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Gros_velours
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Date du message : mercredi 2 mars 2011 à 09h22


@Céline, Préteur et Sagamore.

Content de vous retrouver et de deviser, de la sorte, sur, soit le FN, ("asile" et pas "asyl" mdame Céline, par pitié!) soit George GERSHWIN (1898-1937) effectivement d'ascendance juive (ah bon, serait-ce interdit?), fils de Rose et Moris GERSHOVITZ, russes d'origine juive, natifs de Saint-Pétersbourg (Russie) et émigrés aux Etats-Unis vers 1891, quelque sept années avant le 25 septembre 1898, date de la naissance de George à Brooklyn.
Je constate à quel point vous cherchez à dresser les gens les uns contre les autres, hélas, en instaurant des clivages: Untel parce qu'il est au FN ne DOIT PAS dire ni surtout AIMER George GERSHWIN. Bref, cela s'appellerait dans la France d'aujourd'hui un appel au communautarisme. Vous êtes-vous demandés si votre boulanger était juif, catholique, athée, autre? Que regardez-vous, Qu'il soit juif, catholique, athée ou bien que le pain soit bon? Dans un même ordre d'idées, vos propos que d'aucuns qualifieraient de médiocres (pas moi) vous rapprocheraient de ces temps, pas si éloignés où Hors de l'Eglise point de salut! Je dirais plutôt qu'hors de vos "chapelles" salut il y a. Non, vous ne croyez pas?
Allez, répondez surtout à vos incohérences sur vos soutiens à une gauche française devenue social-démocrate et ne faites pas une fixette malsaine à n'en point douter sur un authentique génie de la musique, j'ai nommé monsieur George GERSHWIN.

Bien cordialement, madame C. et messieurs. A la revoyure!

Message modifié le mercredi 2 mars 2011 à 09h25 par Gros_velours

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Gros_velours
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Date du message : mercredi 2 mars 2011 à 09h33


@Le préteur.
Je ne puis m'empêcher de corriger votre orthographe désastreuse, tant elle vous porte préjudice ici. Si le coeur vous en dit, la prochaine fois, faites donc appel à moi, sur le site et je m'empresserai, moi le pouilleux, moi le frontiste, à réparer vos bévues, tant elles sont tristes pour l'auditoire et la communauté qui se connecte sur ce site.

Correction.

Bien vu (S)agamore (!)?

Je t'avouerai que j'avais une lacune sur le physique de Gerchwin (GERSHWIN), je me rappelLE de certaines de ses prestations scéniqueS mais plus jeune comme on le voit sur d'autres photos.

J'ai douté immédiatement mais par un autre biais, a savoir :
L'age (âge) présumé de la photo, l'age (âge) présumé du personnage sur la photo et notre année 2011.

Quel age (âge) aurait ce gros velours aujourd'hui ?

Encore une fois bravo.

Prétorius

Message modifié le mercredi 2 mars 2011 à 09h34 par Gros_velours

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armagueddon
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Date du message : mercredi 2 mars 2011 à 12h02


Gentil Messire,
gentes Dames et gentils messieurs,
jeunes demoiselles et pleutres damoiseaux, bonjour,
Il y avait une éternité que je n'avais pris le soin d'apporter un coup d'oeil fût-il hâtif à cette délicieuse banque de données locales que constitue ce forum.
Je sors de ma réserve (naturelle) et de la retraite (pieuse) que je m'étais imposées (s'accorde avec le complément d'objet direct placé avant l'auxiliaire avoir, lequel, du genre féminin s'ajoute pour donner un pluriel), que je m'étais imposées, disais-je pour saluer la beauté de vos interventions écrites.
Quel délice, quelle mélodie, que de lire les doux déliés de la langue française. Ah, Monsieur, sachez que c'est un ravissement, que dis-je, un enchantement de voir que certains ont encore un peu de cette culture qui nous fit rayonner en d'autres siècles à travers le monde.
Pour le fonds du discours, de peur de voir s'abattre sur mon auguste calvitie les foudres des Dames patronesses qui vous font parfois l'echo d'une vilennie, je n'avancerai point de commentaire.
Mais, sachez en tous cas, Monsieur, que vous me régalâtes.

