Covid19: Distribution de Masques à la Population seynoise ... Phase 2

#Coronavirus #Covid19: Distribution de Masques à la Population seynoise ... Phase Deux

#Coronavirus #Covid19: Distribution de Masques à la Population seynoise ... Phase Deux - Distribution aux personnes vulnérables à partir du jeudi 04 juin 2020, la Ville assure une distribution à domicile auprès des personnes inscrites sur le fichier des personnes fragiles et réparties sur l'ensemble du territoire. Le Retrait en mode piéton se fait du samedi 06 au mardi 09 juin 2020. Distribution de 1 masque par personne. Preparez votre pièce d’identité – justificatif de domicile - Livret de famille (si enfants). • Samedi 08h30-18h30 - Noms de famille de A à H • Dimanche de 08h30-18h30 - Noms de famille de I à Z • Lundi 10h00 – 20h00 - Noms de famille de A à H • Mardi 10h00 – 20h00 - Noms de famille de I à Z. en savoir plus - cliquer ici

Super, mes voisins et nous même avons ce matin reçu les masques par deux aimables personnes. Merci la mairie de s'occuper des personnes vulnérables.

Article de Var Matin : "Je l'ai un peu en travers de la gorge": mauvaise surprise pour le maire de La Seyne qui pensait avoir acheté des masques "made in France"

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"Ils seront livrés avec un délai un peu plus long (que ceux commandés par TPM, Ndlr), car nous avons tenu à acquérir des masques fabriqués en France", expliquait le maire le 18 mai dernier.
La Ville a en effet passé commande à une société française installée à Lille, laquelle avait indiqué que ses masques sont "fabriqués dans [ses] ateliers".

>> RELIRE. La distribution des masques achetés par la Ville débute ce samedi à La Seyne

Sauf qu’en réalité, ils proviennent d’une usine installée... en Chine.

Marc Vuillemot a livré cette information ce jeudi, tout en déplorant le manque de transparence de ce fournisseur peu scrupuleux, qui a dissimulé une partie de la vérité.

"Les masques sont fabriqués dans ses ateliers, qui sont en fait ceux d'un groupe belge duquel elle est filiale, et qui possède quatre usines, dont une en Chine".

Et pour honorer ses commandes, l’entreprise a mobilisé son usine asiatique, comme le montre l’étiquette collée sur les cartons.

Amer, le maire admet que le côté "made in France" de sa commande est "un flop".

Et d’ajouter : "Je l'ai un peu en travers de la gorge, cette fichue mondialisation...".