Et quarante fois par jour veulent sortir leur chien
Ou encore tous les jours partent acheter du pain !
Moi, j’ai connu la guerre, et je m’en suis sorti
Diront quelques énergumènes qui croient tout de la vie
Moi, je suis jeune et fort, et de toute manière
Je saurais m’en sortir, de cette soit disant guerre.
Il y en a même certains, qui se sont mis au sport,
En groupe, bien sûr, défiant tous les efforts
Le connard se rappelle au fond de son brouillard
Qu’il avait lui aussi joué au bon fêtard
Chez lui il invitait nombre de ses amis, qui,
Venait en rigolant tout aussi cons que lui
Nous on fait attention, et on peut être fiers
De ne pas écouter ce que l’on nous rabâche.
Disaient-ils en riant, sans que les autres le sachent
Et puis, un jour, une fin de semaine, il ne les a plus vu
Il les a appelé, il est allé chez eux, a sonné à leur porte
Quelque chose clochait, ses amis n’y étaient plus.
Une voisine qui savait tout sur leur malsain manège
Le héla du balcon, et lui lança tout cru
« Vos amis sont malades, et non pas à la neige !
La plupart ont été embarqué par le Samu.
Vous avez fait les malins, vous n’y avez pas cru
Et à cause de vous mon mari j’ai perdu.
Vous êtes un connard et vos amis aussi.
Vous n’avez pas écouté tout ce que l’on a dit.
Craignez surtout d’être contaminés
Et pleurez comme je pleure, vous l’aurez mérité »
Le connard s’en alla en dressant les épaules
Oubliant les propos de cette vieille folle.
Rentré chez lui, transpirant un vertige le pris
Sans aucun doute avait- il marché un peu trop vite
Le connard pensa quand même à ses amis
Se disant qu’après tout, lui, était en vie
Et que Gérard, Momo et Frédéric
Avait peut-être quelques fragilités
Que du coup, lui, costaud, serait épargné.
Vient l’heure du repas, tiens, un bon steack grillé
Avec quelques asperges fraîchement cueillies
Ce matin dans les bois, même si c’était interdit
Il va se faire un bon repas, juste après son wisky.
Mais la tête lui tourne, et il se trouve un peu chaud
Il sort de sa cuisine, et s’allonge sur son lit
Quand un grand frisson lui parcours dans le dos
Ma parole, ce n’est pas vrai, il sent qu’il est fiévreux
Il a dû s’enrhumer, avec ce temps pluvieux.
Mais dans l’heure qui suit, le connard a du mal
Et sent que sa poitrine se resserre assez fort
Voilà qu’il ne peut plus faire aucun effort
Son souffle devient court, il tremble, il a peur de la mort
Il prend son téléphone et appelle le 15
Le 15 lui répond qu’ils arrivent en urgence
Le temps de raccrocher, et il perd connaissance
Maintenant il est là, perfusé et l’esprit embué
Dans son semi coma, sent qu’il est entubé.
Il entend autour de lui les docteurs qui s’affairent
Et pris le Bon Dieu de lui sauver la vie
Il entend parmi ceux qui s’occupent de lui
Dire « je le connais, c’est un connard de première
Il sortait, il se moquait de ceux qui avaient peur.
Hélas pour lui il n’y a plus rien à faire.
Nous avons utilisé le dernier respirateur »
Le connard compris un peu trop tard et amer
Que braver l’interdit peut souvent coûter cher.
Andrée

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FaireDuNeuf
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Date du message : mercredi 29 avril 2020 à 20h17


Bonsoir,
et voici notre sixième texte écrit dans le cadre du 1er travail d'écriture de notre association. C'est celui d'Annie kaiser
"LAISSONS REGNER LES ETOILES

(Billet d’une révoltée)

