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Posté le 13/03/2011 à 16h55 par stack

tract NPA

Posté le 13/03/2011 à 19h11 par stack

Non à la casse de l'Education Nationale!

Posté le 13/03/2011 à 20h39 par stack

Contre la droite et l'extrême droite, qui sont les principaux soutiens des banquiers, actionnaires ou spéculateurs, responsables de la crise économique et des injustices sociales;
Pour une gauche de combat, qui ne renie pas ses valeurs, et qui défende dans les luttes comme dans les urnes les intérêts de l'immense majorité de la population,

Pas une voix ne doit manquer au NPA!
C'est le seul Parti qui n'est pas au service des privilégiés, et qui n'a jamais trahi ses valeurs!
Le 20 mars, votez et faites voter NPA!
Montrez que vous en avez assez du clientélisme, des magouilles, des injustices!
Indignez-vous!
Non aux politiciens corrompus, qui n'ont jamais cesser de nous mentir!
N'écoutons pas les promesses qu'ils n'ont jamais tenues!

Posté le 15/03/2011 à 21h51 par stack

Mobilisation pour l'école

Malgré la pluie, plus d'une centaine d'enseignants et de parents d'élèves ont manifesté à 17 H 30 de la Mairie jusqu'à l'inspection, école Malsert.
Le NPA était évidemment présent, mais la plupart des partis du centre ou de la droite étaient absents.
C'est pourtant la scolarité des enfants seynois qui est en jeu, avec une dégradation des conditions d'enseignement qui se prépare, suppression du réseau d'aide aux enfants en difficulté, classes surchargées, remplacements non effectués...

Partout, il faut défendre le service public contre ceux qui veulent sa mort, afin de favoriser le développement du secteur privé, générateur de profits et de sélection sociale.

Le NPA s'y emploiera comme il l'a toujours fait.
Que nous soyons ou non en période électorale...

Posté le 16/03/2011 à 16h20 par stack

Martinenq n'est pas le candidat de la gauche

Posté le 17/03/2011 à 12h40 par stack

Les 20 et 27 mars prochain vont se dérouler les élections cantonales. Une moitié de sièges, soit 2023 cantons, sont renouvelables dans les assemblées départementales, les conseils généraux. Ces élections seront les dernières car en 2014, la réforme territoriale entrera en vigueur. Il en résultera alors une refonte des fonctions des conseillers généraux et régionaux en conseillers territoriaux qui auront en charge à la fois les affaires du département et de la région.
La réforme territoriale n’a pas pour but essentiel de simplifier l’enchevêtrement des structures territoriales, il est vrai extrêmement complexe. Il s’agit d’abord de conforter les politiques néolibérales, par la suppression de la taxe professionnelle, la création des métropoles (qui capteront l’essentiel de la fiscalité au détriment des zones rurales), et la suppression de la clause de compétence générale qui permet aux départements et régions d’intervenir dans tout domaine correspondant à des besoins sociaux insuffisamment (ou pas du tout) pris en compte par l’État. Mais la réforme procède aussi d’un second objectif plus politicien, celui de permettre à la droite de reconquérir des positions face à un PS largement dominant dans les territoires.
L’élection des derniers conseillers généraux se fait au scrutin uninominal à deux tours qui favorise les deux partis dominants, PS et UMP. Les conseils généraux sont en charge de pans importants de la politique sociale. 60% des budgets sont consacrés à l’aide aux personnes âgées, à la petite enfance, à la jeunesse, aux personnes en difficulté. Le conseil général s’occupe des transports scolaires, des collèges, des routes départementales... C’est une collectivité qui a du poids. Les bilans des majorités sortantes, de droite ou de gauche, peuvent largement être critiqués pour les choix qui ont été faits.
Mais cette élection ne donne en général pas l’occasion d’un débat politique qui traverse en profondeur le pays. Les campagnes des grands candidats sont marquées par le clientélisme. Les enjeux n’étant pas clairement perçus à une échelle de masse, l’abstention est souvent très forte, notamment chez les jeunes et au sein des classes populaires.
Les comités du NPA ont décidé localement de leur politique à cette élection dans un cadre global fixé par le Conseil politique national (CPN), pour des candidatures qui défendent un programme général et local de rupture avec les politiques libérales, radicalement opposées à la droite et à l’extrême droite mais strictement indépendantes du PS et des majorités sortantes qu’il anime. Les financements des campagnes se font également avec des ressources locales. Au final le NPA sera présent dans près de 200 cantons, seul ou dans le cadre de candidatures unitaires dans des configurations diverses, avec tout ou partie des formations qui composent le Front de gauche, avec les Alternatifs, les Objecteurs de croissance, ou des groupes politiques locaux.

Posté le 17/03/2011 à 15h04 par eliot

stack! je ne vois pas bien ou vous voulez en venir en faisant une rétrospective de 15 ou 16 ans.peut être que vous voulez favoriser le FN???car vous savez parfaitement que vous ne serez pas au 2eme tour.........alors??

Posté le 17/03/2011 à 17h07 par stack

On en a assez de toujours voter utile, au nom du péril de la droite ou de l'extrême droite!
Si on doit taire nos différences et nos divergences au nom du danger FN, je ne vois pas l'intéret de faire de la politique.
Les idées que défend le NPA ont la vocation à être majoritaires, car les gens ont vu tant de trahisons de la part des partis de la gauche institutionnelle.
Ce sont justement ces trahisons qui font monter l'extrême droite.
C'est pourquoi le NPA doit faire le plus possible de voix, afin de redonner l'espoir et d'apparaitre enfin, avec d'autres partis de la vraie gauche, comme une véritable alternative à la dérive des partis de la gauche institutionnelle.
Au premier tour, il faut voter pour ses vraies idées!

Posté le 17/03/2011 à 21h46 par eliot

je ne conteste pas votre vote utile!je conteste le fait d'essayer de démolir un candidat qui devrait être au 2eme tour avec des méthodes mesquines .je trouve simplement ce procédé d'un autre âge,et favorisant,malgré vos dirent la droite et l'extrème droite.

Posté le 18/03/2011 à 07h37 par stack

Il ne s'agit pas de démolir un candidat, il s'agit de rappeler aux électeurs de gauche qui il est, et en quoi il n'est pas le mieux placé pour défendre les valeurs de gauche: laïcité, primauté au service public, lutte contre le capitalisme et l'économie de marché qui mettent le monde à feu et à sang.