Message

manye
Membre

Voir plus


Date du message : mardi 21 septembre 2010 à 21h30


Je pense que l' on ne doit pas être les seuls à se plaindre , à la fin, c' est vraiment pénible de ne pas pouvoir avancer , ici, j' ai l' impression qu' il y 1 pas en avant et 2 pas en arrière , comme on dit quelques fois, on avance à reculons

Message

Paecht Arthur
Visiteur


Date du message : mercredi 22 septembre 2010 à 17h45


Les trois intervenants ont tout a fait raison. Qu'il s'agisse des parkings, du pôle théatral aujourd'hui réalisé à Toulon et en partie payé aussi par les seynois, du centre de conférences adossé à l'hôtel, du hangar CPM et de sa reconversion et aussi du projet du nouveau port tous les prétextes sont bons pour bolquer les projets et pour faire fuir les investisseurs! En raison des exigences de nos édiles ils ne pensent qu'à fuir La Seyne et en plus la municipalité veut nous faire croire que rien n'est de sa faute. Une fois cela pourrait être vrai mais systématiquement ce n'est plus une coincidence. De yemps à autre il faut aussi que nos élus actuels, si sûrs d'eux se remettent aussi en question. Non?

Message

Saint-Elme
Membre

Voir plus


Date du message : mercredi 22 septembre 2010 à 19h35


Les plaisanciers n'ont qu'à entreposer leurs bateaux dans les parkings municipaux. C'est le contribuable seynois qui paie.

Message

Nicky
webmaster

Voir plus


Date du message : vendredi 22 octobre 2010 à 04h21


Futur port : la ville de La Seyne résilie la délégation de service public


Les pêcheurs vont pouvoir continuer à tâter le bouchon encore un petit moment. Le futur port de plaisance est une nouvelle fois repoussé. photo: Dominique Leriche
Cari, c'est bel et bien fini. Lassé d'attendre que le chantier du futur port de plaisance démarre (1), le maire a décidé de rompre la délégation de service public signée pour 30 ans avec le groupement Cari-Altaréa-Sodesports. Le courrier officiel doit être envoyé d'ici la fin de la semaine. La délibération sera présentée au prochain conseil municipal, en novembre (2).

Visiblement déçu, Marc Vuillemot commente : « Ce n'est pas une histoire de qualité des relations (allusion aux mauvaises relations avec Q-Park pour la DSP du stationnement, Ndlr), mais nos intérêts respectifs ne se rencontraient pas. Je crois tout simplement qu'à un moment donné, ils n'avaient plus l'intention de réaliser le port ».

De son côté, le porte-parole du groupement, Cari, reste injoignable. Contestera-t-il la décision du maire ? « A priori, il n'y a pas de risque de contentieux, il voulait manifestement tout arrêter », répond Marc Vuillemot.

Une nouvelle DSP début 2011

Voilà donc le projet du futur port reparti dans les (longs) tuyaux de l'administration. Le maire veut relancer la procédure de délégation dès le premier trimestre 2011.

Mais il faudra compter encore une bonne année avant qu'un nouveau délégataire ne soit désigné.

En outre, le projet va être retouché. « On va rester sur le même nombre d'anneaux (700, Ndlr) et la même superficie. En revanche, on n'ira peut-être pas aussi loin dans le " délire " architectural (3) que le projet de Cari. Ce sera sans doute moins high-tech mais plus fonctionnel », explique l'adjoint à l'urbanisme, Claude Astore, ajoutant que les études déjà réalisées seront réutilisées.

Un projet plus modeste, éventuellement moins cher. « Des professionnels qui gèrent ce type d'opérations disent qu'on peut faire quelque chose autour de 10 ou 15 millions d'euros (au lieu de 64 millions TTC pour le projet Cari) », souligne encore Claude Astore.

Le cahier des charges devrait également être redéfini. « On va le peaufiner pour éviter de rencontrer les problèmes que nous avons eus auparavant. Par exemple, Cari avait pour contrainte de commercialiser 70 % des anneaux avant la réalisation des travaux. Cela a été l'un des freins au démarrage du chantier. On ne peut pas garder une telle clause. Il faudra aussi mettre davantage de verrous pour que le phasage des travaux soit respecté », poursuit Claude Astore.

