Politiquement indiscret
TPM: Petite phrase longue polémique
Les petites phrases peuvent faire les grandes polémiques. Grandes, en tout cas, par leur longueur. Tout a commencé la semaine dernière dans cette rubrique. Au chapitre « petites phrases », justement, dans lequel Claude Mésengroas, maire sans étiquette du Pradet et candidat sur la liste Vauzelle, s’en prenait à « Toulon, la vorace ».
La réponse ne s’est pas fait attendre : dix maires de TPM sont montés au créneau et ont pris, dans nos colonnes, la défense de la communauté d’agglo et de son président Hubert Falco. La suite est arrivée très vite. C’est, cette fois, Claude Mésengroas qui y va de sa réponse à la réponse. Le problème, c’est qu’au fur et à mesure de la polémique, les communiqués sont de plus en plus longs. Pourvu qu’il n’y ait pas de réponse à la réponse de la réponse. Dire que tout avait commencé avec une petite phrase...
La réponse à la réponse
Donc, le maire du Pradet réagit à son tour. Dans un communiqué en quatre points dont voici quelques extraits. « J’assume parfaitement le mot “ résistance ”, j’assume surtout mon combat contre une réforme des collectivités territoriales (...) à cause de laquelle le particularisme et l’indépendance de communes telles que Le Pradet peuvent être définitivement mises à mal. » Claude Mésengroas poursuit : « L’unanimisme est l’ennemi de la démocratie et je n’approuve donc pas toutes les décisions prises par mes collègues. Pour preuve, mon récent refus de voter l’augmentation de la taxe additionnelle. » Avant de conclure : « Ma légitimité, je la retire uniquement des électeurs pradétans et c’est à eux seuls que je rends des comptes. Mon “ bercail ” est et sera toujours ma ville. »La réponse à la réponse
Donc, le maire du Pradet réagit à son tour. Dans un communiqué en quatre points dont voici quelques extraits. « J’assume parfaitement le mot “ résistance ”, j’assume surtout mon combat contre une réforme des collectivités territoriales (...) à cause de laquelle le particularisme et l’indépendance de communes telles que Le Pradet peuvent être définitivement mises à mal. » Claude Mésengroas poursuit : « L’unanimisme est l’ennemi de la démocratie et je n’approuve donc pas toutes les décisions prises par mes collègues. Pour preuve, mon récent refus de voter l’augmentation de la taxe additionnelle. » Avant de conclure : « Ma légitimité, je la retire uniquement des électeurs pradétans et c’est à eux seuls que je rends des comptes. Mon “ bercail ” est et sera toujours ma ville. »
... @ suivre ...