Je salue en vous le pourfendeur de l'inculture, le défenseur des valeurs orthographiques et syntaxiques. le chantre de la galanterie et de la courtoisie que vous maniez tantôt à fleuret moucheté, tantôt au sabre de cavalerie.
JE VOUS SALUE, en espérant que vous n'ayez dans vos prénoms celui de Marie, qui fût donné un temps aux enfants mâles de tribuns qui ne l'étaient pas moins.
Pour le reste, Monsieur,
Point ne demeure dans le canton nord,
Au sud je suis, et j'apparais
tel Arthur sur les contreforts
Je hèle la foule et je disparais
Point électeur du canton nord ne suis,
Point, ma voix vous donner ne puis

mais je demeure, à défaut d'impénitent, votre serviteur impertinent.

Armagueddon

Message modifié le mercredi 2 mars 2011 à 14h26 par armagueddon

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Gros_velours
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Date du message : mercredi 2 mars 2011 à 15h11


@Armaggedon.

Cher gentil seigneur,
Votre message m'a ravi car je finissais par croire que seuls, à trois ou quatre, ils s'étaient donné le mot pour ne point répondre à mes questions sur leurs propres turpitudes, de ce qu'ils continuent à appeler "gauche" mais qui, devrait plutôt se requalifier en "sinistre", en respectant, sinon une calligraphie latine, du moins romane.
Comme tout honnête homme, ou toute honnête dame, j'essaie, avec mes pauvres moyens, de penser bien au-delà de ces scrutins de mars qui, nous en conviendrons tous deux, ne sont qu'un court moment dans nos vies.
La plupart de mes idées sont résumées sur le blog de monsieur PEREA, candidat, avec lequel je collabore depuis plus d'un an, afin de pointer ce qui, dans l'actualité notamment mérite(rait) d'être souligné.
Il est évident que depuis déjà bon nombre d'années le débat public de type forcément contradictoire n'existe plus. On assiste, comme le faisait remarquer un collègue, à des soliloques "polyphoniques" mais pas à des débats.
De plus, la "pipolisation" et le paraître, au détriment de l'être, ont fait des ravages incommensurables. Le pitoyable a été atteint avec ces commentaires désobligeants sur le fait que j'aie choisi, en signe d'admiration IMMENSE, le portrait de George GERSHWIN, musicien qui eut une vie professionnelle finalement heureuse mais qui fut frappé tragiquement par une tumeur au cerveau à l'âge de 38 ans, le 11 juillet 1937. Il y a donc 73 ans. Encore un immense génie foudroyé avant d'avoir atteint la quarantaine, à l'instar de Georges BIZET, de Frédéric CHOPIN, de Franz SCHUBERT et de Félix MENDELSOHN-BARTHOLDI, un immense et étonnamment moderne musicien, redécouvreur de la Passion selon saint Mathieu, qu'il remit au jour vers 1829.
Alors, plus sidérant encore que ce délire sur le choix de mon avatar, commenté par certains ici (il se trouve que George GERSHWIN et moi avons juste la même forme de calvitie; la comparaison s'arrête là pour moi, dépourvu de ce qu'on nomme le génie), le plus frappant a été de constater que ces messieurs(?) ne toléraient pas qu'un frontiste pût admirer un musicien d'ascendance juive. Comme si je fusse enfermé dans une boîte sans droit d'en sortir. Cela est nettement plus grave que les moqueries sur ma calvitie et autres.
J'espère que nous pourrons nous rencontrer dans la vraie vie un jour prochain et deviser sur les projets de madame Marine LE PEN, que j'admire beaucoup et qui porte une politique courageuse et sensée pour la France et ses populations: fussent-elles françaises depuis très longtemps, fussent-elles françaises par naturalisation récente ou bien étrangères.
Il est constant que depuis 40 ans nous payons actuellement les calamités des hommes et femmes politiques qui ont été placés aux "responsabilités". Plutôt que de dire "Miroir ô mon beau miroir, suis-je la plus belle?" il convient d'appeler chat un chat et de dénoncer les collusions, quand collusions il y a, entre la "sinistre" et la droite euro-mondialistes.
Comme l'a dit l'ancien recteur de l'université de Salamanque, le poète et essayiste Miguel de Unamuno, en 1936, "Hay veces que callarse es mentir", ce qui en français traduit du castillan signifie qu'il y a des fois où se taire est mentir. Donc, à l'instar de Miguel de Unamuno, aujourd'hui il est temps d'au moins MONTRER que la "pipolisation" , les accointances entre copains et parfois coquins ce n'est pas cela qui sauvera le destin du pays de Montaigne, Brantôme, Mauriac, Gide, Péguy, Jean Genet, Arthur Rimbaud, Paul Verlaine, Marcel Proust, Louis Aragon ou Louis-Ferdinand Céline le "sulfureux" mais génialissime littérateur français.
A bientôt de vous lire et encore pardon d'avoir été si long. Il est encore ardu de se résumer en quelques lignes la première fois.
En signe d'hommage à un immense révolutionnaire de la musique (George GERSHWIN ne l'a point été mais il a été ô combien brillant) je termine par ce final du Sacre du printemps de cet IMMENSE Igor STRAVINSKY qui, en mai 1913, conjointement à la chorégraphie de Vaslav NIJINSKI, provoqua ce SCANDALE inouï au théâtre des Champs Elysées à Paris. On ne ressort jamais plus le même après l'aventure du Sacre. JAMAIS. Pût-on mettre en exergue des professions de foi politiques de tels chefs d'oeuvre qui, par bonheur, vous réconcilient avec la nature humaine par delà la MEDIOCRITE de certain(e)s.
Votre bien dévoué.