Affaire à suivre, donc. Encore une fois !

1. Un premier constat d'huissier pour non-démarrage des travaux a été adressé à Cari en juin. Une lettre de mise en demeure avait été ensuite envoyée le 23 septembre dernier.
2. La date exacte n'a pas encore été fixée.
3. Les plans du port avaient été dessinés par l'architecte Jean-Paul Viguier.
source: Marielle Valmalette - var matin

...cordialement...Nicky...

Message

manye
Membre

Voir plus


Date du message : vendredi 22 octobre 2010 à 20h16


Encore une nouvelle qui me " sape le moral " .
J' ai acheté un appartement à La Seyne pour tout ce qui allait se construire , ( en vue de ma "retraite" , qui entre nous m' a était rallongée de 20 mois soit dans 7 ans au lieu de 5 , ayant à 62 ans 43.5 annuités !!! (quelle justice ) et bien, je pense que je vais prendre une décision d' ici quelques temps, à revendre , car, je ne vois plus l' intérêt de garder cet appart , en plus, je me demande pourquoi autant d' impôts th et tf à payer
( 2300 euros) ( pour rien ) Où va mon argent Il n' y a même pas de sacs pour ramasser les "petites crottes" de mon chien

Message

georges83500
Membre

Voir plus


Date du message : samedi 23 octobre 2010 à 21h14


Si la mairie n'avait pas fait n'importe quoi avec le stationnement (martini , esplagolles , stationnement a coté de IUPFM) et bien les 14 millions d'euros économiser aurait pu servir pour financer une partie du port.

Au dela du port si les plaisanciers n'ont rien pour se restaurer ou se divertir quel est l'interet du port?

C'était l'occasion de faire des restaurants , boutique , loueur de bateau, club de plongée ect = emploi !!!!!

Certains ont critiqué l'ancienne municipalité mais en attendant y avait des projets et des réalisations , alors que la c'est plus d'impot et rien de rien!!!

La Seyne doit impérativement se resaisir et vite!!

Message

Nicky
webmaster

Voir plus


Date du message : jeudi 11 novembre 2010 à 10h47


Le projet de port de La Seyne avorte : l'État pointé du doigt


« L'arrêté de dépollution du port est si bloquant que les taux de particules en suspension sont dépassés les jours de pluie, sans même qu'aucuns travaux ne soient engagés », a affirmé le maire Marc Vuillemot, lors du conseil municipal, hier. photo: Dominique Leriche
La décision était attendue depuis plusieurs semaines ; elle est effective depuis hier. Considérant « le comportement fautif » du délégataire qui n'a pas engagé les travaux malgré les « mises en demeure » et les « termes du contrat », la municipalité a décidé de résilier la délégation de service public du port de plaisance passée, en 2007, avec le groupement d'entreprises Cari-Sodeports-Altaréa.

Les élus ont longuement débattu de cette question au conseil municipal du 10/11/2010, l'opposition rejetant en partie l'échec du projet sur la municipalité, tandis que le maire et son prédécesseur, Arthur Paecht, se sont interrogés sur la responsabilité de l'État dans cette affaire.

Message

Nicky
webmaster

Voir plus


Date du message : jeudi 11 novembre 2010 à 10h47


Dans un premier temps, l'opposition a insisté sur le manque à gagner pour la commune. « Ce sont des décennies de redevances perdues, des dizaines d'emplois dont les Seynois auraient bénéficié, et des retombées économiques de plusieurs millions d'euros qui s'évaporent », a commenté Alain Chaparro (Nouveau Centre). « A Hyères, le nouveau port a attiré des centaines d'entreprises et généré deux mille emplois directs et presque autant d'indirects. La Seyne est en train de passer à côté de tout cela », abondait Fathi Bousbih (PR). « Ainsi s'éloigne un peu plus toute chance de renouveau économique de notre ville », déplorait Arthur Paecht (UMP).

