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Nathalie Bicais devrait annoncer sa candidature pour les prochaines municipales à la Seyne.
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invinoveritas
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j'ai oublié de vous dire que cette annonce de candidature se fera aujourdhui lors d'une réunion publique aux Sablettes
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Nicky
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Nathalie Bicais part pour gagner:
«Je mènerai cette campagne pour gagner, sans aucun état d’âme»,affirme Nathalie Bicais. :Dominique Leriche
Quinze ans et quelques mètres. C'est dans les Salons du casino des Sablettes,voisins du fameux hôtel du Golfe qui représenta son premier combat en 1993, que Nathalie Bicais a eu«l'honneur » d'annoncer sa candidature aux élections municipales, samedi soir. A 42 ans, cette« femme de passions dynamique, architecte, mère de famille, artiste»,comme l'a présentée Didier Rancher avec enthousiasme, sent que « toutes les conditions sont réunies» pour l'amener à « gagner la ville ».
Conseillère municipale d'opposition à La Seyne dès 1995, puis 3e adjointe d'Arthur Paecht en 2001 avant d'entrer en dissidence moins de deux ans plus tard, Nathalie Bicais est aussi chef de cabinet à la mairie de Sanary, chargée en particulier des projets liés à la Culture et à l'Urbanisme.
Var-matin : Après quinze années d'engagement associatif et politique, que représente cette candidature ? Un aboutissement ?
Nathalie Bicais : « Oui, à un moment, à force d'étudier les potentialités de cette ville, j'ai décidé d'aller jusqu'au bout pour présenter ma vision de l'avenir de La Seyne. »
Y songiez-vous depuis votre éviction de l'équipe Paecht ?
« Pas du tout. Au début je me suis mise en stand by, pendant deux ans je n'ai rien dit et rien fait, j'ai observé. Puis j'ai vu que des décisions importantes, notamment liées aux finances publiques, ne correspondaient plus du tout à la vision que j'avais et à la parole que nous avions donnée. »
Cela a été le déclencheur ?
« Non, jusqu'à l'élection présidentielle je n'envisageais pas d'être tête de liste, ça me semblait difficile pour une femme. Mais on sent que les mentalités ont changé, aujourd'hui on sait que c'est possible de voter pour une femme. Parce que je n'y vais pas pour faire un tour de piste, j'y vais pour gagner. »
Vous aviez participé activement à l'élaboration du programme et à la campagne d'Arthur Paecht en 2001, retrouvera-t-on en 2008 des projets similaires ?
« Tout à fait. Cela fait quinze ans que je mène une réflexion, et il y a une continuité dans mes idées. Le programme de 2001 est toujours d'actualité, puisque rien de ce qui était inscrit dans la plaquette n'a été fait. Par exemple le pont pour éloigner la circulation automobile du port, l'ouverture de la cité, la réfection de la corniche de Tamaris, etc. »
Quelle est votre priorité ?
« L'avenir de la ville repose sur un projet intelligent de développement économique lié à la mer et à l'environnement. Il permettra de créer des emplois, alléger la pression fiscale et redonner du pouvoir d'achat aux Seynois. »
Plus précisément ?
« Nous disposons de plusieurs leviers pour attirer les entreprises, tels que le pôle de compétitivité mer (qui n'a pas encore été activé) ou la zone franche. Je soutiens que les tours désertées de Berthe, au lieu d'être démolies, pourraient abriter des pépinières d'entreprises. »
Et dans le domaine du tourisme ?
« Le savoir-faire seynois représente un potentiel énorme au niveau de l'image, si l'on met en perspective Ifremer, les câbliers, les Cnim, First, Aqualog, la biologie marine et Antarès. Aux Sablettes, les paillotes devraient impérativement être ouvertes hors saison, c'est une question de volonté politique. On pourrait aussi envisager la création d'une base loisirs nature sur l'isthme, pour que l'ensemble, avec la plage, vive toute l'année. »
Avez-vous demandé l'investiture de votre parti, le Modem ?
« Naturellement, mais je crois que le côté idéologie politique doit être mis de côté pour les municipales. J'ai toujours été centriste, je défends des valeurs humanistes, laïques et européennes, et je suis entrée au Modem par fidélité à mes engagements. Mais pour gérer une ville, l'important est de savoir ce qui est bon pour les Seynois. Je travaille avec des gens de bonne volonté, qui n'ont pas tous la même étiquette. »
Des noms (1) ?
« Il est encore trop tôt, nous n'avons pas encore élaboré la liste. Il y a une équipe de travail et un projet, mais en me déclarant aujourd'hui j'attends de nouveaux soutiens. »
Retrouvera-t-on des anciens co-listiers d'Arthur Paecht ?
« De fait, oui, puisque certains ont déjà quitté la majorité avec moi. Mais combien, je l'ignore. »
Quel score espérez-vous faire ?
« On a un projet, du monde avec nous, l'enthousiasme et la compétence ! On joue pour être bien placés et vraisemblablement prendre la ville de La Seyne. »
1.- Lors de sa déclaration de candidature, en présence d'une centaine de personnes, Nathalie Bicais était entourée de Michèle Theuriet, Philippe Verrière, Hamed Slimani et Jean-Philippe Cretin.
source: Anne Tezier - Var Matin - maville.com
...cordialement...Nicky...
Tout le monde savait que c' était impossible
Il est venu un imbécile qui ne le savait pas et qui l'a fait.
Message modifié le mercredi 13 février 2008 à 11h43 par Nicky
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L'escagaïre
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Les transfuges ont les dents longues.
Encore une que est persuadée que le maire est fini.
T'a raison ma belle! Mais ça ne veut pas dire que tu aura la place 
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Nicky
webmaster
| Gambi a écrit : |
| Est ce qu'il existe un sondage sur les intentions de vote? nouveau Sondage sur vos Intentions de Vote sur la première Page cliquer ici ...cordialement...Nicky...
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