Elle n’est qu’un point dans le cosmos et elle réfléchit : ça elle y tient. Cela justifie sa présence dans l’univers.
Elle se dit que, sous d’autres cieux, on n’en avait pas le loisir : la survie personnelle et communautaire occupait tout le temps disponible ;
Du coup, certaines vertus s’incarnaient d’elles même, par nécessité absolue.
Oh ce n’était pas le paradis : seuls quelques privilégiés dissertaient sur le « je pense, donc, je suis », sans que la face du monde en fut changée.
Mais elle appartient à une autre partie de la planète et, pour son bonheur ou son malheur, elle prend le temps de penser.
Or des météorites ravageurs sont tombés : ils s’appellent ordinateurs, portables, ils se multiplient comme les criquets.
On ne parle plus que de communication mais on en oublie l’être pour ne se préoccuper que de l’avoir et du paraître.
Des esclaves des rouages électroniques ont remplacé ceux d’hier.
Et l’amour, dans tout ça ?
Il ne s’est pas envolé et pour cause, on lui a coupé les ailes.
Tout le monde en parle, tout le monde en veut, mais en prime seulement.
Car il faut du temps pour l’apprivoiser, le mériter, et du temps on n’a plus !
Pourtant, sans amour, point de salut.
Deux mains qui se frôlent, deux regards qui s’accrochent : ils sont si faciles ces gestes qui relient, ces élans si basiquement humains.
Elle a beaucoup voyagé : chez les plus démunis, elle a trouvé l’accueil, la générosité, et le regard de don pur. Elle a rêvé…
Elle sait qu’il est impossible de transposer les mœurs et coutumes.
Mais, elle est convaincue que, si on introduisait plus d’être dans la recherche effrénée de l’avoir, un peu d’altruisme à côté de cette solidarité qui asservit plus qu’elle ne libère, les gens seraient plus heureux, moins amers.
Cependant, elle doute, car, dans les hautes sphères, il existe une bête immonde ; sa devise ? « Je règne, donc, je suis ».
Elle fait son lit sur la naïveté et le laisser-faire.
Oui, Mesdames et Messieurs, ce n’est pas un gag, prenez cet avis au sérieux !
Il faut traquer la bête sans répit, sinon comment impulser la confiance chez les plus révoltés et les plus vulnérables ?
Ce n’est pas réalisable !
Imaginons, donc, une miette qu’on a voulu écraser et qui, un jour, rencontre des étoiles.
Seulement, ce n’est pas rentable, une étoile ; alors, elles sont en danger, les étoiles.
Pourtant, des étoiles, en catimini, continuent de s’allumer ; elles prônent la paix, la bonté.
A ce rythme, il faudra des siècles pour changer la planète !
Alors, sous la voûte du ciel, elle crie, la miette : » souquons ferme les amis, combattons la bête rampante de l’individualisme, qu’un feu d’artifice réveille la flamme de ceux qui n’osent pas, qui n’osent plus ».
La miette s’emballe, se met à espérer : peut-être, à force de le vouloir, toutes les injustices, toutes les violences, succomberont sous des vagues d’amour.
Oui, c’est possible, il le faut !
Sinon à quoi serviraient les étoiles ?

ANNY KAISER (2005)"

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FaireDuNeuf
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Date du message : mardi 28 avril 2020 à 12h28


Bonjour,
voici nos quatrième et cinquième écrit sur l'exercice N° 1 du travail d'écriture.

Le 4ème est de notre ami Pierre Forenza :
"Salut Madame Corona, salut Monsieur Codis,