Le Sacre du printemps.

Message modifié le mercredi 2 mars 2011 à 15h12 par Gros_velours

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Nicky
webmaster

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Date du message : mercredi 2 mars 2011 à 15h30



@ Gros_velours

Vous avez un bouton "Visualiser"
Il a entre autre pour effet de ne pas envahir inutilement ma boite mail par les quinzaines de modifications de chacun de vos postes.

...cordialement...Nicky...

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Gros_velours
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Date du message : mercredi 2 mars 2011 à 15h49


@Nicky.
Bonjour, merci pour l'info. Je ne savais pas que les modifications (souvent juste pour corriger des coquilles) apparaissaient systématiquement dans votre boîte e-mail. Bien à vous. Merci.

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armagueddon
Visiteur


Date du message : mercredi 2 mars 2011 à 16h36


holà monsieur ! Quelle hardiesse dans le verbe ! Quelle bête vous pique que vous fussiez à ce point prolixe ?
La longueur de votre sonnet m'a ébranlé ! Mais Que diantre allâtes vous faire dans ce dictionnaire ? Souffrez vous donc à présent que vous fussiez raillés par quelques gens ? et faut-il dès aujourd'hui mettre en avant son front altier ou sa calvitie rayonnante pour s'avouer frontiste ?
Je n'ai certes pas votre connaissance des gens de lettres et des arts et ne puis vous citer leur naissance ni quelque livret.
Je n'ai que le bon sens et quelque connaissance. Entendez par là, Monsieur, connaissance livresque et non de circonstance, celle qui permet de sourire d'un bon mot ou de se moquer d'un trait, qui, ma foi, bien lancé peut se montrer plus acéré que le carreau d'une arbalète, connaissance de constance, plutôt que celle qui permet de dire en société :" - Cet homme que vous voyez m'a fait l'honneur de son amitié et d'ajouter perfidement il me doit tout, naturellement....
J'aime la langue française et son maniement. J'aime l'esprit et les illuminations qui donnent aux yeux des dames cette flamme si éclatante pour qui sait s'y plonger.
J'aime les gens, ces petites gens, silhouettes frêles dans nos matins gris, qui ont construit patiemment, vaillamment ce que sont aujourd'hui nos vies.
J'aime le drapeau et ses trois couleurs et je détesterai qu'il n'en possédât qu'une seule comme un linceul, comme un lin seul !
C'est peut-être là que nous différons. Mais entre gens civilisés on peut toujours deviser. Après tout si nous agaçons beaucoup (et je gage que nous verrons bientôt sur le pré quelque bretteur agitant son texto vengeur), nous ne faisons que converser plaisamment.
vOUS NE ME CONVAINCREZ PAS, tout comme je ne chercherai pas à vous convaincre.
Que ne ferait on pour un bon mot ? Je vous l'avoue j'ai grand plaisir à railler : c'est une volupté de fin gourmet. Et l'on trouve si peu d'adversaire apte à se mesurer, que ma foi, je me plais au jeu. Vous m'avez offert vos références musicales et littéraires, savamment organisées et rangées je vous livre les miennes dans le désordre qui me sied car l'ordre ne s'entend pas sans désordre préalable
Pierre Dac, Louis XIV, Jean Yanne, Pierre Desproges, Oscar Wilde, Beethoven, Mozart, Vauban, Hergé, Sacha Guitry, Michel Simon, Jean Gabin, Patrick Dewaere et Coluche sont mes compagnons les plus fidèles, ils me suivent partout et en plusieurs volumes !
J'entends déjà les pourfendeurs de réputation : Comment aucune femme ? Mesdames, je vous aime trop pour pouvoir vous ranger sur les étagères poussiéreuses de ma mémoire car vous êtes la vie
(Aux bretteurs cités plus avant vous voyez qu'il vous est difficile de me ranger dans une catégorie.)