Un risque de contentieux

En outre, le délégataire ayant formulé une demande d'indemnisation des frais qu'il a engagés - demande que rejette la mairie -, Arthur Paecht a dit « espérer que le dossier est juridiquement bétonné car, si ce n'était pas le cas, une fois encore vous allez jeter l'argent public par les fenêtres et payer d'importantes sommes sans avoir rien réalisé. » L'ancien maire affiche ses craintes, estimant même que la ville n'avait « pas le droit » de lever la dernière clause suspensive (1).

L'opposition tentant ensuite de faire porter à la mairie une part de l'échec de la DSP, Claude Astore, adjoint à l'urbanisme, est vivement monté au créneau : « Je suis effaré d'entendre que nous n'aurions pas tout fait pour voir aboutir le projet. Tous les services ont oeuvré pour y parvenir. Mais ce sont les délégataires choisis par la précédente majorité qui ont fait défaut », a-t-il affirmé.

L'arrêté préfectoral, « frein » au projet

De manière plus inattendue, les deux maires - l'actuel et l'ancien - se sont toutefois retrouvés pour évoquer une responsabilité extérieure. « Les normes retenues par l'État en matière de pollution maritime font, qu'en même temps qu'il accorde le transfert de gestion pour faire un port, il prend prétexte de normes pour nous en empêcher ! », a lancé Arthur Paecht. Approuvé par Marc Vuillemot : « L'arrêté de dépollution est si bloquant que les taux de particules en suspension sont dépassés les jours de pluie, sans même qu'aucuns travaux ne soient engagés ». Et d'interroger : « Pourquoi ni M. Paecht ni moi n'avons réussi à faire prendre en compte au préfet que cet arrêté est un frein à la mise en oeuvre du projet ? ».

Arthur Paecht avait préalablement avancé une réponse : « Il est possible que personne ne voit d'un bon oeil que La Seyne soit la seule ville de la rade à avoir son port à elle... » L'ancien maire est même allé plus loin : « A force de tergiversations, je crains que le temps imparti pour la création du port ne soit bientôt dépassé, rendant caduc le transfert de gestion, et incitant l'autorité concédante - le syndicat mixte des ports - à reprendre ses billes et à construire le port lui-même ! »

Au final, la délibération résiliant la DSP n'aura été approuvée que par les seuls élus de la majorité (32 voix), 10 voix contre et 2 abstentions.

1. « Lorsque la ville a accepté de prendre en charge le surcoût de la dépollution, représentant un engagement considérable (2,7 millions d'euros), elle n'en avait pas le droit », a assuré Arthur Paecth. Motif : « Le traité de concession stipulait que le coût prévisionnel des travaux de dépollution ne devait pas dépasser un million d'euros. Cela voulait dire que le délégataire prenait à sa charge les premiers 500 000 euros, et que la ville pouvait abonder à hauteur de 500 000 euros, mais pas plus ! Généreuse, la proposition de la ville n'était donc pas juridiquement recevable. Et de ce fait, la clause suspensive ne peut être considérée comme réalisée. Aussi, le délégataire n'était pas habilité à commencer les travaux, et le constat de non-démarrage des travaux n'a aucune valeur. »
source: Michaël Guillon - va matin

...cordialement...Nicky...

Message

Nicky
webmaster

Voir plus


Date du message : mardi 15 mars 2011 à 06h21


Le nouveau port de La Seyne relancé


Si la partie maritime du projet initial (ci-dessus) ne devrait pas connaître de profond chamboulement, au niveau terrestre, la nouvelle délégation de service public devrait prévoir des aménagements sensiblement plus modestes.
Cinq mois après la résiliation officielle du contrat signé avec le groupement « Cari-Altaréa-Sodesports » (1), la municipalité relance une procédure de délégation de service public (DSP) pour la création d'un port de plaisance. La délibération sera votée en conseil municipal, demain. (cliquez ici)

Selon un proche du maire, les services municipaux ont travaillé d'arrache-pied pour remanier la nouvelle délégation de service public et la présenter dans les plus brefs délais.