Dites-moi.. c'est ' paque ' c'est bientôt Pâques que vous m'avez enfermé ?..
D'accord pour le moment l'école est finie, mais je vous assure à la maison c'est pas toujours; l'heure de la récré.
Peux plus faire de sottises avec mes copains et mes copines !
Les œufs, cocottes et même Jeannot lapin suite à votre tourmente se sont éclipsés.
Êtes arrivés brusquement de quelque part en haute banlieue de Mongolie et avez tout chamboulé...
Papa n'a plus de boulot, Maman essaie de m' amuser, me cajoler...mais quand le cœur à l'ouvrage n' y est pas...c'est la kata !
Ma tata, elle travaille à l'hôpital, elle cravache dur, cachée sous son masque.
Je l'aime bien car pour les Pâques d'hier, toujours chocolats elle me m'offrait.
Cette année elle est surchargée et aussi parce-que je suis enfermé, elle n'a plus de temps à me consacrer...
Méfiez-vous tous les 2, je sais maintenant que vous êtes de virulents méchants.
Alors à mon tour, comme un certain Monsieur Pasteur, dans une éprouvette je vous y enfermez à jamais.
Bien entendu, je ne vous embrasse pas, car vous bavez et postillonnez un très sale venin.

Par délégation signé mon tuteur : Pierre Forenza."

Et le cinquième de notre ami Jean Simon :

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FaireDuNeuf
Membre

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Date du message : jeudi 23 avril 2020 à 22h09


Bonsoir,
voici notre troisième texte du travail d'écriture N° 1, de notre ami Pierre
"Salut Madame Corona, salut Monsieur Codis,

Dites-moi.. c'est ' paque ' c'est bientôt Pâques que vous m'avez enfermé ?..
D'accord pour le moment l'école est finie, mais je vous assure à la maison c'est pas toujours; l'heure de la récré.
Peux plus faire de sottises avec mes copains et mes copines !
Les œufs, cocottes et même Jeannot lapin suite à votre tourmente se sont éclipsés.
Êtes arrivés brusquement de quelque part en haute banlieue de Mongolie et avez tout chamboulé...
Papa n'a plus de boulot, Maman essaie de m' amuser, me cajoler...mais quand le cœur à l'ouvrage n' y est pas...c'est la kata !
Ma tata, elle travaille à l'hôpital, elle cravache dur, cachée sous son masque.
Je l'aime bien car pour les Pâques d'hier, toujours chocolats elle me m'offrait.
Cette année elle est surchargée et aussi parce-que je suis enfermé, elle n'a plus de temps à me consacrer...
Méfiez-vous tous les 2, je sais maintenant que vous êtes de virulents méchants.
Alors à mon tour, comme un certain Monsieur Pasteur, dans une éprouvette je vous y enfermez à jamais.
Bien entendu, je ne vous embrasse pas, car vous bavez et postillonnez un très sale venin.

Par délégation signé mon tuteur : Pierre "

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FaireDuNeuf
Membre

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Date du message : mardi 21 avril 2020 à 20h46


Bonsoir,
voici le deuxième texte écrit par Marie Janick "Comme une fable"
Dans un petit pays, dont les habitants étaient fiers et indisciplinés, un ennemi invisible fit son entrée sur la pointe des pieds.
Le jeune monarque de ce royaume baptisé République, ami des puissants et des riches, qui voulait présider sans partage aux destinées de « son peuple », tenta de mettre en œuvre les moyens pour tenter d'enrayer le mal qui se propageait.
Il fut contraint de gérer la pénurie, résultat de sa propre incurie et de celle des gouvernants qui l'avaient précédé,
Le grand Chancelier ne pouvait pas se faire des cheveux blancs, il n'en n'avait plus guère, il se faisait de la barbe blanche.
La porte parole affirmait que point n'était nécessaire de se protéger avec des masques, qui au demeurant n'existaient pas, puisque les manants, trop sots, ne sauraient pas comment les utiliser.
Beaucoup mouraient d'avoir trop embrassé ou serrer des mains.
Les anciens, isolés derrière les murs de leurs résidences souvent indignes faute de moyens, s'éteignaient doucement comme des bougies.
Mais des personnes ordinaires, bravant le virus si redoutable, mirent tout leur savoir, leur compétence et leur compassion pour réconforter, soulager, soigner, nourrir les habitants, inquiets et confinés dans leur logis.
Les médecins, chercheurs, professeurs, infirmières, aides soignantes, pompiers, policiers, caissières, agents d'entretien, éboueurs ne ménagèrent pas leurs efforts,
Alors eux, si méprisés et mal payés, devinrent des héros extraordinaires.
Le Président assurera que, foi de politique, une telle tragédie ne pourrait plus se reproduire, que rien après ne serait plus pareil.
Gageons, que dans les années à venir, ceux qui gouvernent comme ceux qui les portent au pouvoir, n'auront pas la mémoire courte ,