A vous Monsieur, mon salut de roturier qui vaut croyez le bien toute les noblesses car, (le trait vous paraitra facile ou perfide), j'aurai pu être "Chevalier" mais Arthur n'en avait cure et ne l'a point fait
Aux autres qui voudraient élever le débat à défaut de pouvoir élever la voix : serviteur !

Armagueddon

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Gros_velours
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Date du message : mercredi 2 mars 2011 à 19h51


@monsieur Armagguedon,

Un immense MERCI pour votre réponse.
Issu de l'ancien Parti communiste français, j'ai toujours cru à ce qu'on appelait autrefois l'éducation populaire. Et le PCF d'alors se faisait fort de promouvoir des ouvriers à des postes de responsabilités. Il faut dire qu'alors le PCF constituait une véritable force de proposition et, en même temps, un contre-pouvoir. C'est bien de l'histoire ancienne.

Combien d'ouvriers au PS aujourd'hui? En %.
Combien d'ouvriers au NPA aujourd'hui? En %.

Je ne pousserai point plus avant la cruauté de la réalité qui, seule est révolutionnaire.

Nous allons voir ce que devient ce forum et, pour ma part, je serai intolérant avec les intolérants et tolérant avec les tolérants.
Si jamais mon compte était supprimé, sachez que je serai toujours joignable par l'intermédiaire de Gilbert PEREA et, bien entendu, du Front National du Var.

Nous ne sommes pas d'accord sur tout? Qu'importe! On avance par le débat contradictoire dans le respect de l'interlocuteur. Nous ne sommes pas là pour défendre des DOGMES mais juste pour confronter la théorie à l'expérience.

J'ai toujours su et affirmé que POPULAIRE ne rime pas avec VULGAIRE. Et, par là même, si dans une ville comme La Seyne deviser sur STRAVINSKY ou GERSHWIN paraît peut-être "décalé" je ne considère pas que les milieux populaires, les "PROLOS" soient génétiquement programmés pour "ne pas comprendre".

J'ajoute que je suis contre l'enfermement de qui que ce soit dans un "ghetto" qui en arrange, soyons-en sûrs, bien plus d'un. Pardi, ça me fait penser à ces histoires de bonnes dames patronnesses qui avaient "leurs pauvres".

Sortir du ghetto, casser le ghetto, sur la base du pacte républicain reposant sur:
-L'amour de la Nation,
-La laïcité,
-Le respect du TRAVAIL et de l'ETUDE,
eh bien c'est l'un des défis majeurs que lance déjà depuis pas mal de temps le...FRont National.
La preuve? Le discours de Valmy de Jean-Marie LE PEN, prononcé en septembre 2006, lançant la Présidentielle du FN en 2007.

Ce discours est encore largement d'actualité. madame Marine LE PEN travaille juste à le réactualiser.

De tout cela nous deviserons probablement à PLUSIEURS. Et je pense que si nos détracteurs en restent à leur niveau actuel de dialectique, le tri entre la paille et l'ivraie se fera de lui même.

Bonne soirée cher monsieur.

Nous nous rencontrerons rapidement, j'espère. Juste devant la soudaineté de ces connivences politiques partielles et sans arrière-pensée bassement électorale je crois qu'il nous faut juste faire mûrir cet échange.

La dernière parole à un autre génie foudroyé de la musique, Frédéric CHOPIN. Etude n° 10 Révolutionnaire.

Tout un programme. L'avenir commence MAINTENANT.

Par Sviatoslav RICHTER.

Etude révolutionnaire, CHOPIN.

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Gros_velours
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Date du message : mercredi 2 mars 2011 à 21h08


@Armaggeddon.
Cher monsieur,
J'ai essayé de vous contacter par MP (message privé) mais ça a raté. Merci de me donner, si vous le voulez bien, un moyen de vous contacter par MP. Bien à vous.