Des candidats du MoDem à La Seyne

Des candidats du MoDem à La Seyne

Nathalie Bicais - Agrandir - cliquez ici
Se concentrer sur la proximité. C’est la stratégie retenue par le MoDem du Var, qui n’a pas encore achevé sa stratégie pour les cantonales de mars prochain. « Nous sommes encore un parti jeune », justifiait Nathalie Bicais, la présidente du mouvement, à l’occasion d’une réunion du bureau du MoDem, hier à La Seyne.

Pas question de disperser ses forces. Ni d’aller au casse-pipe, y compris financièrement. Le MoDem ne partira qu’avec des « candidats ancrés dans leurs territoires ». Dans plusieurs cantons, le mouvement démocrate pourra appeler à voter pour d’autres formations. « Nous attendons confirmation à Paris d’un certain nombre de soutiens ».

Dans le canton de Six-Fours, Jean-Marc Froment, ingénieur de 56 ans, se lance dans la campagne, n’hésitant pas à souligner qu’il est « né en Algérie, ce qui est un plus pour ce canton ». Jamais élu, il était sur la liste aux municipales de 2008. Il se dit « inquiet de la manière autocratique dont cette ville est gérée ».

Dans le canton de La Seyne, quartiers centre et nord, ce sera Gérard Beccaria, 56 ans. Novice en politique, mais bien connu dans les quartiers, où il a travaillé dans la police nationale. « Les besoins du canton sont énormes. Les associations ont de moins en moins de subventions, c’est fort regrettable ». Il a été actif au contact de la jeunesse et sur des actions de prévention.

Le MoDem revient de loin après les régionales, où il a rarement dépassé 3 % dans ces cantons.
source: var matin

Ah Madame BICAIS ne se présente plus avec son collistier des municipale Comment il s'appelait déjà ce pinguoin? Monsieur BECCARIA a changé de camp il mange dans une autre gamelle!!!
ils sont à mourir de rire tous ces gens!!!

De nouveaux candidats en campagne à petits pas

Une partie du bureau du MoDem varois était réunie ce week-end à La Seyne. Leurs candidats rassemblés autour de leur présidente, Nathalie Bicais (au centre chemise blanche), seront présents dans deux cantons ouest-varois, La Seyne et Six-Fours. photo: Sonia Bonnin
La partie n'a pas encore commencé. Dans presque deux mois, les 20 et 27 mars prochain, seront organisées les élections cantonales. Au sein des partis, petites et grandes manoeuvres ne sont pas achevées. Tous les candidats ne sont pas encore connus, mais la ligne de départ se rapproche.

Peu d'attaques personnelles

Les uns ont écrit leur profession de foi, mais elle n'est pas encore distribuée. « J'attends aussi de lire les documents de campagne des autres candidats », avoue Jean-Marc Froment, candidat MoDem dans le canton de Six-Fours. Les autres soumettent leurs premiers écrits. « Nous avons une lettre, distribuée aux 26 000 foyers du canton, puis nous éditerons une plaquette pour faire de la pédagogie sur les missions du conseil général », détaille Michel Rouvier, candidat socialiste dans le canton Ollioules-Sanary-Bandol-Évenos.

Sur le fond, chacun sa méthode. Les socialistes n'hésitent pas à taper sur la politique gouvernementale pour mieux attaquer celle du département, lui aussi UMP. Le MoDem lui, ne parle que de thématiques locales. « Je ne vois pas cette élection comme une opportunité de compter ses voix », affirme M. Froment. Peut-on le croire ?

Parmi ces candidats, les critiques personnelles sont rarement virulentes. « Les affaires ? Cela n'a pas sa place, je n'en parlerai pas dans la campagne, d'autres le font et brassent du vent », indique encore Jean-Marc Forment. Pourtant, il n'hésite pas à tacler son adversaire UMP, sans nommer Joseph Mulé, premier adjoint au maire, « quelqu'un qui a déjà des fonctions au sein de la majorité municipale. Le conseiller général doit faire preuve de compétences très solides. Ce n'est pas le cas ».

Dans le canton de La Seyne, quartiers centre et nord, le policé Gérard Beccaria reste une voix de consensus. Homme de terrain par-dessus tout, il insiste, « ce n'est pas une campagne politicienne, ni une guerre ». Et refuse de faire la critique de ses adversaires - ils sont déjà huit candidats déclarés.

Quant à Michel Rouvier, ancien conseiller municipal de Sanary, il manie la nuance : « le conseiller général sortant est co-responsable de la situation économique du département [Ferdinand Bernhard, maire de Sanary]. Ce n'est pas une question de personne, mais je l'associe à cet échec ». Un air de campagne ?
source: Sonia Bonnin - var matin

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A.V.E.C. Nathalie Bicais

Association pour la Vitalisation et la Valorisation de la Seyne

Vous convie à une rencontre
dans le cadre de son action associative

le samedi 22 janvier 2011
à 10h00 en bas du marché de la Seyne
Cordialement.