Marie-Janick
8/4/2020

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FaireDuNeuf
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Date du message : lundi 20 avril 2020 à 20h43


Bonsoir,
Voici le premier texte qui nous a été envoyé pour l'exercice N° des travaux d'écriture. Ce premier texte a été écrit par Eddy :

La brèle et la bête

Elle gravite dans les hautes sphères, la brèle aux idées perverses Dans son enfer doré elle n’a que faire, juste à défaire, jusqu’à contredire Voltaire Pendant que l’autre bête de somme elle, dans ses bas-fonds, use son chiffon ! A contre-courant, tel un bouffon bravant les typhons.

La brèle est trop fière, c’est elle qui gère, elle qui te pose sur l’étagère ! Elle n’a que des phrases mensongères, te prends souvent pour un challenger La bête de somme que l’on croit en léthargie, garde son énergie Planquée dans le maquis, prêt à défendre son pays contre ces abrutis.

La brèle, cette fossoyeuse, cette monnayeuse, cette pilleuse sans états d’âme a perdu son âme Elle joue à la mégalomane, sauve Notre Dame, méprisant ses frères d’armes ! La bête de somme aime sa patrie, alors elle l’avertit, marre d’être introvertie elle n’a plus d’empathie, elle crie La voilà partie, la fleur au fusil ne voulant plus de contrepartie.

La brèle prit en tenaille, perd la bataille. Plus de victuailles, mange comme le bétail Sur son portail à céder est le bail, plus de vol pour Dubaï, bye-bye La bête de somme sonne le carillon, plus d’attrape couillon en guise de grand patron Sans dénonciation, elle garde ses convictions, ne reviendra pas sur ses positions

Ses bataillons n’ont plus de bâillons, libre ils sont La brèle n’a plus d’ailes, cassée est sa bielle Moralité d’une fable qui abat le diable car il n’était pas fiable Fuyable la bête a cessé de l’être, elle règne maintenant en maître.

Eddy

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FaireDuNeuf
Membre

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Date du message : lundi 6 avril 2020 à 20h23


Bonjour,
Et voilà ma petite vidéo du soir (oui, j'ai l'air fatiguée. Oui, je suis fatiguée, parce que debout depuis 4h du matin. Donc rien de grave )

Mais voici aussi le lien pour l'attestation dématérialisée qui aujourd'hui est valable...



Bon, on passe aux choses sérieuses ? Allez !Michèle Theuriet, notre intervenante atelier d'écriture nous a fait parvenir un petit travail...Si vous êtes intéressé, demandez le nous, on vous l'envoi par email... Ainsi, comme je le dis dans la vidéo, si vous l'acceptez, nous la publierons quand vous nous l'aurez retournée...Votre nouvelle, ou histoire...Vous avez été nombreux à me dire que cela vous intéressait, un travail d'écriture. Et tant mieux !
Pour la lecture, Claude Iconomou, ami et adhérent et écrivain également, vous fait parvenir (nous fait parvenir, car je vais la lire également) une nouvelle qui s'intitule "Les eaux bleues". Pour celles et ceux qui aiment lire comme moi, profitez de cet instant de belle lecture ! 40 pages...On ne vous demande pas de les lire en une soirée (quoi que...Vu que nous avons le temps)...Pareil, on vous l'envoi par email...
Bientôt le feuilleton de "Histoire en Provence" va commencer...
Un petit concours photo ? Allez, ainsi, vous pouvez nous envoyer une photo d'un vase ! (et pourquoi pas ?) vide, ou rempli de fleurs. Une photo réalisée par vous hein ! pas prise sur internet...(envoyez la nous par email toujours)
Du coup, la question informatique est : Vous savez les transférer de vos appareils (photo, téléphone, tablette), ou pas ? Posez vos questions, et on essayera de voir individuellement
Bon...Pour aujourd'hui, c'est déjà pas mal, non ?
Allez, au travail !
Notre email : faireduneuf@gmail.com
Je vous embrasse
Andrée