Dans l'ensemble, le projet global a été peu retouché. C'est même l'un des critères imposé par la ville aux candidats. Ainsi, la nouvelle mouture de la DSP stipule que « le port devra s'inscrire dans le cadre des projets déjà réalisés et ne pas remettre en cause l'économie générale des études, concertations et enquêtes préalables déjà conduites ».

Pas question de repartir complètement de zéro.

La physionomie reste la même

Le futur port gardera la même physionomie : un plan d'eau de 94 000 m² situé entre l'Institut de promotion et de formation aux métiers de la mer (IPFM) et l'espace Grimaud ; une partie terrestre de 39 000 m². Le nombre d'anneaux reste de l'ordre de 650 places (624 dans le précédent contrat modifié) avec quinze pontons.

La municipalité demande au moins 25 % de « petits bateaux » (moins de 10 mètres), ce qui correspondait à peu près à ce qui était déjà prévu.

En outre, la durée du contrat reste identique (30 ans).

Quant aux grands yachts, il ne devrait pas y en avoir dans ce port, puisque la mairie souhaite conserver la main directement sur la grande plaisance (2).

Par contre, lorsqu'elle a rompu ses liens avec « Cari », la municipalité annonçait que le nouveau projet serait plus modeste sur la partie terrestre et commerciale.

« Hors bureau du port et yacht club, le délégataire disposera de 5 000 m² de surface hors oeuvre nette (SHON) pour installer des activités en lien avec la mer. C'est presque la moitié moins que ce qui était prévu avant », précise-t-on en mairie.

« Tirer les leçons de l'échec précédent »

La mairie veut présenter une DSP qui « tire les leçons de l'échec précédent » et affirme avoir « une vision plus précise de ce que peut être la rentabilité commerciale de cette opération ».

Ainsi, la question des tarifs, jugés trop exhorbitants dans la précédente DSP, vont être rediscutés lors de la négociation avec le futur délégataire.

De même que la redevance annuelle reversée par le concessionnaire à la commune, trop faible au goût de la municipalité (50 000 euros hors taxes par an plus une prime de 2 % sur le chiffre d'affaires annuel du délégataire).

Enfin, et c'est sans doute le plus important, la mairie veut éviter à tout prix la pré-commercialisation à outrance des anneaux avant démarrage des travaux.

« Cari n'a jamais démarré le chantier parce qu'elle voulait vendre 75 % des anneaux avant et éviter d'avancer l'argent », explique une source proche du dossier.

Après ce revers, on n'ose avancer un nouveau calendrier du port. La mairie espère un démarrage des travaux pour septembre 2012. Pour Marc Vuillemot, cela voudrait dire une inauguration presque pile-poil avant les municipales de 2014. Ce ne serait sans doute pas pour lui déplaire.

1. La résiliation de la DSP a été votée au conseil municipal le 10 novembre 2010.
2. La municipalité gère en régie les grandes formes qui accueille les bateaux de grande plaisance.
source: Marielle Valmalette - var matin

...cordialement...Nicky...

Message

janine
Membre

Voir plus


Date du message : mardi 15 mars 2011 à 17h03


quelques informations sur le traitement des dossiers C.P.M. et port par M. paecht , maire :

12 avril 2007 conseil municipal M. paecht propose la signature d'un protocole d'intention entre L'entreprise ALtarea et la ville en vue de la cession du batiment C.P..M.,propriété communale ( pas de prix fixé ...) , négociation menée par M. paecht .
représentant d'altarea M. Boissonnet
5 juin 2007 reunion de la commission d'appel d'offres pour examiner 2 candidatures : -groupement d'entreprises avec Altarea( la même ) dossier défendu par M. Boissonnet ( le Mëme)
- Sagem
en définitive le grpupement avec Altarea est choisi !
donc le port et C.P.M. sont confiés à la même entrprise §
aujourd'hui les 2 projets annulés !

en plus ce groupement n'était pas le plus aventageux pour la ville : exemple redevance versée à la ville Altarea 50 000 euros, sagem 123 400 euros
prix de location des anneaux pour les bateaux plus élevés pour Altarea
j'avais dénoncé celà dans Var Matin

foglin janine