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FaireDuNeuf
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Date du message : dimanche 5 avril 2020 à 20h15


Bonsoir,alors, ce soir, vous ne me verrez pas ! pour un aussi beau dimanche, quoi de mieux que cette chanson de Jean Ferrat "Que c'est beau la vie" interprétée par notre ami Jimmy Bregy ?

http://www.youtube.com/watch?v=_x-VJq6BMEI

Régalez vous !

Par contre...Plusieurs informations, pour vous ! Il est temps de se mettre au travail (pas aujourd'hui ! jamais le dimanche). Ainsi à partir de demain, vous avez la possibilité de participer à plusieurs "travaux" associatifs, que notre association va vous proposer.Ces "travaux", même si en temps normal vous ne faites pas partie de ces ateliers, vous pourrez y participer ! 
Tout d'abord notre intervenante de l'atelier d'écriture, Michèle Theuriet, va proposer un thème, et vous pourrez écrire une nouvelle qui aura un lien avec ce thème. Et ne me dites pas "je ne sais pas écrire" !!! Juste pour le plaisir...Vous ne voulez pas essayer ? Nous vous proposerons ainsi, lorsque ce sera fait, et si vous êtes d'accord de publier vos écrits (j'ai dit, si vous êtes d'accord !). Le but sera quand même de nous les renvoyer ! sinon, ou est le but du jeu...
Ensuite, concernant la lecture, pour celles et ceux qui aiment lire. Nous avons pensé que...les bibliothèques étant fermées, et les achats de livres (à part par internet) étant compliqués, nous pouvions, avec le nombre d'écrivains qui sont adhérents à notre association, vous inviter à lire en vous envoyant de la lecture (en PDF). Toujours Michèle, qui a écrit une douzaine d'oeuvres, nous propose de vous envoyer par email donc, en PDF, un de ses romans "Histoire en Provence".Mais...Du coup, nous avons aussi pensé que de le faire sous forme de "feuilleton" pouvait également vous intéresser, vous distraire, et vous donner envie de connaître la suite.... Non ? 
Peut être d'autres écrivains auront des initiatives concernant cette matière...
Un petit concours de photos ? ça vous dit ? Pareil, nous vous proposerons un thème, et à vous de nous l'envoyer. Alors, quand je dis concours...c'est pour s'amuser hein ! Qu'en pensez-vous ?
Et tiens, du coup...Peut être que niveau informatique, ce pourrait être l'occasion pour celles et ceux qui ne savent pas encore : transférer les photos de vos appareils à votre ordinateur. Ou de les envoyer par email de votre tablette...
Peut-on imaginer quelques lignes concernant le dessin et la peinture ? Yolande, tu serais ok ? Et...Pareil, un thème, un dessin.
Recettes de cuisine : Vous en avez de sympa ? Et ben...Un atelier cuisine, ça vous dit ?
Un débat autour d'un sujet ? ça vous tente ? Vous aurez peut être droit à quelques vidéos "philosophiques".
Bon... Je vais attendre les réponses de chacun, et...les suggestions ! Car vous devez en avoir non ? 
Voilà, je m'arrête pour aujourd'hui, et on verra d'ici demain...Mais...tout commence demain !
J'espère que vous allez bien, et que le temps ne vous paraît pas trop long (mais oui, il est long...).
Ha !!! j'allais oublier ! évidemment vos participations seront récompensées...(ne vous attendez pas à un voyage sur les îles ! mais vous serez récompensés).
Les non adhérents peuvent participer aussi, évidemment !
Je vous embrasse, et vous dit : à demain !
Andrée